A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
Candide est secrètement amoureux de Cunégonde, la fille du baron et de la baronne. La félicité est absolue, jusqu'au drame : Candide et Cunégonde sont surpris par le baron dans leurs ébats, Candide est chassé du paradis, et l'aventure commence.
Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par ...
Ce qui est important de saisir, c'est l'évolution du personnage. En effet, au départ, notre héros chassé du château pour avoir embrassé Cunégonde est un personnage très crédule, dépendant et peu sur de lui. Il croit aveuglément aux propos de Pangloss et cherche toujours conseil auprès de quelqu'un d'autre.
Arrivé avec Cacambo, Pangloss et le baron sur les bords de la Propontide, Candide retrouve et rachète la vieille et Cunégonde : il a d'abord un mouvement de recul en la voyant car elle est, comme le lui avait dit Cacambo, affreusement laide.
Cunégonde raconte son histoire : elle fut violée par un bulgare (qui lui a d'ailleurs entaillé la jambe). Elle fut ensuite recueillie par un capitaine bulgare qui la vendit à un juif. Le « couple » appartient maintenant à un prêtre séculier (=un inquisiteur). C'est d'ailleurs lui qui a organisé l'auto-da-fé.
comment candide tua le frère de sa chère cunégonde. « J'aurai toute ma vie présent à la mémoire le jour horrible où je vis tuer mon père et ma mère, et violer ma sœur.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
Candide reprend cette idée, en s'exprimant : "chacun se mit à exercer ses talents" et la petite société prend sens. La morale de Voltaire est que le travail (jardinage) évite l'ennui (occupe le temps), le besoin ( car il produit de la richesse) et le vice (car il n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ).
Le but de Voltaire, en écrivant Candide ou l'Optimisme, est de lutter contre le mal. S'il est impossible d'agir contre les catastrophes naturelles ( raz de marée et tremblement de terre à Lisbonne ), nombre de maux qui accablent les hommes peuvent être supprimés.
« Il faut cultiver notre jardin », dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l'Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d'Eden n'a pas été créé pour que l'homme trouve le repos mais pour qu'il y travaille, qu'il exerce son talent.
La leçon finale de Candide fait écho à la philosophie qui est invoquée pendant toute la durée du récit : "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.". "Il faut cultiver notre jardin" est à la fin du conte et semble donc répondre à la première maxime énoncée.
Pangloss : c'est le précepteur de Candide. Il est comique, et Voltaire se sert de ce personnage pour ridiculiser la science et surtout la théorie de Leibnitz, philosophe, en disant « Tout est aux mieux dans le meilleur des mondes ». Phrase répétée : "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Dans toute l'oeuvre candide est a la quete de l'amour,et n'oublie jamais cunegonde sa bien aimé malgrès toutes les mesaventures et tous les risques qui peut rencontrer sur son chemin,son but c' est d'epouser Cunegonde et de vivre heureux (le parfait cliché).
2. Comment Candide fut-il sauvé de la mort ? A. ? Il a conclu un marché avec les soldats.
Dans ce cas "Il faut cultiver notre jardin" signifierait cultiver son propre savoir-faire et se mettre à exercer ses talents afin de faire fructifier au maximum ce que la vie nous a donné, de donner un sens à notre vie et d'atteindre la liberté spirituelle.
Voltaire : « le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin » (in Candide, Voltaire). Travailler évite à l'homme de s'ennuyer ou de sombrer dans le vice. Cela lui permet également de subvenir à ses besoins. Le travail est donc utile à l'homme, même s'il est parfois difficile ou pénible.
Il y aurait dans l'optimisme un certain aveuglement, un désir borné de ne pas se focaliser sur le côté sombre de la réalité. Dans son conte, Voltaire joue d'ailleurs malicieusement à mettre sur le chemin de Candide tous les malheurs du monde, comme autant de preuves de l'inanité de sa posture philosophique.
Un brave chirurgien guérit Candide en trois semaines avec les émollients enseignés par Dioscoride. Il avait déjà un peu de peau, et pou- vait marcher, quand le roi des Bulgares livra bataille au roi des Abares. CHAPITRE TROISIÈME. COMMENT CANDIDE SE SAUVA D'ENTRE LES BULGARES, ET CE QU'IL DEVINT.
Surpris en compagnie de Cunégonde par Don Issachar, menacé par ce dernier, Candide se voit obligé de le tuer. Mais il est minuit, et le Grand Inquisiteur arrive. Candide tue pour la seconde fois. C'est en Amérique que Candide, en fuite, a la surprise se trouver nez à nez avec le jeune baron, qu'il croyait mort.
L'inquisition décide alors de faire brûler quelques hérétiques. Pangloss est pendu pour avoir parlé, Candide est roué de coups pour l'avoir écouté. Mais cela n'empêche pas la terre de trembler à nouveau. Dans cette scène, Voltaire dénonce l'inquisition qui distrait le peuple avec des spectacles cruels et superstitieux.
Candide, comme l'indique son nom, est un jeune garçon optimiste et assez naïf. Secrètement, il a une admiration pour son maitre Pangloss qui lui enseignait la philosophie de l'optimisme, selon laquelle «tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles».
Pangloss apprend a Candide que "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles". C'est la théorie de l'optimisme du philosophe Leibnitz. Une fois encore Voltaire montre a quel point cette théorie est ridicule car les personnages sont poursuivis de malchance.