En effet, le gilet de sauvetage est bien plus sûr qu'un gilet d'aide à la flottabilité : il ne vous fait pas seulement flotter mais permet la libération des voies respiratoires grâce au retournement du corps et convient aux personnes ne sachant pas nager ou n'étant pas en mesure de nager.
En le laissant tomber dans l'eau, il ne coule pas, mais flotte entre deux eaux. Pour lui sortir la tête hors de l'eau pour lui permettre de respirer, on doit le soulager de seulement quelques kilos.
Le vêtement de flottaison individuel (VFI) est conçu pour le confort et pour être porté en permanence. La plupart des modèles offrent donc une flottabilité moindre que celle des gilets de sauvetage et ne sont pas conçus pour retourner le visage du porteur vers le haut, ni pour incliner ce dernier sur le dos.
Le gilet de sauvetage a deux gros avantage : il vous maintient à la surface et vous empêche de couler mais surtout il permet aux secours de facilement vous localiser et vous secourir en cas de besoin.
La fonctionnement d'un gilet de sauvetage est simple : exercer une poussée verticale pour maintenir les voies respiratoires du porteur hors de l'eau. Un gilet de sauvetage de 150N suffira à maintenir la tête d'un adulte hors de l'eau.
La durée de vie d'un gilet de sauvetage est limitée dans le temps. Elle a été fixée à 10 ans en raison de l'usure et du vieillissement des différents matériaux qui le composent. En effet, on estime que la flottabilité et les performances d'un gilet de sauvetage sont bien moins efficaces après une dizaine d'années.
Système hydrostatique : aussi appelé Hammar (la marque du système), ce système fonctionne sous l'effet de la pression de l'eau. Dès que la pression augmente (à partir de 10 cm sous l'eau) la membrane laisse passer l'eau et le gilet se gonfle automatiquement.
Le port d'un gilet de sauvetage est obligatoire à partir d'une navigation de plaisance basique pour toutes les personnes embarquées à bord d'un bateau et concerne les équipements individuels de flottabilités.
Le gilet 50 N est recommandé pour la pratique des sports suivants : Jet ski.
Les gilets de sauvetage offrent plus de protection que les VFI. Ils sont de couleur rouge, orange ou jaune et ils sont pourvus de bandes réfléchissantes conformes aux normes SOLAS (sauvegarde de la vie humaine en mer). Les gilets de sauvetage permettent ainsi de repérer les victimes beaucoup plus facilement.
La norme NF EN ISO 12402-2 correspond au gilet de sauvetage 250 newtons. Ces gilets de sauvetage sont destinés à une pratique en haute mer et restent performants même dans les conditions les plus extrêmes. Ce modèle de gilet uniquement gonflable au contact de l'eau assure la survie du porteur.
1- Le port d'un gilet de sauvetage ou d'un VFI permet d'éviter 90 % des noyades liées à la navigation. 2- Il réduit l'impact initial d'une chute dans l'eau froide (le choc de l'eau froide pour les muscles) ce qui peut vous aider à éviter l'hypothermie qui est loin d'être une expérience agréable.
Vous pouvez aussi utiliser le tube pour regonfler le gilet de sauvetage s'il ne gonfle pas complètement ou perd de la flottabilité. Vous devez inspecter vos gilets de sauvetage régulièrement pour vous assurer qu'ils fonctionnent correctement, et ils doivent être entretenus tel que le recommande le fabricant.
La vie de gilets de sauvetage gonflables a été limitée à dix ans. Afin de garantir l'intégrité et les performances optimales durant cette période de dix ans, dans le cadre d'une utilisation plaisance, les gilets de sauvetage doivent être révisés tous les deux ans.
Tous les soins apportés au VFI permettent de le conserver longtemps. Par contre, un VFI brisé, réparé ou altéré perd son approbation, donc il n'est plus utilisable et doit être remplacé.
La raison la plus évidente d'exiger des gilets de sécurité est de réduire les risques de blessures en assurant une bonne visibilité. Mais cela permet également de protéger les droits légaux de vos travailleurs et de votre entreprise en cas d'incident.
Leur couleur n'est pas fixée par la réglementation (certains sont même noirs ou bleu marine : pas faciles à repérer dans l'eau). Ils ne possèdent pas de boucle de repêchage, et surtout n'assurent pas le retournement et ne soutiennent pas la tête hors de l'eau.
Comme toute personne étant dans une embarcation doit avoir un gilet de sauvetage, il est obligatoire d'en porter un pour pêcher au float tube. Peu importe votre lieu de pêche, il est important de toujours porter un gilet de sauvetage.
Pour une navigation entre 2 et 6 milles, la réglementation impose des gilets de sauvetage 100 Newton. Ce sont les gilets que l'on retrouve le plus souvent sur nos petites unités.
Pour la pratique loisir, un gilet en mousse sera plus simple d'utilisation et la flottabilité sera immédiate en cas de chute à eau. Si vous cherchez un encombrement minimal, choisissez un gilet gonflable à la demande par cartouche de gaz qui libérera plus vos mouvements d'épaule.
Choix d'un vêtement de flottaison individuel (VFI) Vous pouvez choisir parmi une grande variété de types, de tailles et de couleurs de VFI. Ils ne sont pas obligatoirement fabriqués en rouge, orange ou jaune, mais il est préférable de choisir l'une de ces couleurs pour être plus visible dans l'eau.
Il faut remplir d'air la vessie jusqu'au maximum. Ensuite, laissez le gilet gonflé quelques heures (temps exact déterminé par le fabricant dans sa notice). Vous pourrez enfin vérifier si le gilet est toujours bien gonflé et qu'il n'a pas de fuite d'air.
En effet, la norme Iso en Europe définit les gilets VFI selon un indice de flottabilité de 50, 100, 150, 150 et 275 Newtons (il s'agit là d'une flottabilité type pour un porteur de 70 kg environ).
Il faut commencer par dégonfler le gilet par l'embout de gonflage à la bouche en appuyant sur le clapet anti-retour. Une fois le gilet dépressurisé, nous pouvons démonter la bouteille de gonflage. Celle-ci est directement incorporée dans la chambre du gilet. C'est donc la capsule de déclenchement qu'il faut démonter.