Pourquoi autant de pics de pollution en hiver ces dernières années ? Les pics de pollution hivernaux sont majoritairement dus à des dépassement de seuil en particules fines (PM10) émises principalement par les transports et les procédés de combustion ( chauffage notamment ) à cette période de l'année.
Les polluants atmosphériques peuvent être d'origine naturelle (émissions volcaniques, plantes produisant des pollens, foudre…), mais également dus aux activités humaines : Transports. Industrie. Chauffage des bâtiments (en particulier par combustion)
La cause est l'Homme et son activité, par les industries, le trafic routier, les incinérateurs de déchets, le chauffage individuel et les centrales électriques aux combustibles fossiles.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à effet de serre, mais pas le seul. Pour mesurer l'effet des différents polluants (méthane, dioxyde d'azote…), les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en « équivalent CO2 ».
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.).
Les combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, ou le charbon, constituent la principale source de polluants atmosphériques.
Le rejet des déchets
Les déchets de l'industrie sont rejetés, la plupart du temps, dans l'eau des rivières et des fleuves. On assiste également à des retombées de polluants par voie atmosphérique (pluies acides). Les polluants les plus dangereux sont les métaux lourds comme le mercure, le plomb, etc.
Lahore, Pakistan, la ville la plus polluée du monde
La ville la plus polluée du monde est Lahore, une ville pakistanaise.
Depuis leur formation, il y a environ 4,5 milliards d'années, les entrailles de la Terre se refroidissent, mais ce processus se ferait plus rapidement qu'initialement attendu, rapporte une nouvelle étude que relaie Courrier international. Les effets pourraient, de fait, être sérieux pour l'avenir de la planète bleue.
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
Les causes de la hausse des émissions
La combustion du charbon, du pétrole et du gaz produit du dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote. L'abattage des forêts (déforestation). Les arbres contribuent à réguler le climat en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère.
Privilégiez les vaporisateurs aux bombes aérosols (laque, désodorisants, etc produisent des polluants. Limitez l'utilisation des désodorisants d'intérieurs, les encens et les bougies qui produisent de nombreux composés. Aérez votre maison, renouvelez l'air. Pendant un pic d'Ozone préférez une aération le matin.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
La solution la plus élémentaire pour lutter contre la pollution atmosphérique consiste à abandonner les combustibles fossiles et à les remplacer par des énergies alternatives telles que l'énergie solaire, éolienne et géothermique.
A la tête du classement, le Danemark est suivi du Luxembourg, de la Suisse, du Royaume-Uni (81,3) puis de la France avec un score total de 80/100. L'hexagone arrive en 5e position et perd trois places par rapport au classement de 2018.
Au final, 2 % des rejets mondiaux de CO2 sont émis par les avions de ligne ! Mais les avions rejettent également d'autres gaz comme l'oxyde d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO), les hydrocarbures (HC), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension PM10 et PM2,5.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Ainsi, selon les calculs de Lucas Chancel, une personne appartenant aux 0,01 % les plus riches de la population mondiale – environ 771 000 personnes –, émettait en moyenne 2 332 tonnes d'équivalents CO2 en 2019, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l'humanité n'en a émis que 1,4.
La consommation mondiale de streaming vidéo émet 300 millions de tonnes de CO₂ dans le monde chaque année [16]. Cela correspond à la pollution numérique d'un pays comme l'Espagne ! Regarder une heure de vidéo consomme autant d'électricité qu'un réfrigérateur pendant une année [17].
La principale source de gaz à effet de serre d'origine humaine est l'utilisation de l'énergie. En brûlant des énergies comme le charbon, le gaz ou le pétrole pour produire de l'énergie ou pour alimenter les moteurs de nos moyens de transport, on émet du CO2 qui contribue au réchauffement climatique.