Elle leur permet d'intégrer des règles communes, de prendre confiance en eux, de se découvrir tout en apprenant à mieux connaître leur corps.
Les parcours de motricité destinés au public enfant per- mettent de lui faire vivre des expériences corporelles contribuant au développement moteur, sensoriel, affectif et cognitif. Par ses actions dans un environnement riche, l'enfant va développer des capacités (courir, sauter, ramper, grimper, rouler, etc…)
Grâce à sa motricité, un enfant est en mesure de tenir un objet entre ses doigts, de dessiner, de bouger et d'effectuer tous les mouvements dont il a besoin dans sa vie quotidienne. Pour l'inviter à développer plus rapidement des gestes de précision, la pratique de certaines activités est la bienvenue.
La motricité globale permet d'offrir à l'enfant une expérience psychomotrice diversifiée, qui est à la base de tous les apprentissages subséquents essentiels à son développement global (moteur, intellectuel, social et affectif).
Il faut bien connaitre la motricité fine pour dépister et distinguer les enfants qui présentent des vulnérabilités et qui ont besoin d'être dirigés vers un professionnel de ceux qui ont simplement eu moins d'occasions de stimulation et qui vont bien progresser simplement en faisant plus d'activités de motricité fine.
Comme nous venons de le voir, Il existe plusieurs moyens pour travailler la motricité d'un enfant. En effet, pâte-à-modeler, ballons, tunnel, marelle, trottinette, sont tous aussi efficaces les uns que les autres pour le développement de la motricité fine de l'enfant et pour sa socialisation.
L'enfant est ainsi libre de jouer avec ses pieds, ses mains, découvrir la sensation de l'eau qui bouge en même temps que lui, etc. Il apprend vite à barboter et devient plus rapidement maître de ses mouvements. La motricité libre permet au nourrisson de se développer à son propre rythme.
Ensemble des fonctions nerveuses et musculaires permettant les mouvements volontaires ou automatiques du corps.
La motricité fine correspond à l'ensemble des mouvements précis, coordonnés et contrôlés des mains et des doigts que l'on va mobiliser dans le but d'accomplir un geste volontaire. Ces mouvements sont essentiels pour l'autonomie au quotidien : pour manger, s'habiller, tenir un stylo…
Ces habiletés l'aideront à maîtriser certaines activités physiques, comme s'asseoir, ramper, marcher, courir, grimper, sauter, et plusieurs autres mouvements que son corps lui permet de faire. Développer la motricité globale aide beaucoup au développement de la motricité fine.
Pleins d'idées pour développer la motricité fine :
Faire une grosse boule de pâte à modeler, la garder dans la main et l'écraser simultanément avec tous les doigts. Tordre des éponges à une main ou à deux mains. Faire avancer des boules de ouates en les soufflant avec une poire à jus, pompée avec les doigts.
La répétition, l'entrainement et la diversité des mouvements favorise la qualité de l'apprentissage. Les expériences spontanées précédant l'acquisition de la marche sont très profitables. personnes qui les entoure peut favoriser ou freiner l'installation d'une bonne motricité.
Le système moteur
La commande du mouvement se fait par les voies de la motricité, un réseau de neurones connectés se coordonnant pour générer le mouvement. La motricité est aussi un apprentissage. Lorsque nous apprenons à écrire ou à jouer d'un instrument, nos réseaux de neurones se connectent de façon spécifique.
avec des objets : qui roulent : cerceaux, balles, ballons, anneaux,… déformables : tissus élastiques : jersey, caoutchouc Situations où l'enfant…
La motricité volontaire est l'activité nerveuse qui permet la réalisation des mouvements volontaires contrôlés par le cerveau, ils sont exécutés selon la volonté de la personne.
Critères d'évaluation de la motricité involontaire
On évalue l'hypertonie spastique grâce à l'échelle d'Ashworth modifiée. Pour cela, on positionne le(la) patient(e) en décubitus dorsale stricte, et où ensuite, on va le(la) mobiliser le plus rapidement possible (1 seconde ou moins) sur toute l'amplitude du mouvement.
porter bébé le plus souvent possible à la maison ; bercer votre enfant dès qu'il en ressent le besoin ; poser le sur le dos pour qu'il joue avec son corps ; éviter de le mettre trop longtemps dans un transat, un siège-auto ou un Youpala.
La gymnastique, pour l'équilibre
En multipliant les divers sauts et déplacements latéraux, la gymnastique est un bon moyen de développer la motricité des enfants.
On désigne par motricité globale les acquisitions en lien avec l'équilibre et la coordination qui permettent à l'enfant d'utiliser et de maîtriser les muscles de son corps afin de réaliser certains mouvements ou actions, par exemple se tenir en position assise, ramper, marcher, courir, sauter, grimper, etc.
L'école maternelle est l'occasion de construire les actions motrices essentielles : se déplacer, assurer son équilibre et manipuler des objets, les projeter ou les recevoir. Les jeux des tout petits en sont les premières manifestations.
Les parcours de motricité peuvent être utilisés dès la naissance et jusqu'à l'âge de 6 ans. Ils sont spécialement conçus pour accompagner les progrès physiques et sensoriels des bébés tout en donnant aux parents une occasion de les encourager et de les stimuler.