La répétition connecte chaque morceau de musique au suivant : c'est ce qui fait que quand on entend quelques notes, on imagine déjà ce qui suit. Le cerveau est inconsciemment en train de chanter, et c'est à ce moment-là qu'on peut se mettre à fredonner sans s'en rendre compte.
Elle procure une sensation de plaisir en agissant sur le système de récompense, grâce aux neurones dopaminergiques qui libèrent de la dopamine dans le cerveau. Preuve que la musique adoucit les mœurs, une étude a montré que le fait d'écouter de la musique en voiture a un effet positif sur l'humeur des conducteurs.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
« Quand on écoute une musique qui nous plaît (ou qu'on la chantonne dans notre tête), notre cerveau sécrète des neurotransmetteurs (la dopamine, la morphine endogène et la sérotonine) qui activent le circuit du plaisir et de la récompense exactement comme dans la prise de drogues, explique le neurologue Pierre ...
Les scientifiques qui étudient la question depuis de nombreuses années, appellent ce phénomène « le vers d'oreille », qualifié également « d'imagerie musicale involontaire » (INMI) par la profession.
Il suffirait de... mâcher du chewing-gum ! La mastication - d'un chewing-gum ou même d'un bâton de cannelle - permet justement d'agir sur la partie du cerveau responsable du souvenir involontaire de la musique.
Un volume sonore excessif peut faire des dégâts et abîmer les cellules ciliées, voire les détruire. Les risques d'endommager son système auditif sont accrus en cas d'exposition constante ou récurrente, et si le son est monté régulièrement. Le seuil de danger est estimé à 85 décibels.
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
Voici une petite astuce pour savoir si votre musique est trop forte: si la musique que vous écoutez avec vos écouteurs est encore audible quand vous tendez l'écouteur à bout de bras, la musique est trop forte et les risques de pertes auditives sont réels.
CERVEAU - Les mélomanes en savent quelque chose, le plaisir procuré la musique peut être quasiment égal à celui que génèrent la nourriture ou encore certains psychotropes.
Des chercheurs australiens en psychologie de la musique suggèrent qu'écouter de la musique pourrait être la réponse à une meilleure nuit de sommeil. Écouter de la musique au coucher peut non seulement aider les gens à s'endormir plus rapidement, mais aussi améliorer la qualité du sommeil.
A l'écoute de morceaux de musique que nous apprécions le plus, notre cerveau anticipe la libération de dopamine, l'hormone du plaisir. Cela crée même des frissons chez certains. Notre cerveau réagit positivement lorsque nous écoutons une de nos musiques favorites.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
Écouter de la musique triste provoque du chagrin, de la peine ou de la mélancolie de façon plus intense mais fait office d'exécutoire qui fait du bien. Ressentir ces émotions négatives contient des effets positifs car cela permet d'affronter sa douleur plutôt que de la refouler.
Des chansons apaisantes
D'autres recherches ont révélé qu'écouter ce genre de chansons stimule les régions du cerveau qui contrôlent notre imagination, notre mémoire et qui régulent nos émotions. Les personnes qui écoutent davantage de musiques tristes seraient également plus empathiques.
La musique adoucit les mœurs
Il leur a ensuite demandé de compléter des mots représentés par leur première syllabe : par exemple « bag- » qui peut donner « bag-age » ou « bag-arre », selon que l'on se trouve dans des dispositions d'esprit agressives ou pacifiques.
L'idéal étant bien sûr de les chanter ou de les écouter dans une musique dédiée à la Fréquence! Fréquence 528 Hz. Un autre moyen pour bénéficier de ces fréquences de guérison est d'écouter les fréquences. Je vous conseille d'écouter ces fréquences jouées par des instruments naturels, avec des sons naturels.
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.
Oui, c'est vrai, car nos oreilles sont très fragiles ! Si on s'expose à un niveau sonore trop élevé, on prend le risque de devenir sourd un jour.
Après une soirée en boîte de nuit, un jeune sur trois a déjà ressenti temporairement des acouphènes (sifflements dans les oreilles). Ces signes doivent immédiatement alerter. Si les signes persistent, un bilan auditif s'impose. Chez certains, une seule forte exposition peut détruire les cellules auditives.
Vos oreilles entendent différemment
Votre oreille gauche est meilleure que votre droite pour recevoir les sons de la parole, alors que votre oreille droite est plus sensible à la musique et aux chansons, selon les chercheurs américains de cette étude.
C'est souvent lié à des épisodes de vie très forts comme un deuil, une maladie, un divorce. Dans ces cas-là,nos pensées font une véritable intrusion dans notre esprit. Oui. Il est alors compliqué de prendre du recul pour stopper le cercle vicieux de la rumination.
Si bien que vous pouvez vous réveiller en plein milieu de la nuit, car une chanson vous reste en tête. Les "vers d'oreille" désignent le fait qu'une musique reste longtemps dans la tête. Écouter de la musique avant de dormir stimule le cerveau, qui se réactive dans la nuit et génère des réveils nocturnes.