Il existe des mécanismes psychologiques qui permettent aux gens de blesser les autres. Ce sont des stratégies sophistiquées qui érigent le comportement du mal ; des actes qui décrivent un cerveau orienté pour obtenir ses propres avantages à tout prix, même en blessant ses proches.
Cela permet de regarder l'autre comme un être avec des failles, des faiblesses et donc des maladresses. Cela permet de se dire que c'est à sa propre souffrance, sa propre impuissance qu'il répond en s'attaquant à vous. Ce n'est pas directement à vous qu'il en veut.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
La douleur vient du fait que les mots nous touchent dans notre intimité et notre intégrité. C'est notre être tout entier qui est touché en plein cœur par ces mots. Qu'ils génèrent honte, peur ou colère, ces mots affectent nos capacités et blessent ce que l'on est.
Dire des paroles blessantes à quelqu'un, lui sacrer après, menacer de briser ses choses ou de déchirer ses vêtements et lui crier constamment après sont tous des exemples de violence psychologique. Si quelqu'un t'ignore pendant une longue période, c'est aussi de la violence psychologique.
Dire: «J'ai honte de ce que j'ai dit» ou «je suis triste de t'avoir blessé» peut dissiper la tension liée à la situation. Il est important également de faire comprendre à l'autre que l'on comprend l'avoir blessé. Rassurez la personne en lui disant que vous avez retenu la leçon et que cela ne se reproduira plus.
Comment répondre à une remarque blessante ? La meilleure manière de répondre à ce genre de remarque, c'est en répondant tout à fait normalement et gentiment : « Tout va bien ? ». En disant cela, vous montrez que même si vous n'appréciez pas le commentaire, vous ne souhaitez pas être offensif en retour.
La personnalité sadique est un trouble de la personnalité qui se caractérise par un ensemble de comportements destinés à faire souffrir autrui ou à le dominer. Il est difficile de traiter un tel comportement.
Lorsqu'une amitié se termine
Tu peux te sentir encore plus blessé si tu as tenté un rapprochement et que ça n'a pas fonctionné. Voici quelques suggestions pour tenir le coup : Vas-y tranquillement : Perdre un ami fait mal. Accorde-toi le temps de faire le deuil de votre amitié.
Comment se comporte une femme qui a souffert ? Une femme blessée ne laisse pas ses larmes couler devant le miroir. Elles se versent souvent dans le creux d'un oreiller le soir tard. C'est une blessure silencieuse comme ce cœur brisé qui saigne et qui laisse une sève nous donnant un goût amer pour l'amour.
Cela est souvent lié à la peur d'être abandonné, ou à un fort sentiment de déception dans une relation qui a beaucoup comptée. En général les deux sont liées. On apprend toutefois à gérer cette problématique parce que rejeter c'est aussi s'isoler et ce n'est pas forcément mieux.
Ne pas s'excuser est alors un moyen de montrer de l'assurance, de se sentir fort. D'ailleurs, selon une étude australienne datant de 2013 et menée par le Dr Tyler Okimoto de l'Université du Queensland, ce comportement permettrait aux anti-excuses de booster leur estime de soi. Enfin, à court terme du moins.
Lorsque quelqu'un nous fait du mal, le préjudice et la douleur qui en résulte s'accompagnent souvent de sentiments contradictoires. Tristesse, colère, déception… Parfois, on ressent même de la culpabilité ou on en vient à assumer le mal reçu comme une conséquence immanente d'une action passée dont on était responsable.
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
Les facteurs physiques comme le surentraînement, la fatigue sont les causes principales des blessures sportives. Cependant les facteurs psychologiques sont aussi des éléments prépondérants dans la survenue des blessures mais également dans l'accélération de la récupération de ces facultés physiques.