Pour un effort d'une même intensité, les athlètes travaillant en continu s'épuisent au bout de quelques minutes, alors qu'avec un travail intermittent de 15''/15'', ils peuvent maintenir leur effort jusqu'à 1 heure. Il est démontré que le taux d'utilisation des lipides est plus élevé durant un effort intermittent.
Le fractionné permet aussi de faire fondre plus de graisses : "L'alternance d'efforts intenses et plus doux permet au corps de produire de l'acide lactique qui favorise la libération de l'hormone de croissance. Cela accélère la fonte des graisses. De plus, varier les allures stresse l'organisme.
Les joueurs se placent sur la ligne des 16m50. Au coup de sifflet , ils sprintent jusqu'a la ligne de but et reviennent. Sur une durée de 15 secondes puis 15 secondes de récupération. Diviser votre groupe en 3 niveaux en fonction des résultats du premier exercice (ou des tests effectués auparavant.
Le fractionné court
Pour faire du travail fractionné court, il faut faire des séries de 150 m (débutant) à 200 m (confirmé) avec des temps de récupération courts (de 30 secondes à 1 minute). Faire par exemple, 3 séries de 6x 200m. C'est une séance idéale pour travailler sa puissance pure.
effort situé entre 10 à 15 min. Nous ne tenons pas compte du temps de récupération active. Nous pouvons affirmer que le travail intermittent à intensité supra-maximale (100% voire plus de la VAM) permet de perdre du poids ce qui est aussi possible avec un travail continu.
Méthodes de travail intermittent intermittent long,
Le temps d'effort peut aller jusqu'à 3 minutes. La méthode des efforts Intermittents longs consiste à effectuer une succession d'efforts (6 répétitions) supra-maximaux (105-110%) d'environ 3′, entrecoupés de récupérations actives d'une durée équivalente.
Vous pouvez donc les diviser en 10 séries de 30 secondes à haute intensité, avec 30 secondes de récupération à basse intensité entre chaque fraction. Ce qui donne l'exercice fractionné le plus populaire au monde et le plus utilisé, par les athlètes chevronnés comme les coureurs plus modestes : le 30/30.
Fractionné : 1,6 km de course à l'allure d'un 5 km, puis 800 m à l'allure d'un 3 km, puis 2×200 m à l'allure d'un 800 m, avec 400 m de récupération. Au seuil : 8 à 11 km à l'allure d'un semi ou marathon (= allure d'un 5 km + 45 secondes tous les 1,6 km), avec 1,6 km d'échauffement et retour au calme.
Elle est d'environ 14 km/h pour un coureur de niveau moyen, et peut s'élever jusqu'à 26 km/h chez les meilleurs athlètes mondiaux. Exemple d'un tableau pour un test avec une VMA de 13.
La moyenne des joueurs se situe plutôt autour de 18 km/h.
Il faut donc faire régulièrement des séances d'intervalles, ou « fractionnées ». Schématiquement, on va courir à VMA le plus longtemps possible (soit un total d'une quinzaine de minutes environ), mais par fractions de quelques secondes (15 s/15 s récup), ou de quelques minutes (3 min/2 min récup).
Le « fractionné » permet de perdre davantage de poids que lors d'un footing de 50 minutes. Pourquoi ? L'alternance efforts intenses/phases de repos favorise la production d'acide lactique. Ce déchet métabolique se manifeste lorsqu'un muscle est soumis à un effort intense et continu.
Les séances de vitesse spécifiques au 10 km se divisent en 3 parties. Les répétitions courtes n'excédant pas les 30 secondes. Comme les 30/30, 8 x 200 m ou les sprints ils ont pour but de développer la VMA et la puissance musculaire. Ensuite, les fractionnés moyenne distance, leur durée ne dépasse pas les 2 minutes.
5km, c'est l'équivalent d'une demi heure de course sans arrêt. Certes, il s'agit d'un entraînement banal si vous avez un bon niveau en course à pieds, mais pour les novices, c'est une aventure. La coach sportive à Bordeaux, Elsa Monchy, nous donne ses conseils et astuces pour courir 5km, quel que soit son niveau.
Il faut, pour brûler des graisses efficacement, courir 30 minutes avec une intensité moyenne à haute, et comptabiliser au total au moins 20 kilomètres à la fin de la semaine.
12 km/h – soit cinq minutes juste au kilomètre – est un objectif accessible au plus grand nombre. A condition toutefois de remplir certains critères : S'être inscrit dans une pratique régulière de la course à pied (2 à 3 sorties par semaine depuis trois mois au moins). Avoir une VMA proche de 14 km/h est un minimum.
Sur une séance de 30 minutes, vous brûlerez ainsi environ 300Kcal dont la moitié en graisses. Et pendant les 24h qui suivent, le travail de récupération interne est lui aussi si intensif que la dépense calorique au repos augmente carrément de 20%.
Courir régulièrement
La pratique du running permet de brûler environ 75 calories par kilomètre. Passer de 30 à 50kms par semaine signifie donc un déficit, à nutrition égale, d'environ 1 500 calories. Soit une perte de près de 250 grammes.
Pour puiser dans les graisses et dans les réserves, l'idéal est de prévoir des sorties longues, en endurance. Durant ces sorties, vous garderez le même rythme de base, une allure qui ne sera pas trop difficile à tenir à votre niveau, pour courir minimum 45 minutes, voire plus longtemps, si vous en êtes capable.
Le travail intermittent se caractérise par l'alternance de périodes travaillées et de périodes non travaillées. Il doit être prévu par un accord collectif et doit faire l'objet d'un contrat à durée indéterminée, conclu par écrit et comportant un certain nombre de clauses obligatoires.
La capacité aérobique s'entend de la capacité des poumons, du cœur et de l'appareil circulatoire à acheminer efficacement l'oxygène aux muscles sollicités pendant l'activité physique.
Protocole du test VAMEVAL
Le test VAMEVAL se réalise sur une piste d'athlétisme. Des plots sont positionnés tous les 20m. Le sportif doit courir autour d'une terrain à partir de 8km/h pendant 2 minutes. Puis sa vitesse augmente de 0,5km/h toutes les minutes.