La peur de la solitude est liée à l'angoisse de l'abandon et le sentiment de danger sans personne pour intervenir. La peur trouve souvent sa source dans un traumatisme passé : des parents absents ou distants ; une agression subie par le passé.
Liée à une blessure d'abandon, l'autophobie est plutôt fréquente, et touche aussi bien les hommes que les femmes. Les autophobes font tout pour ne jamais se retrouver seul, allant jusqu'à se forcer à faire des activités qui ne leur plaisent pas pour être en groupe.
Si vous ressentez un vide lorsque vous êtes seul, c'est un signe que vous perdez votre individualité et que vous dépendez des autres pour faire et ressentir. Cela peut nuire à votre estime de soi et à votre sécurité personnelle.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
Caractéristique de notre époque hyperconnectée,l'autophobie signifie étymologiquement en grec « peur de soi-même », par ses deux racines auto (soi) et phobie (peur). En pratique, cette phobie signifie une crainte morbide d'être seul(e).
La peur est comme l'excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Elle peut aussi être liée à des peurs objectives, à un traumatisme réel, même mineur (avoir été suivi par un inconnu dans un parking, harcelé au téléphone, importuné dans le métro, etc.). Une personne qui a été agressée aura peur que cela se reproduise et ne pourra rester seule.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
La situation socio-professionnelle et le manque d'autonomie sont les principaux facteurs de la solitude. La vieillesse, le handicap, le chômage et les bas revenus sont des causes de la solitude.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
La connaissance de soi-même permet d'être heureux seul
Pour pouvoir être heureux seul, il faut se connaître soi-même correctement, s'aimer et connaître ses propres goûts. Pour cela, rien de mieux que de prendre du temps pour soi. Lorsque nous sommes toujours entouré, cela ne laisse aucune place au temps pour soi.