Étymologie. (Nom commun 1) ( XII e siècle) Du bas latin des Balkans brutis, (« belle-fille »), introduit par les Goths au III e siècle, supplantant le latin nurus. Apparenté au gotique 𐌱𐍂𐌿𐌸𐍃 bruþs, (« jeune mariée »), ainsi qu'à l'anglais bride et à l'allemand Braut (« fiancée, mariée »).
C'est à cette période qu'en français, le mot «bru» vient remplacer le latin «nurus» qui, jusqu'ici, désignait la conjointe du fils. Celle-là même que l'on nomme également «belle-fille» - «belle» étant ici synonyme de «chère» - depuis le XVe siècle. Ce, au regard du père et de la mère de ce fils.
Belle fille. C'est un terme d'alliance relatif au pere & à la mere d'un fils, à l'égard desquels la femme qu'il a épousée s'appelle leur bru, ou leur belle-fille. Menage derive ce mot de nurus Latin, ou de l'Allemand bruyt, ou plustost braut, qui signifie épousée.
Bru est légèrement vieilli ; belle-fille est plus usuel.
(Incident bref, résolu et inexpliqué)
Le BRUE (acronyme anglais, pour incident bref, résolu et inexpliqué) est un épisode de cyanose ou de pâleur, de respiration anormale, de tonus musculaire anormal ou de réactivité altérée chez les nourrissons.
Bru Femme du fils. Gendre Mari de la fille.
L'orthographe la brue est incorrecte.
aviné, enivré, ivre, pris de boisson.
belle-fille (bru):
daughter-in-law.
amusant, comique, désopilant, drôle, gai, plaisant.
Dans le langage courant, ces termes désignent respectivement l'enfant du premier mariage et le second mari de la mère; de même les expressions correspondantes belle-fille et belle-mère. Pour dénommer le beau-fils et la belle-fille, deux désignations sont propres aux alliés : le gendre et la bru.
➙ joli, magnifique, ravissant, splendide, superbe; s'oppose à laid. Un beau paysage. Un bel homme, une belle femme. Beau, belle comme un astre, comme le jour.
1400 lat. médiév. bella mater « femme du père par rapport aux enfants qu'il a eu d'un premier mariage » (Charta, ann.
Composé de belle, terme de courtoisie et d'affection, et de fille. 1. Dans un couple, fille qu'un conjoint a eue d'un mariage antérieur.
De façon générale, même avec l'accent le plus neutre possible, vous repérerez le Belge à sa façon unique de prononcer la diphtongue « ui ». Dans le pays de Jacques Brel, elle se prononce « oui ».
On appelle aussi Beau-fils, & Belle-fille, des enfants qui sont nés d'un premier mariage à l'égard des mariés en secondes nopces. Les enfants du mari sont beaux-fils, & belles-filles à l'égard de la seconde femme, & les enfants de la femme sont la même chose à l'égard du second mari.
drink v (drank, drunk)
Il avait si soif qu'il a bu la bouteille entière. He was so thirsty he drank the whole bottle. Elle boit toujours du café le matin. She always drinks coffee in the morning.
soûl adj. Qui est ivre, qui a bu avec excès d'une boisson... soûl n.m.
affection, amitié, attachement, coup de foudre, tendresse. – Littéraire : entichement, flamme, piété, sentiment. Contraire : animosité, antipathie, aversion, haine.
s'abreuver, absorber, avaler, consommer, se désaltérer, étancher sa soif, ingurgiter, lever son verre, porter un toast, prendre, vider. – Familier : s'enfiler, lamper, prendre un pot, siffler, siroter. – Populaire : s'envoyer, se rincer la dalle, se rincer le gosier.
belle-fille, belles-filles.
Difficultés. L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.