Les nuages d'averses sont causés par la différence de température entre la parcelle d'air soulevée et l'environnement plus froid en altitude. En effet, la parcelle se refroidit en montant mais selon le gradient thermique adiabatique, soit moins que la température de l'environnement dans les cas instables.
On peut aussi distinguer une pluie continue d'une averse par leur différence d'intensité. Une pluie continue gardera une intensité constante généralement faible ou modérée. Les averses sont plus instables et souvent plus intenses. Une pluie constante peut éventuellement évoluer en averse.
Les averses, un événement souvent court et intense
Les averses sont en général soudaines, intenses parfois très fortes et éphémères. L'origine du mot “averse” provient d'ailleurs du milieu agricole et du terme “verse”, phénomène désignant les cultures couchées au passage de pluies violentes.
Les grêlons se développent à l'intérieur du nuage par dépôts successifs de glace sur ces noyaux glaçogènes, avant de tomber au sol sous forme d'averses de grêle. Il arrive souvent que les grêlons fusionnent entre eux pour donner des particules encore plus grosses : on parle d'accrétion.
LES ALEAS CLIMATIQUES ASSURES : LA GRELE
Les nuages d'orages (cumulo-nimbus) donnent parfois de la grêle et non de la pluie. Les grêlons sont des grains de glace plus ou moins ronds. Ils se forment à partir de cristaux de glace brassés verticalement par de violents courants d'air au sein du nuage.
Les nuages d'averses sont causés par la différence de température entre la parcelle d'air soulevée et l'environnement plus froid en altitude. En effet, la parcelle se refroidit en montant mais selon le gradient thermique adiabatique, soit moins que la température de l'environnement dans les cas instables.
La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…). Cette vapeur d'eau se mélange à l'air, puis s'élève dans l'atmosphère et se refroidit par détente.
Les averses de grêle nocturnes sont moins nombreuses mais des chutes dévastatrices peuvent encore se produire notamment en début de nuit.
Comme nous l'avons expliqué, l'effet des températures. Les plus chauds se produisent généralement pendant la journée, pas la nuit. La nuit, il n'y a pas tellement d'évaporation, à part le sol considérablement plus froid. Tout cela fait que la grêle passe inaperçue.
La grêle est un des types solides de précipitations atmosphériques. Elle est constituée de billes disjointes de glace (grêlons) dont le diamètre peut varier de quelques millimètres à une vingtaine de centimètres, mais il est en général de 5 à 50 millimètres. Le code METAR de la grêle est GR.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Les pluviophiles adorent la voir tomber, voir le ciel se noircir, les nuages meubler l'espace. Les plus grands peintres ont réalisé des ciels chargés et magnifiques. La pluie réveille majorité des sens, et pas seulement la vue ou la sensualité du toucher. La pluie, c'est également une odeur.
bruine n.f. Petite pluie fine, qui tombe par gouttes imperceptibles. bruiner v. impers.
Une averse torrentielle peut conduire à des inondations si elle provoque des crues rapides. Les averses de pluie sont typiques des saisons intermédiaires (printemps, automne) ou des saisons des pluies dans les pays tropicaux; les averses de neige restent confinées à la période hivernale.
C'est le phénomène météorologique de « goutte froide » qui est en partie la cause de ces fortes précipitions. Il s'agit une poche d'air frais qui vient des latitudes nord, stagne et provoque orages et instabilité.
La pluie est polydisperse : la taille des gouttes varie du dixième de millimètres à quelques millimètres (en moyenne 1 à 2 mm ). Aucune goutte ne dépasse 3 mm , au-delà elles se pulvérisent.
L'actuel détenteur du record du plus gros grêlon en Amérique du Nord est un grêlon tombé près de Vivian, dans le Dakota du Sud, le 23 juillet 2010. Celui-ci pesait 879 grammes et avait un diamètre de 203 millimètres!
Les orages peuvent se produire en toute saison, tant que les conditions d'instabilité et d'humidité de l'air sont présentes. Le plus grand nombre se retrouve sous les tropiques et leur fréquence diminue en allant vers les pôles où ils ne se produisent qu'exceptionnellement.
Ainsi, lorsque la nuit s'amorce, on constate que l'humidité disponible croît assez sensiblement (humidification nocturne). De fait, les éclairs se génèreront plus facilement. Dans ce cas sa contredit le cas des orages secs, ( dans air très sec ), mais qui donnent parfois beaucoup d'éclairs .
La vapeur d'eau se condense jusqu'à former des gouttelettes d'eau ; lorsque ces dernières continuent leur ascension, elles finissent par congeler. Les particules de glace ainsi formées grossissent peu à peu en faisant des allers et retours dans le nuage, sous l'effet des courants ascendants et descendants.
Lorsque les cristaux de glace deviennent trop lourds, ils se décrochent alors des nuages et se précipitent vers le sol. Lors de cette chute, si les cristaux traversent différentes masses d'air où la température est négative alors ils se réunissent pour former des flocons de neige.
La vitesse de chute des grêlons est de l'ordre de grandeur des vitesses des courants ascendants dans les orages, soit couramment 50 à 100 km/h (tableau des caractéristiques moyennes des grêlons).
En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil.
Vous ne devez donc pas la boire, ni l'utiliser pour cuisiner ou laver la vaisselle. En effet, l'eau de pluie peut présenter une contamination chimique, notamment après ruissellement sur une surface contaminée. Elle peut également présenter une contamination bactérienne ou parasitaire si elle est stockée dans une cuve.
Conclusion : L'eau de pluie n'est pas salée parce que le sel de la mer ne s'évapore pas.