Cela vient du fait que le boulanger gardait le pain destiné au bourreau à l'envers sous l'Ancien Régime. Ou encore, on ne pose pas le pain à l'envers, car selon la croyance cela voudrait dire qu'on le gagne sur le dos ou encore on disait que cela allait faire pleurer le petit jésus.
Certaines personnes superstitieuses considèrent que poser le pain à l'envers sur une table attire le diable et porte malheur. Cette croyance est née au Moyen Age. A cette époque, le bourreau était souvent peu apprécié dans les villes, car son métier lié à la mort.
C'est pourquoi lorsqu'il arrivait à un Algérien de trouver par terre un morceau de pain jeté, il le ramassait avec délicatesse, l'embrassait (comme pour excuser l'impardonnable geste de celui qui l'avait jeté), avant de le placer en hauteur comme pour lui éviter d'être souillé par des animaux ou écrasé par inadvertance ...
Cela permettrait de conserver la forme du pain et de couper de meilleurs morceaux car il y a moins de croûte dure à trancher. Cela est particulièrement efficace pour les baguettes, ou encore le pain au levain, car les côtés sont souvent plus étroits que le haut et le bas.
Il y a d'abord la religion, ou faire le signe de croix sur le pain est une coutume de la religion catholique, comme pour bénir le pain avant de l'entamer, un peu comme Jésus a béni le pain juste avant de le rompre, la veille de sa mort, lors de la Cène.
Dans notre culture catholique occidentale, il est considéré comme très impoli d'utiliser un couteau pour couper son pain à table car ce dernier est sacré. Cela vient de la culture catholique qui définit le pain comme le corps du Christ qu'il faut donc traiter spécialement.
La superstition selon laquelle présenter le pain à l'envers sur une table attire le diable remonte au Moyen Age. A cette époque, la peine de mort est largement pratiquée. Elle est exécutée en public, souvent à l'heure du marché afin que le peuple puisse y assister.
On peut faire tourner une corbeille à pain ou placer des petits pains individuels à gauche de chaque convive. Le fait de mettre le pain à gauche dans une petite assiette se fait lorsque les repas sont importants et que la maitresse de maison a décidé de faire dresser une table dans la pure tradition du savoir vivre.
On ne se ressert jamais de fromage
Étant le seul plat qu'elle n'a pas préparé, le plateau de fromage ne doit pas vous faire envie au point de vous resservir. Cela signifierait que ce qui vous a été servi avant n'était pas à votre goût et que vous vous rabattez alors sur le fromage.
La grigne, appelée aussi scarification (la profession boulangère parle de « grigner » les pains, de les « scarifier », les « lamer » ou les « inciser ») est la découpe faite par le boulanger sur le dessus du pâton juste avant l'enfournage.
Le pain est qualifié de différentes épithètes : « pain des Forts », donc « des Anges » (Psaume 78,23-25), il devient, dans les interprétations midrashiques des textes bibliques plus tardifs, une « nourriture d'immortalité » (Sagesse 19,21) et une « nourriture spirituelle » (2 Corinthiens 8,15).
Afin que le bourreau puisse l'identifier, le commerçant lui mettait alors sa miche à l'envers. Les clients, au courant de cette distinction, évitaient de toucher le pain en question par peur d'attraper le mauvais oeil. C'est ainsi que le pain retourné fut associé au malheur.
L'assiette à pain se place à gauche au-dessus des fourchettes.
Si l'origine de cette superstition est incertaine, le fait de croiser les couverts porterait malheur aux habitants de la maison ! En croisant deux couteaux, vous risqueriez d'attiser les querelles et les disputes.
Tout le monde savait que ce pain était celui du bourreau, et personne n'y touchait. Ainsi, le bourreau avait toujours son pain, quelle que soit l'heure des exécutions. Les gens disaient que le pain retourné attirait le bourreau chez soi, et depuis, cela est associé au malheur.
Astuces anti-gaspillage
Gardez- le dans une boite avec une moitié de pomme, avant de le consommer humidifiez votre pain et passez-le quelques secondes aux micro-ondes ou au four.
Autrefois, les personnes aisées se servaient régulièrement de couverts en argent, sujets à l'oxydation. En coupant les feuilles, la lame du couteau était ternie par la vinaigrette, acide, utilisée pour l'assaisonnement. Cela pouvait aussi provoquer l'apparition d'un «jus» grisâtre peu appétissant.
Ne pas lécher son couteau
On commence avec du classique, il est évidemment interdit de lécher son couteau. J'imagine qu'à la base, ça vient d'une raison de sécurité, mais aujourd'hui c'est simplement impoli, même avec un couteau à beurre, qui ne risque pourtant pas de te délester de ta langue.
On ne doit pas chanter durant les repas car ce n'est pas une place ni un lieu préparé pour ça, car si on le fait les gens pourrait penser que c'est a cause du vin au lieu d'autre chose.
À cette époque, nombreuses étaient les personnes qui se réunissaient autour de la table pour partager le repas. On était donc plus serré, avec peu d'espace pour chacun. Alors, pour ne pas gêner ses voisins, il n'était pas convenable de poser les coudes sur la table.
La petite cuillère et la fourchette à dessert se place entre l'assiette et les verres. Néanmoins, si elle n'est pas indispensable durant le repas, mais uniquement pour le café ou le dessert, il est préférable de l'apporter lorsqu'elle(s) est utile.
Le verre à eau
Il se place dès lors à gauche. Si le service de verrerie est dépareillé, il est possible que le verre soit plus petit que les verres à vin, ou qu'il s'agisse d'un verre sans pied, dans ce cas, il est placé tout à droite.
Choisir minimum 3 repas par semaine sur lesquels on se fixe un objectif. Plus on expérimente, plus on par- vient à corriger son schema alimen- taire. Eviter de prendre une 2ème bouchée avant d'avoir avalé la première. On ne se ressert pas, même pour les aliments basses calories.
La réponse est simple, au début du repas, soit avant le plat principal riche en glucides et protéines.