Un test d'effort après 40 ans. Le risque le plus important du running est celui du malaise cardiaque, voire de l'infarctus. « Après 40 ans, lorsque l'on veut se mettre à la course à pied, il faut absolument d'abord consulter un cardiologue.
Une autre étude publiée la même année avait quant à elle démontré que les athlètes d'endurance qui participent à des marathons intenses en course, vélo ou natation ont cinq fois plus de risques de développer un rythme cardiaque irrégulier appelé fibrillation auriculaire en raison d'un élargissement de leur muscle ...
Accidents cardiaques, infarctus, mort subite : il s'agit du malaise le plus grave qui peut survenir, quel que soit l'âge du pratiquant. La bonne connaissance du geste qui sauve et l'appel au plus vite des secours (15,18 ou 112) restent la meilleure prise en charge, en appliquant les techniques de secourisme.
Les inconvénients
Ce sport d'impact peut, à la longue, user les articulations et occasionner des blessures ou des fragilités, parfois permanentes. Les genoux sont particulièrement à risque. Le choix de bonnes chaussures de course réduira grandement les risques.
Si tu es en surpoids, courir tous les jours risquent de te provoquer des douleurs articulaires, tendineuses, voire pire. Mieux vaut oublier cette idée. Surtout que les dernières études montrent que le mieux pour maigrir est de courir doucement de temps en temps, avec des séances intenses de temps à autre.
Une pratique excessive de sport pourrait être néfaste pour la santé . Une activité physique trop intense ou trop régulière pourrait « user »le cœur et rendre le coureur plus sensible aux maladies cardiaques selon deux médecins américains dans la revue Heart.
Selon les chercheurs, la fréquence optimale, pour profiter des bienfaits du jogging sans nuire à la santé, est de trois joggings par semaine, d'une durée de 20 à 48 minutes chacun.
Les auteurs de l'étude sont formels. Il n'y a pas de différences importantes entre les personnes qui courent peu (50 minutes par semaine) ou beaucoup (3 heures hebdomadaires). La vitesse de course n'a pas non plus d'impact. L'étude démontre aussi que marcher 15 minutes par jour équivaut à 5 minutes de courses.
LES AVANTAGES DE COURIR 20 MINUTES PAR JOUR
L'un des principaux avantages de la course à pied est que c'est un excellent moyen de brûler des calories et de perdre du poids. Si vous courez pendant 20 minutes par jour, vous pouvez vous attendre à brûler environ 100 calories.
Courir 30 minutes par jour favorise le retour du sang vers le cœur en faisant des efforts avec plusieurs groupes musculaires. De plus la course à pied est étroitement reliée au phénomène de l'ostéoporose et permet d'en réduire le risque.
Le proverbe français « rien ne sert de courir il faut partir à point » signifie qu'il faut faire les choses au bon moment, et qu'on ne rattrape pas le temps perdu. En effet, mieux vaut un effort soutenu et régulier qu'une action brillante mais désordonnée et au dernier moment.
La course améliore plus nettement la santé que la marche, et c'est un meilleur investissement en terme de temps, puisque les bénéfices arrivent plus rapidement. Toutefois, même un tout petit peu de course augmente les risques de blessures.
Courir rend heureux, mais pas seulement à cause des endorphines ! Lorsque vous courrez, votre corps sécrète des endorphines. Ces hormones du bonheur sont ainsi considérées comme un véritable anti-dépresseur naturel. Le composant de l'endorphine est d'ailleurs assez proche de celui de la morphine.
Les inconvénients : Au-delà des questions relatives au manque de visibilité et à la sécurité, il convient de ne pas sortir trop tard. Pourquoi ? « Parce que l'activité physique à cette période de la journée peut aussi s'avérer être un frein à l'endormissement et au sommeil.
Une progression trop rapide du volume d'entrainement (distance parcourue par entrainement et par semaine) peut mener à des blessures aux genoux telles que le syndrome fémoro-patellaire, le syndrome de la bandelette ilio-tibiale et la tendinite rotulienne.
Si vous voulez progresser, c'est tout autre chose. Pour pratiquer ce sport régulièrement et en retirer les bénéfices (mentaux et physiques), je déconseille vivement de ne courir qu'une seule fois par semaine. Vous ne progresserez pas et il est très probable que vous serez rapidement découragé(e).
L'augmentation du débit respiratoire lié à l'exercice stimule la muqueuse qui tapisse les bronches et lui fait produire plus de mucus bronchique, mécanisme de défense naturel contre les bactéries, les poussières et les autres éléments présents dans l'air.
Beaucoup de runners et runneuses aiment le calme et la tranquillité d'un run matinal. En été, cela permet également de sortir avant qu'il ne fasse trop chaud. Par ailleurs, courir le matin peut vous aider à démarrer votre journée en ayant le sentiment d'avoir accompli quelque chose.
Le vainqueur peut courir le 5K quelque part entre 12-15 minutes et une femme gagnante pourra l'exécuter dans la gamme des 16-19 minutes. Certains marcheurs peuvent prendre plus d'une heure à la fin. La plupart des gens se sentent bien dans la finition de l'ordre de 20-25 minutes.
Si c'est dans un souci de garder la forme et qu'on a le temps de courir à faible intensité ou intensité modérée 30 minutes tous les jours ou 5 jours sur 7 (à l'heure du déjeuner ou avant d'aller travailler par exemple), c'est parfait : on se situe dans les recommandations de l'OMS et c'est tout bénéfice pour sa santé !
Courir tous les deux jours c'est mieux
Et ne tiendrez pas plus de 6 mois, 1 ans, 2 ans tout au plus si vous êtes mince et en forme. Courir régulièrement apporte de nombreux bénéfices et bienfaits : Réduction des maladies cardiovasculaires. Moins de risques d'accidents vasculaire cérébral.
La règle d'or à retenir est la progressivité et la régularité. Mieux vaut aller faire un footing de 20 minutes trois fois par semaine qu'une seule fois pendant 1 heure ! En courant régulièrement, vous habituerez votre coeur et votre organisme à l'effort exigé par la course à pied.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Le footing est un terme 100 % français désignant une sortie en course à pied, à allure modérée (3). Dans notre langue, il n'y a pas de véritable différence entre les mots « footing » et « jogging » : les deux se rapportent au même type d'effort, peu intense.
La course à pied est l'activité physique par excellence. Cette pratique très complète met en activité aussi bien les articulations qu'un grand nombre de muscles comme ceux de la voûte plantaire, les muscles dorsaux, les mollets, les quadriceps, les ischio-jambiers et les fessiers.