Pourquoi réfléchir ? La capacité de réfléchir est ce qui distingue le mieux l'homme des autres animaux. C'est cette capacité qui permet à notre civilisation de se développer, en bien et en mal.
- Résumons : réfléchir, en prenant du temps pour penser dans sa tête, ça évite de faire des bêtises en agissant trop vite, c'est important pour réussir à l'école, ça rend plus intelligent…».
L'idéal est de trouver un équilibre entre lecture, réflexion et écriture et action. Il faut également trouver un équilibre entre l'action et la réflexion. Selon Henry Mintzberg, la capacité de réfléchir est l'une des 51 qualités nécessaires pour une réussite assurée en gestion.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Trop penser peut devenir un problème
Se concentrer devient difficile. Par ailleurs, trop penser demande de l'énergie mentale. Lorsque l'on réfléchit, nous consommons des calories et notre cerveau travaille. Cela peut devenir fatigant à long terme.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
Le besoin compulsif de comprendre, peut traduire une recherche de contrôle, la vaine tentative de contenir ce qui nous contient, de comprendre ce qui nous dépasse (…qui nous comprend), ce qui est proprement impossible.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Citation Démocrite regret : Mieux vaut réfléchir avant d'agir que...
Pourquoi réfléchir ? La capacité de réfléchir est ce qui distingue le mieux l'homme des autres animaux. C'est cette capacité qui permet à notre civilisation de se développer, en bien et en mal.
Réfléchir – au sens fort – signifie donc apprendre à juger en dépouillant la pensée de ses préjugés, ce qui est proprement philosopher. Une “réflexion” (au sens courant du terme) qui ne serait pas une réflexivité critique ressemblerait à une imagination, ou à un raisonnement.
Restez calme. Cela pourrait être plus facile à dire qu'à faire, mais un des facteurs les plus importants à prendre en compte pour réfléchir est le calme et si possible, la solitude. Détendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extérieures.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
L'égocentrique est une personne qui ramène tout à elle. Tout ce qu'elle dit, ce qu'elle fait, ce qu'elle pense, ce qu'elle entreprend a plus de valeur que ce que font les autres. Il peut nous arriver à tous d'avoir parfois des comportements égocentriques.
Il est pratiquement impossible de ne penser à rien. Et pour cause ! L'activité cérébrale d'un être humain vivant ne cesse jamais. En revanche, les images mentales n'accèdent pas toutes à la conscience et cette dernière peut être partiellement contrôlée par la méditation ou l'hypnose.
Qu'on soit en phase de sommeil, dans le coma ou éveillé, le cerveau est en activité, donc produit des pensées. Il peut moduler son activité, mais ne s'arrête jamais. En fait, le seul moment où on ne pense pas, c'est quand on est mort ». Cependant, il est possible que certaines pensées ne soient pas conscientes.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.