Pour éviter la confusion avec les noms composés acquis par plusieurs générations de la même lignée (par exemple Joliot-Curie), qui sont transmissibles, une circulaire du 6 décembre 2004 a imposé d'apposer sur les registres d'état civil un double trait d'union aux noms de famille relevant de cette loi (Dupont--Durand ...
Ce séparateur avait pour fonction d'identifier clairement les noms doubles, dont le régime de dévolution est spécifique.
Dans une décision du 22 juin 2022, le Conseil d'État a confirmé que les parents qui souhaitent que leur enfant porte leurs deux noms de famille accolés ne peuvent pas insérer un trait d'union entre eux.
Vous pouvez utiliser comme nom d'usage : Un double nom composé de votre nom et du nom du parent qui ne vous a pas été transmis à la naissance, dans la limite d'un nom de famille, en cas de double nom, pour chacun des parents . L'ordre des noms peut être choisi librement.
L'officier de l'état civil donne à l'enfant un double nom, composé des 2 noms des parents accolés par ordre alphabétique. Si un parent a lui même un double nom, l'officier ne retient que le 1er pour composer le nom de l'enfant. Le nom donné à cet enfant s'impose aux enfants suivants du couple.
Si les parents ne formulent aucun choix particulier, l'enfant portera le nom du parent qui aura établi la filiation en premier, ou en cas de filiations simultanées, celui du père. En cas de désaccord entre les parents et de filiations simultanées, l'enfant portera le nom de ses deux parents dans l'ordre alphabétique.
Vous pouvez faire figurer votre nom d'usage à la suite de votre nom de famille sur vos titres d'identité : carte d'identité et passeport. Dans ce cas, il faut renseigner la rubrique deuxième nom du formulaire de demande.
Mais traditionnellement, il faut retenir que l'honneur revient au nom de la mariée d'apparaitre en premier. C'est un détail qu'apprécient généralement les invités. S'il s'agit de citer les noms des membres des deux familles, on commencera aussi par celui de la mariée.
Le deuxième prénom, une tradition née après le Moyen Âge pour éviter les homonymes. Il avait surtout une connotation religieuse. Le deuxième prénom est souvent le nom d'un membre de la famille. "Catherine, c'est le nom de ma marraine qui est décédée, et Michel, c'est le nom de mon parrain", révèle une femme.
Un trait d'union relie deux ou plusieurs mots tandis qu'un tiret sépare les mots dans les déclarations parenthésées.
On met un trait d'union entre les termes désignant les dizaines et ceux exprimant les unités. Le trait d'union remplace et. dix-neuf (dix et neuf) ; soixante-douze (soixante et douze). Il n'y a pas de trait d'union dans les autres cas.
Les liens de parenté par filiation
Les parents, les frères et les sœurs ainsi que leurs descendants (neveux et nièces du défunt). Les ascendants autres que les parents (grands-parents et arrière-grands-parents du défunt). Les collatéraux ordinaires (oncles, tantes, cousins, cousines du défunt).
Simple ou double, le tiret a principalement pour rôle de créer un effet d'insistance et de signaler un changement de niveau dans le discours.
Le tiret sert à distinguer les personnages dans un dialogue, ou à séparer les parties d'une énumération. Il est également utilisé dans un titre ou un classement, entre le numéro ou la lettre et le titre lui-même. Les tirets servent à encadrer une incise.
Lorsqu'il suit un pronom personnel, l'adjectif « même » est précédé d'un trait d'union – moi-même, lui-même – et s'accorde au pluriel : nous-mêmes, eux-mêmes. En revanche, si « même » suit immédiatement un nom, on ne met pas de trait d'union. Exemples : « Cette femme est la bonté même », « Ce sont ses paroles mêmes ».
Après votre mariage, vous devez mettre à jour votre carte d'identité et votre passeport. Pour cela, direction la mairie. Pour le permis de conduire (et la carte grise de la voiture, si vous en possédez une), c'est à la préfecture de Police qu'il faut vous rendre pour effectuer les changements.
Après un divorce, peut-on garder le nom de son ex-mari ou de son ex-femme ? À la suite d'un divorce, vous perdez l'usage du nom de votre mari ou de votre femme. Toutefois, vous pouvez en conserver l'usage soit avec l'accord de votre ex-époux ou ex-épouse, soit avec l'accord du juge.
Comme nous l'avons vu, l'utilisation de l'assurance décès et de l'assurance vie permet d'ob- tenir de bons résultats très facilement. Pour les réfractaires au mariage et les couples homosexuels, il reste le PACS et le concubinage.
Oui, en se mariant, une femme conserve son nom de famille : Nom qui figure sur l'acte de naissance (appelé aussi nom de naissance ou nom patronymique). Elle n'a aucune démarche à faire. Toutefois, le mariage permet à chaque époux d'utiliser le nom de l'autre époux ou un double-nom : il s'agit d'un nom d'usage.
Les raisons peuvent être nombreuses et liées à l'histoire familiale et personnelle (parents divorcés, expérience antérieure d'un divorce….) ou être une question de principe ("ce n'est qu'un bout de papier !") ou la peur de l'engagement.
Je m'explique : le père légitime était le mari de la mère et la transmission du nom du père évoquait le poids de la tradition, de la légitimité et de la soumission à l'antique domination masculine. Seuls les enfants illégitimes, les bâtards, portaient le nom de leur mère, elle-même stigmatisée comme « fille-mère ».
De nos jours se dessinent : – la famille nucléaire : l'enfant vit avec ses deux parents, mariés ou non ; – la famille monoparentale : l'enfant vit avec son père ou sa mère ; – la famille recomposée : l'enfant vit avec sa mère, ou son père, et un beau- paren ; – la famille adoptive : l'enfant vit avec des parents non ...
Le nom du père, du chef du famille, s'est imposé car "dans les villages où tout le monde était agriculteur, c'était celui qui sortait, qu'on voyait, les femmes restaient à la maison avec les enfants", explique Mme Mergnac, autrice des Noms de famille en 100 clins d'oeil (Ed.