60 % des difficultés sont causées en raison de l'inadéquation du profil du candidat, ou de ses attentes par rapport au poste demandé. Les entreprises, quant à elles, jugent le niveau de qualification et d'expérience insuffisant, et la possibilité d'adaptabilité des candidats peu probable.
Si vous ne trouvez pas d'emploi dans un secteur spécifique, c'est peut-être que vous n'avez pas ou plus les compétences recherchées pour ce type de poste. Si vous êtes au chômage depuis plusieurs années ou que vous travaillez temporairement dans un autre secteur, il se peut que le poste ait évolué.
D'après une étude réalisée par QAPA, une plateforme de recrutement, une majorité de Français au chômage estime qu'il est « plus facile » de trouver un travail aujourd'hui qu'auparavant. Une impression qui s'explique surtout par l'usage accru des nouvelles technologies.
Demandez-vous si vous avez les compétences nécessaires pour occuper l'emploi que vous aimeriez obtenir. Informez-vous davantage sur la situation du marché du travail. Vous découvrirez peut-être que la demande de main-d'œuvre pour votre métier ou profession est très élevée dans certaines régions. Révisez votre CV.
Manque d'expérience, formation inadaptée, informations insuffisantes… L'origine des difficultés à trouver un premier job sont nombreuses. Voici celles que les jeunes diplômés citent le plus souvent.
Les 1.012 jeunes de moins de 30 ans interrogés sont formels, c'est le manque d'expérience qui leur est le plus souvent reproché par les recruteurs. Pour 66% des jeunes diplômés, c'est l'élément le plus compliqué à gérer dans la recherche d'emploi.
En raison du chômage, les jeunes sont exposés à la marginalisation et la perte de la stabilité familiale ainsi qu'au renoncement à fournir à la famille une assistance, qu'elle soit physique ou morale.
La meilleure manière de justifier un « trou dans le CV » est de montrer au recruteur que vous êtes resté proactif et que vous avez continué de vous former (par exemple avec des MOOCs ou des formations en ligne). Présentez toujours votre période d'inactivité de manière chronologique et sans en cacher les raisons.
À moins d'être originaire de l'Union européenne ou de posséder la documentation nécessaire pour travailler en France, il est assez difficile de trouver un emploi dans des secteurs non qualifiés ou semi-qualifiés.
S'inscrire auprès d'une agence d'intérim
Pour trouver un premier contrat d'intérim, vous pouvez vous rendre sur le site internet d'une agence d'emploi ou vous déplacer. Un conseiller vous prendra en charge et constituera votre dossier.
Où faire un bilan de compétences ? Le bilan de compétences est obligatoirement réalisé par un prestataire extérieur à l'entreprise, qui ne peut organiser elle-même en interne le bilan pour ses salariés. Le candidat doit recourir à un organisme de formation agréé.
Elle peut révéler votre manque de motivation à obtenir le poste, le fait que vous soyez distrait par d'autres projets, que vos compétences ne soient pas à jour, qu'il y ait un problème avec vos précédents employeurs...
Quand on postule à 50 ans et qu'on a donc plus de 20 ans d'expérience, l'important est d'être synthétique. L'idéal est un CV en 1 page au maximum 2, la deuxième étant alors une annexe pour indiquer les éléments complémentaires. Mais l'essentiel, ce qui doit convaincre le recruteur, doit apparaître sur la première page.
Vous pouvez les contacter au 0 809 361 212 (prix d'un appel local). Consultez également le site de l'Apec : en plus des offres d'emploi, vous y trouverez également des vidéos, des tchats, des études sur les métiers et secteurs d'activité, des forums de discussion, un simulateur d'entretien, etc.
L'employeur sous-entend que vous pourriez ne pas être suffisamment motivé pour trouver un emploi, que vous vous laissez distraire par d'autres objectifs, que vos compétences pourraient ne pas être à jour, qu'il y a eu un problème avec votre ancien employeur ou une foule d'autres explications à votre non-activité.
Le moment idéal pour entreprendre des recherches et candidater est le début de l'année, soit les mois de janvier, février et mars. Les entreprises fonctionnent en effet avec un budget calé sur l'année civile, c'est-à-dire que l'argent alloué au recrutement de nouveaux salariés est débloqué au 1er janvier.
Les cinq régions de France métropolitaine où le taux de chômage est le plus élevé (en moyenne trimestrielle - données CVS) sont au troisième trimestre 2021 (avec la différence par rapport à la moyenne métropolitaine) : Hauts-de-France : 9,7 % (+1,8 %) Occitanie : 9,5 % (+1,6 %)
La baisse du chômage est, tout d'abord, liée à la forte reprise économique qu'a connue la France en 2021. Ce rebond de l'activité économique, couplé à la pénurie de main-d'œuvre observée dans certains secteurs, comme le commerce et la restauration, a contribué à la bonne tenue de l'emploi en France.
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
En général, plusieurs organismes sont aptes à nous fournir un diplôme : Les universités, les lycées, les écoles de commerce, etc… Ce diplôme, en général, est nécessaire pour avoir accés à certains emplois mais il reste tout de même des emplois où on en a pas besoin.
Les formations bac+5 fonctionnent particulièrement bien et attirent un grand nombre, et pour cause, les étudiants peuvent bénéficier d'une expérience à la fois théorique et pratique, de plus, le taux d'insertion dans le monde professionnel est élevé, car ces profils sont valorisés aux yeux des recruteurs.