Le trouble obsessionnel-compulsif n'est donc pas une défense contre l'angoisse, ni une répression, mais un moyen de réguler le système nerveux central ; c'est une manière d'utiliser la cause et l'effet en ressentant l'angoisse pour pouvoir l'apaiser par soi-même.
Différentes raisons peuvent provoquer des obsessions : Des facteurs psychologiques et sociaux (traumatismes subis pendant l'enfance, situations difficiles de vie, etc.) peuvent donner lieu à des obsessions. Des facteurs génétiques peuvent être en cause.
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) est recommandée si les problématiques sont liées à des dysfonctionnements interpersonnels. La Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier notamment dans les troubles anxieux et les TOCs.
Le trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive est caractérisé par une préoccupation omniprésente pour l'ordre, le perfectionnisme et le contrôle (sans place pour la flexibilité ou l'efficacité) qui, en fin de compte, interfère avec l'accomplissement d'une tâche.
Le traitement des TOC ou troubles obsessionnels compulsifs repose sur la prise d'antidépresseurs. Une psychothérapie, agissant sur les comportements et les pensées, est aussi possible (en particulier chez les enfants). Ces deux types de traitements peuvent être associés.
La névrose obsessionnelle est marquée par des obsessions et des compulsions : Les obsessions constituent des pensées envahissantes et répétitives engendrant souvent de la peur et de l'angoisse. Pour y remédier, la victime éprouve le besoin de réaliser des gestes répétitifs ou des rituels : les compulsions.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) déclenchent des pensées dérangeantes, répétitives et incontrôlables, causant une forte anxiété. Ces obsessions se focalisent sur des thèmes précis (saleté, sexe, peur de l'erreur, etc.) Ils sont fréquents et débutent souvent avant l'âge de 25 ans.
Vivre avec une personne psychorigide est difficile. Pour vivre avec une telle personnalité au mieux, il convient de ne pas l'encourager dans ses obsessions, son perfectionnisme et son besoin de tout régenter. Vous pouvez l'aider en définissant pour elle des priorités dans les choses à faire, ce qui calme ses angoisses.
Vérifier, compter, se laver encore et encore, pendant des heures, sans jamais se sentir rassuré, peut être le signe d'un « Trouble Obsessionnel Compulsif » (ou TOC). C'est une forme de trouble anxieux qui se soigne, à bien différencier des petites manies ou inquiétudes que l'on peut ressentir épisodiquement.
Le trouble obsessionnel-compulsif est une maladie qui se soigne. Il existe des traitements reconnus pour traiter ce trouble. Les traitements permettent aux personnes atteintes de reprendre le contrôle sur leur vie et leurs activités quotidiennes.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
L'obsession amoureuse peut naître après une rupture. "Souvent, c'est parce que la personne a construit toute son identité sur sa relation de couple, donc sans son ou sa partenaire, elle est perdue et a du mal à rebondir", constate Marie-Soleil Cordeau. Elle se raccroche à des souvenirs, à des moments passés à deux.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
On ne naît pas psychorigide, on le devient. Selon la théorie psychanalytique, il s'agirait de personnes qui auraient trop idéalisé leurs parents : elles éprouveraient ainsi une grande satisfaction à se conformer à des règles, de la même façon, qu'enfant, elles obéissaient aux adultes.
Les proches peuvent effectivement finir par ressentir un manque d'estime et, dans le milieu profesionnel, les interactions sont parfois délicates. La psychorigidité est un mécanisme de défense mis en place par des personnes ayant une personnalité pathologique qualifiée d'obsessionnelle.
Plusieurs causes peuvent être à l'origine de la palilalie : Dans la majeure partie des cas, la palilalie résulte d'un dysfonctionnement de l'articulateur. L'articulateur rassemble les organes qui intervient dans la production de la parole et comprend les lèvres, la langue, le larynx et le pharynx.
Une pensée intrusive est tout simplement une idée ou une image désagréable qui revient sans que la personne parvienne à s'en dégager. Ces pensées peuvent générer un trouble anxieux ou un trouble obsessionnel compulsif : Trouble anxieux → inquiétude → La pensée doit être analysée pour éviter sa réalisation.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
La rumination mentale, c'est quoi ? Il s'agit de pensées et sentiments négatifs au caractère répétitifs, prenant la forme d'un flot ininterrompu de pensées pessimistes et obsessionnelles. La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher.
Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).