Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
En cas de traumatisme crânien, des vomissements survenant plusieurs heures après la chute peuvent signaler un hématome cérébral. Une somnolence anormale ou des signes nouveaux doivent aussi alerter à partir du moment où la chute a été realtivement forte ou qu' l'enfant ait touché un objet dur et dangereux .
Des symptômes peuvent aussi apparaître comme des vomissements, des maux de tête, un comportement inhabituel, des troubles de la conscience. "Si le tout-petit vomit immédiatement après la chute ce n'est pas forcément un signe de gravité, rassure le professeur Claudet.
Dans les 6 heures suivant le coup à la tête – Si votre enfant veut dormir, laissez‑le faire. Cependant, réveillez‑le toutes les 2 à 3 heures pour vous assurer qu'il réagit normalement. Après 6 heures, s'il réagit normalement, vous pouvez le laisser dormir comme à son habitude.
Les symptômes d'un traumatisme crânien sont multiples : maux de tête, nausées et vomissements, et diverses atteintes neurologiques comme des pertes de sensibilité, de la motricité ou une aphasie, une somnolence ou des troubles visuels.
Le gonflement des cellules cérébrales qui s'ensuit (œdème cérébral) est responsable d'une hypertension intracrânienne (augmentation de la pression à l'intérieur de la boîte crânienne) se manifestant par divers symptômes comme par exemple, mais pas exclusivement, des céphalées, des nausées et des vomissements.
Les symptômes typiques d'une hémorragie interne sont par exemple de forts maux de ventre, une paroi abdominale tendue, des hématomes extérieurs, une hausse de la température ou un choc accompagné d'une pâleur prononcée, de sueur froide et d'extrémités fraîches.
Recouvrez la plaie d'un large pansement de gaze stérile et de sparadrap. Consultez rapidement un médecin. Si la coupure est profonde, saigne abondamment ou qu'un ongle est décollé, emmenez l'enfant aux urgences.
La victime s'est cognée la tête non violemment. La douleur du choc a rapidement disparu. Si la victime ne présente aucune symptôme inhabituel, consulter un professionnel de la santé n'est pas nécessaire, sauf si l'état de santé se détériore.
Dans les cas les plus légers, il provoque des maux de tête, des étourdissements, lorsqu'il est grave, ce traumatisme peut entraîner une perte de connaissance voire des lésions cérébrales. D'après une nouvelle recherche, le sommeil aurait une influence sur les symptômes.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Il est également important que quelqu'un vous observe pendant quelques jours après que vous vous êtes blessé. Les commotions cérébrales se manifestent différemment d'une personne à l'autre et les symptômes peuvent prendre des heures ou des jours à apparaître.
Il se manifeste par des vomissements sanglants, appelés hématémèse, ou par des selles noires constituées de sang digéré, nommées méléna.
Le choc hémorragique est la conséquence d'un déséquilibre entre demande et apport d'oxygène. Le choc hémorragique est secondaire à une perte massive et brutale de sang. Les saignements d'origine digestive sont la première cause de choc hémorragique.
Les symptômes du méléna
l'émission de sang noir, accompagnée d'une odeur fétide, dans les selles. des douleurs intestinales.
Le plus souvent, un enfant se frappe parce qu'il est dépassé par ses émotions. Il n'arrive pas encore à exprimer un besoin ou une frustration qu'il ressent. Cela peut être le cas d'un tout-petit qui ne sait pas encore parler ou d'un enfant qui exprime une frustration que ses parents ne comprennent pas.
"Les bébés qui se tapent volontairement la tête au sol ont en général beaucoup d'énergie. Ils ont besoin de se défouler. Ces mouvements sont la résultante d'une tension interne qu'ils doivent évacuer, et qui ne doit pas être perçue comme négative", rassure une nouvelle fois Ada Picard.