Le déclencheur du syndrome d'agoraphobie est souvent un malaise ou une attaque de panique vécue dans l'un des endroits précités. La personne peut ensuite craindre d'autres malaises, anxiété ou paniques à l'idée de fréquenter ces lieux et elle montre de la détresse lorsqu'elle est exposée à ces derniers.
Les causes de l'agoraphobie sont généralement attribuées à des facteurs génétiques de troubles anxieux (un parent agoraphobe). Les neurotransmetteurs peuvent aussi être impliqués, ainsi que l'exposition à des situations traumatisantes ou à un stress prolongé.
Le seul traitement efficace pour l'agoraphobie est alors la thérapie comportementale et cognitive(TCC). Il s'agit d'une thérapie brève (de quelques mois à deux ou trois ans) qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité.
Trouble panique avec agoraphobie
La personne qui présente de l'agoraphobie craint les lieux publics, souvent parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir en sortir facilement ou d'y faire une crise. Une personne qui fait de l'agoraphobie peut par exemple être incapable d'aller faire son épicerie ou d'aller voir un concert.
Des éléments traumatiques peuvent avoir participé à cette phobie. Les personnes hypersensibles et celles qui n'ont pas appris gérer leurs émotions (notamment à l'adolescence, lorsque les émotions grandissent, les peurs vont se cristalliser sur un objet) sont plus susceptibles d'en souffrir.
Certaines plantes comme la valériane, la passiflore ou l'aubépine peuvent aussi être utiles sur la crise ou en traitement de fond, tout comme l'hypnose, la sophrologie, l'acupuncture, le yoga ou la méditation par exemple.
S'informer. Dans un premier temps, il s'agit de bien s'informer sur les troubles anxieux. Pour ce faire, on peut s'adresser à son médecin de famille, à un psychiatre ou à un psychologue. On peut également chercher des informations sur Internet.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Pour un claustrophobe, le traitement à privilégier serait la thérapie cognitivo comportementale (TCC). Plusieurs recherches ont en effet démontré que la thérapie TCC était efficace à traiter les phobies spécifiques. L'aide psychologique sous forme de psychoéducation est d'abord donnée au client claustrophobe.
Un appareil d'IRM à champ ouvert soulage les patients claustrophobes. Ces derniers ne sont pas poussés dans un dispositif en forme de tunnel, mais sont installés entre deux grandes plaques horizontales. Les côtés de l'appareil sont ouverts : le patient reste ainsi en contact avec l'environnement au cours de l'examen.
Pour soigner cette peur maladive, il est conseillé de se rapprocher d'un professionnel pour suivre une thérapie cognitive et comportementale (TCC), de manière à remettre dans l'ordre les peurs réelles et les craintes irrationnelles.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Elle est un type de phobie spécifique. Comme d'autres phobies, l'atychiphobie mène souvent à un mode de vie restreint, affectant notamment la volonté d'une personne d'effectuer certaines activités.
les antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) : seuls la paroxétine, l'escitalopram et le citalopram ont l'autorisation de mise sur le marché ; les antidépresseurs tricycliques (ATC) : seule la clomipamine a l'autorisation de mise sur le marché.
L'attaque de panique ou crise d'angoisse aiguë se définit par : l'apparition soudaine d'une crainte, d'une angoisse ou appréhension intense, d'une peur ou terreur ; une sensation de catastrophe imminente, souvent associée à la peur.
Pour apprendre à aller vers les autres lorsque l'on a tendance à être repliée sur soi-même, il est donc important de se détendre ! Méditation, sophrologie, yoga, cohérence cardiaque... de nombreuses techniques de relaxation ont fait leurs preuves et permettent de gagner en sérénité et en confiance en soi !
Apprenez à écouter attentivement
Cela vous a sans doute déjà frappé : les gens adorent parler d'eux-mêmes. Servez-vous-en pour alimenter la conversation. «N'arrêtez pas de poser des questions et de manifester un réel intérêt», conseille Dianna Booher.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Pratiquez régulièrement une activité physique modérée (au moins 30 minutes, trois à cinq fois par semaine). L'exercice diminue la sensibilité anxieuse et le stress, surtout en plein air (cyclisme, marche).
La pantophobie est la peur de tout. Cette phobie très particulière est principalement associée à des attitudes mélancoliques qui enferment le sujet dans la remémoration continuelle du passé (avec la phrase récurrente : "c'était beaucoup mieux avant !").