métaphysique
1. Science de l'être en tant qu'être, recherche et étude des premiers principes et des causes premières, connaissance rationnelle des réalités transcendantes et des choses en elles-mêmes. 2. Conception propre à un philosophe dans ces domaines : La métaphysique de Descartes.
Très éloignée des sciences normatives comme l'éthique, la métaphysique est une science philosophique qui questionne d'abord l'existence des choses ou des événements tels qu'ils nous apparaissent, et qui tente ensuite de décrire et d'expliquer ce qui existe vraiment.
Philo le monde comme volonté et comme représentation
Ayant accédé à la conscience de soi, doué d'intelligence, et conscient de sa finitude, l'Homme voudrait comprendre pourquoi il existe. Il est ainsi différent de tous les autres êtres vivants, et cela fait de lui un « animal métaphysique ».
Une philosophie qui se croit est religieuse à son endroit ; elle se prend pour la vérité, l'absolu, l'achèvement. La métaphysique se caractérise par une certaine foi dans le système, dans la doctrine, qui est une foi dans l'identité de l'Être et du Penser.
- Père de la logique et de la métaphysique, Aristote est aussi le père de la biologie (du moins le père de la zoologie, si l'on considère Théophraste comme celui de la botanique).
Selon les thèmes abordés, il est possible de distinguer trois types de métaphysiques qui, d'ailleurs, se mélangent et se superposent souvent, la métaphysique fantastique, la métaphysique généraliste et la métaphysique subjectiviste. Il s'agit là d'une classification empirique très approximative et sans prétention.
La métaphysique est l'une des branches traditionnelles de la philosophie. On peut définir la métaphysique comme cette discipline prenant pour objet ce qui échappe à toute expérience possible, ce qui dépasse la réalité sensible, physique : Dieu, l'âme, la mort, etc.
La thèse de Schopenhauer
La thèse défendue par Schopenhauer est que la satisfaction de nos désirs est insuffisante au bonheur ; par conséquent, la condition de l'homme est inévitablement malheureuse.
Rappelons tout d'abord que l'Homme est lui-même un animal, et qu'il ne possède aucune différence radicale avec d'autres espèces. D'autres animaux sont bipèdes, d'autres ont des cerveaux de taille importante, et les autres primates utilisent comme nous leurs mains avec des pouces opposables.
A la différence des sciences particulières, la métaphysique s'occupe de questions qui concernent la réalité en totalité. Sa tâche proche et première est donc de viser cette totalité et de se demander où celle-ci lui est donnée.
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sont intégralement métaphysiciens et c'est pourquoi ils sont à la fois des philosophes en ce sens qu'ils ont une vision du monde parfaitement cohérente, qu'ils sont capables d'exposer «dialectiquement» dans leur doctrine... G.
Ainsi, par exemple, la métaphysique est : pour Aristote (384-322 av JC), l'étude de l'être ou de l'essence des choses, indépendamment de leurs propriétés particulières.
La métaphysique n'est pas seulement une ontologie, c'est-à-dire une théorie de l'être suivant laquelle la réalité ne se réduit pas pour l'essentiel à ses manifestations sensibles, elle est également une épistémologie suivant laquelle par-delà les vérités empiriques, particulières et contingentes, il existe des vérités ...
La métaphysique n'y est plus abordée comme une branche de la philosophie, mais « comme événement dans l'existence humaine, comme quelque chose de propre et d'essentiel à la nature de l'homme ». Heidegger semble y redécouvrir le thème kantien d'une « metaphysica naturalis » qu'il va tenir pour la véritable métaphysique.
La souffrance apparaît dans la quête du désir, et dès que celui-ci est satisfait, l'ennui survient. C'est pourquoi Schopenhauer écrit : « La vie oscille, comme une pendule de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui »[4]. La vie va de la souffrance à l'ennui et inversement.
Schopenhauer met ici en évidence l'attribut qui fait du désir une souffrance : le désir est sans fin ; il ne connaît en lui aucune limite et ne s'achève qu'avec la vie elle-même. « La satisfaction d'aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable ».
Dans sa philosophie, Schopenhauer écarte toute idée d'arrière monde et fustige tout fantasme de l'au-delà. Elle est par là radicalement athée en faisant disparaitre le dualisme traditionnel du corps et de l'âme : le corps comme volonté incarnée devient le principe de toute une métaphysique.
La question : « Que m'est-il permis d'espérer ? » prend une résonance particulière si on la rapporte au « quadriparti cosmopolitique » de Kant qui la rend inséparable des trois autres questions (« Que puis-je savoir ? », « Que dois-je faire ? », « Qu'est-ce que l'homme ? »), qui incombent à tout être raisonnable pour ...
La Métaphysique serait la science ou la discipline qui considère des objets qui sont au-delà de la Physique, c'est-à-dire qui sont au-delà de l'expérience, des objets surnaturels, si l'on traduit l'étymologie même de ce terme de Métaphysique, au sens de hyperphysique.
1. La question de savoir ce que serait la métaphysique est elle-même une question métaphysique, car la métaphysique est le fait de questionner ce qu'est une chose en visant des réponses définitives, universellement contraignantes à ces questions ou encore en visant « l'essence » de quelque chose.
La science est réelle, c'est-à-dire vraie. Et parce qu'il n'y a de science que d'expérience, la Métaphysique est congédiée, rejetée ; et ce bien plus que l'homme ordinaire, par ceux-mêmes qui pratiquent la Science. aussi à portée de leurs mains.
La cause première, ou premier Principe (en grec ancien : ἀρχή, arkhè), est un concept de philosophie métaphysique. Il s'agit de la première de toutes les causes, c'est-à-dire la plus ancienne ou la plus profonde, celle responsable de l'ordre de l'univers.
L'être en tant qu'être dont il est question ci-dessus renvoie en fin de compte à la substance. Et si la philosophie est la science qui s'enquiert du principe ultime de chaque chose, la science qui porte sur l'être en tant qu'être est celle-là même qui porte sur le principe ultime des substances.