Le fait d'habiller des jumeaux différemment est une mesure symbolique qui permet d'insister sur les différences entre les deux individus ». Les vêtements participent, tout comme le prénom, à différencier chaque jumeau.
Les parents qui aiment voir leurs enfants avec les mêmes vêtements et qui les habillent ainsi, profitent des avantages suivants : C'est la façon la plus rapide d'acheter des vêtements. En effet, il suffit de choisir une tenue ou un ensemble et de demander les tailles de chaque enfant.
On pensait que le bébé placé le plus au fond de l'utérus était le premier « installé » donc l'aîné. Il naît donc en second puisqu'il est logé le plus loin de la « sortie ». En France, on applique le droit hérité des textes romains, autrement dit, c'est l'inverse : le premier-né est l'aîné.
Chez les jumeaux, l'aîné est celui qui est né en second.
Jumeaux identiques et jumeaux fraternels
Le bagage génétique des deux enfants est alors identique, soit deux petits garçons ou deux petites filles identiques. Ce sont des jumeaux homozygotes. Les jumeaux fraternels, eux, sont issus d'une même grossesse, mais deux ovules ont été fécondés par un spermatozoïde chacun.
Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant. Par ailleurs, puisqu'ils sont issus d'un même spermatozoïde, qui détermine le sexe (X pour une fille, Y pour un garçon), les vrais jumeaux sont forcément de même sexe.
Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
La loi française est claire, elle dit que le premier enfant né est l'ainé, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne ! S'il s'agit de jumeaux monozygotes, cela signifie qu'ils sont issus du même œuf, de la rencontre d'un seul ovule avec un seul spermatozoïde et que cette cellule s'est divisée en deux.
Ils doivent encore attendre deux ans pour battre le record de longévité détenu par deux jumeaux américains, qui avaient réussi à fêter leurs 105 ans. Les plus vieux jumeaux du monde, Pieter et Paulus Langerock, ont fêté leurs 103 ans, vendredi, dans leur maison de retraite près de Gand, en Belgique.
On décrit classiquement deux types de jumeaux : les dizygotes et les monozygotes. Les premiers proviennent de deux ovules fécondés par deux spermatozoïdes différents. Les dizygotes sont donc des « faux jumeaux ». Les monozygotes résultent de la division d'un ovule fécondé par un seul spermatozoïde.
En effet, alors qu'une grossesse unique intervient en moyenne entre 37 et 41 SA, l'accouchement gémellaire, lui, se situe autour de 36 semaines d'aménorrhées.
C'est ce qu'on appelle une polyovulation, un phénomène de plus en plus fréquent quand on vieillit. Parfois, ces deux ovules vont être fécondés indépendamment par deux spermatozoïdes différents. C'est le même schéma lorsqu'on implante deux embryons dans l'utérus lors d'une fécondation in vitro.
Par exemple, des quintuplés peuvent consister en des jumeaux monozygotes et des triplés trizygotes issus de la fécondation de quatre ovules.
À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
Il est tout à fait possible d'habiller ses jumeaux de façon identique de temps en temps. On peut aussi jouer sur les couleurs, pour apporter une légère différence. Certains parents ont, par exemple choisi d'attribuer des couleurs différentes à chacun des jumeaux.
Il protège la peau de bébé
Bébé un petit être tout fragile, sa peau est douce et délicate. Le body va donc le protéger des irritations des tissus vestimentaires pas forcément aussi doux.
La probabilité de donner naissance à des jumeaux est héréditaire. Si la femme enceinte à des antécédents familiaux de jumeaux, elle a une chance sur 58 d'avoir elle-même des jumeaux. Si son partenaire a des antécédents familiaux de jumeaux, la probabilité passe à une chance sur 116.
Bien qu'il existe des familles de jumeaux, il n'y a aucune preuve scientifique concernant la part de l'hérédité dans la naissance de jumeaux monozygotes. En revanche, les faux jumeaux, proviennent de femmes qui ont des poly-ovulations.
De faux jumeaux ne se ressemblent pas à l'identique, mais comme deux frères et sœurs car ils ont chacun un patrimoine génétique distinct. Leur ressemblance peut donc beaucoup varier, ou être assez proche, mais pas autant que de vrais jumeaux.
Au XVIIIème siècle, la première femme de Feodor Vassiliev (1707-1782) aurait mis au monde 69 bébés entre 1725 et 1765. Un record impressionnant dû, en partie, à de nombreuses grossesses multiples. Au total, elle aurait eu seize fois des jumeaux, sept fois des triplés et quatre fois des quadruplés !
Les jumelles irlandaises, Amy et Katie Elliott, n'ont que quelques mois seulement mais elles sont en passe de devenir des petites célébrités. En effet, les soeurs Elliott sont nées avec près de trois mois d'écart. L'une a vu le jour prématurément le 1er juin 2012. L'autre est née le 27 août.
Le fait d'avoir des jumeaux saute une génération.
C'est une phrase que l'on entend souvent, mais son affirmation n'est pas réelle. Des jumeaux peuvent eux-mêmes directement être parents de jumeaux. Ce « phénomène » ne saute donc pas systématiquement une génération.
Pour être efficace, la routine du dodo doit être la même d'un jour à l'autre, par exemple : bain, massage, chanson, tétée, dodo. Faire la même routine en même temps avec les deux jumeaux est une bonne façon de les encourager à dormir au même moment.
L'accouchement de jumeaux se déroule par les voies naturelles (accouchement par voie basse), lorsque le premier jumeau se présente tête en bas, si le placenta est bien placé et si l'état de santé des bébés et de la maman est bon.
«Il y a moins de 10 cas connus de jumeaux de pères différents dans le monde», rapporte à la BBC le Pr le Dingh Luong, expert en génétique moléculaire à l'Université nationale du Vietnam, qui a supervisé les tests de paternité sur les enfants.