L'origine des maladies auto-immunes reste mal connue. Une association de plusieurs facteurs environnementaux, hormonaux, génétiques, médicamenteux, infectieux et psychologiques est fort probable.
Les maladies auto-immunes résultent d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme. C'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.
L'environnement - exposition aux microbes, à certaines substances chimiques, aux U.V., tabagisme… - joue également un rôle majeur. Pour certains, l'augmentation de la prévalence des maladies auto-immunes dans les pays industrialisés serait une conséquence de l'hygiène et de l'utilisation des antibiotiques.
La maladie de Basedow est le cas de thyroïdite auto-immune le plus fréquent. Chez les personnes atteintes, 1 % de la population, surtout des femmes, les anticorps s'attaquent à la thyroïde, glande dont le rôle est la sécrétion et la régulation des hormones.
Parfois, le système immunitaire dysfonctionne. C'est le cas des maladies auto-immunes, comme le diabète de type 1, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, la sclérose en plaques, la thyroïdite d'Hashimoto ou la maladie de Basedow.
Les fruits et légumes rouges (tomate, pastèque, papaye, pamplemousse rose) riches en lycopène, un antioxydant qui contribue à la protection des globules blancs.
Parfois, l'inflammation se traduit uniquement par une altération persistante de l'état général (c'est-à-dire une fatigue, un amaigrissement ou encore de la fièvre). Parfois il n'y aura aucun signe clinique mais uniquement des anomalies à la prise de sang.
Les cancers peuvent être à l'origine de manifestations auto-immunes dont le champ d'expression est varié. Les liens étroits entre auto-immunité et lymphogenèse sont peu à peu démantelés, ces 2 événements pouvant correspondre aux facettes d'un même processus.
prurit, déformations articulaires, douleurs, faiblesse, ictère, gêne respiratoire, oedème, confusion mentale, etc. C'est à partir d'une analyse de sang que l'on peut identifier une maladie auto-immune : vitesse de sédimentation, présence d'anticorps antinucléaires, anémie, etc.
Auto-immune : comprenez, quand notre système immunitaire se retourne contre notre propre corps. On sait encore peu de choses sur ces maladies. Pourtant, elles représentent le troisième groupe en termes de morbidité et de mortalité dans les pays industrialisés (derrière les maladies cardiovasculaires et les cancers).
Devant des douleurs articulaires ou musculaires, les traitements de fond utilisés le plus souvent sont l'hydroxychloroquine, le méthotrexate, le léflunomide. Devant des atteintes viscérales, les traitements de fond utilisés sont l'azathioprine ; le mycophénolate mofetil, le cyclophosphamide.
Comment savoir si on est immunodéprimé ? "L'immunodépression se caractérise par la répétition, environ 4 à 10 fois dans l'année, de maladies graves comme des pathologies respiratoires, la récurrence d'affections inhabituelles ainsi qu'un changement brusque dans le poids et la taille", indique le Dr. Goeb.
Une maladie auto-immune est une maladie inflammatoire chronique qui peut toucher différents organes (ou système), comme la peau, les articulations, le rein, le cœur, le cerveau… On distingue : les maladies auto-immunes dites « spécifiques d'organe » qui vont se définir par l'atteinte d'un seul organe.
Caractéristiques de la réaction inflammatoire aigüe
La réaction inflammatoire est caractérisée par 4 signes cliniques invariables : rougeur ;gonflement ;chaleur ;douleur. C'est l'afflux de plasma sanguin vers le site de l'infection ou de la lésion qui est associé à ces symptômes.
Les quatre principaux signes d'inflammation sont la chaleur, la rougeur, l'enflure et la douleur. Les maladies inflammatoires à long terme comprennent l'asthme, la colite, la maladie de Crohn, l'arthrite, la vasculite et la néphrite.
Symptômes de l'inflammation
Il y a cinq signes, ou symptômes, pouvant indiquer une inflammation aiguë : la rougeur, la sensation de chaleur, l'enflure, la douleur et la difficulté à bouger normalement la zone touchée du corps.
On ne guérit pas à proprement parler d'une maladie auto-immune mais les traitements permettent de réduire, voire de supprimer, les symptômes. Toutefois, il est parfois nécessaire de suivre un traitement à vie.
L'inflammation se produit lorsque les vaisseaux sanguins se dilatent pour laisser passer plus de sang vers les tissus lésés. C'est la raison pour laquelle la zone devient rouge et chaude.
L'inflammation dite de bas grade favorise le surpoids et est entretenue par lui. Elle met en place un terrain favorable à toutes les maladies chroniques y compris les cancers.
L'inflammation est très souvent causée par des infections. Effectivement, une infection se caractérise par l'invasion d'un intrus dans l'organisme, qui provoque des altérations dans les tissus. Cet intrus peut être une bactérie, un parasite, une moisissure ou encore un virus.
Le thé (plus particulièrement le thé vert et le thé noir) est riche en L-théanine, un acide aminé qui permet à l'organisme de lutter contre les virus. Buvez plusieurs tasses de thé par jour et prenez soin de bien faire infuser vos sachets de thé pour en extraire le plus de nutriments possible.
Consommer du saumon, des sardines, du maquereau, du hareng ou encore du foie de morue ou de l'huile de foie de morue particulièrement riches en oméga 3, favorise le renforcement de notre système immunitaire et le développement de certains globules blancs tels que les lymphocytes T et les NK.
L'alcool diminue l'efficacité des globules blancs, chargés de répondre à l'infection virale. Et il semblerait qu'il diminue aussi la sécrétion d'interférons, des médiateurs de l'inflammation secrétés par ces globules blancs pour nous aider à nous débarrasser du virus.