Pourquoi fait-il froid dans l'espace ? (MétéoMédia). Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Dans l'Univers la température atteint -272°C
Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas. Le record de froid dans l' Univers est de -272 °C, au sein de la nébuleuse du Boomerang, créée par une vieille étoile en train de mourir à 5 000 années-lumière de nous.
Le Soleil n'émet pas de chaleur car il est dans le vide de l'Univers dont la température avoisine les –270°C. Pourtant il semble chauffer la Terre et ses habitants à une température qui permet l'existence de vie. En fait, le Soleil fabrique de la chaleur et de la lumière. La chaleur reste prisonnière du Soleil.
La température du rayonnement cosmique mesurée est de 5,08 Kelvin (+/-0,10 Kelvin). C'est très froid, mais tout de même plus chaud que la température que les scientifiques mesurent dans l'Univers d'aujourd'hui, 2,73 Kelvin.
A la montagne il fait plus froid en haute altitude qu'en basse. Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit.
En clair, l'atmosphère est transparente pour le Soleil. Cependant on ne nous a pas menti, l'air chaud monte bien. Mais en prenant de l'altitude, il rencontre une atmosphère de moins en moins dense. Ce phénomène est bien connu des alpinistes qui en font d'ailleurs les frais puisqu'il rend difficile leurs efforts.
Au contraire, c'est au mois de juillet que la Terre est la plus éloignée du Soleil et au mois de janvier qu'elle en est la plus proche. La montée des températures l'été s'explique en fait par deux facteurs: l'inclinaison de la Terre, et la durée plus longue des journées durant les mois d'été.
Les scientifiques ont fait chuter un gaz quantique d'une tour pour dépasser le zéro absolu. Des physiciens allemands sont parvenus à produire la température la plus froide jamais enregistrée. Le zéro absolu, difficile à dépasser, est stabilisé à -273,15°C (soit 0 Kelvin).
Récemment, des chercheurs du MIT ont réussi à créer des «molécules ultrafroides» dont la température a atteint 500*10-9 degrés Kelvins, soit «juste un cheveux au-dessus du zéro absolu, et plus d'un million de fois plus froid que l'espace interstellaire».
Le record officiel de chaleur a été enregistré le 10 juillet 1913 à Furnace Creek, dans la fameuse Vallée de la Mort en Californie. La température de l'air a alors été mesurée à 56,7 °C. L'endroit détient même le record de la plus forte température au sol, avec 93,9 °C mesurés le 15 juillet 1972.
Le système russe de traitement de l'eau issue de la condensation (SRV-K) récupère la vapeur d'eau contenue dans l'air à bord de la SSI (humidité provenant de la transpiration), mais ne recycle pas l'urine comme. L'ECLSS récupère environ 90 % de l'eau utilisée par les astronautes et la transforme en eau potable.
L'échelle de Kelvin impliquait logiquement une température minimale naturelle, où les particules cessent complètement de bouger. C'est le « zéro absolu » ou le zéro kelvin. Il a été calculé que cette température correspond à -273,15°C.
Oui, il y a de l'eau, et même en abondance, dans l'espace ! Les nouvelles observations réalisées par le télescope spatial Hubble viennent ainsi de montrer que Ganymède, le plus gros satellite de Jupiter (en bas sur la photo), abrite sous sa croûte glacée un océan plus vaste que tous ceux de la Terre réunis.
Quelle est la température la plus basse à la surface de la Terre ? -98°C d'après des mesures satellites récentes. Cette température extrême a été enregistrée sur la calotte glaciaire du milieu de l'Antarctique au cours d'un long hiver polaire.
En effet, à 11 000 mètres d'altitude la température extérieure est d'environ -60°C alors que dans le train d'atterrissage, elle varie entre -18 et -12°C d'après une étude américaine publiée en 2002.
"Notre organisme dépense beaucoup d'énergie et d'eau pour maintenir la température interne à 37°C", indique Rémy Slama. Car, explique l'épidémiologiste environnemental, les protéines de l'organisme se dénaturent et nos cellules ne survivent pas si la température interne avoisine 41°C.
Alors que l'Univers actuel baigne dans un rayonnement cosmique d'une température de 2,7 Kelvin (-270,45 °C), cette température était de l'ordre de 20 K (-253,1 °C) moins d'un milliard d'années après le Big Bang.
Où le record du monde de chaleur a-t-il été mesuré ? Le record du monde a été mesuré le 10 juillet 1913… dans la Vallée de la mort, déjà l'un des endroits les plus hostiles de la planète. Une station météo avait enregistré ce qui reste officiellement la température la plus importante jamais mesurée sur Terre : 56,7 °C.
La température de Planck est la température de l'univers à 1 temps de Planck après le Big Bang, et est considérée comme la température maximale possible de facto. On a calculé qu'elle était d'environ 1,4 × 1032°C (140 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000°C).
Dans l'échelle Kelvin, le zéro absolu correspond au 0 K. Cette échelle est utilisée comme unité de mesure en physique. Le zéro absolu, température la plus basse imaginable est considéré comme fictif car aucun scientifique n'a réussi jusqu'à présent à le recréer en laboratoire.
Si sa température buccale descend en dessous de 35 °C, la personne est en hypothermie. Lorsqu'il est en hypothermie, le corps humain ne peut plus fonctionner normalement.
Vénus n'a que 3° d'inclinaison de son axe de rotation. Les saisons y sont donc moins marquées que pour nous. Et elles sont plus courtes que ses « jours ». Deux levers de Soleil successifs sur Vénus sont en effet séparés par 117 jours terrestres du fait de sa rotation lente.
Ainsi, la faible humidité des déserts, leur absence de couverture nuageuse et leur constitution d'un matériau très émissif et présentant une faible inertie thermique sont responsables du fort refroidissement nocturne et de la grande amplitude thermique observée dans ces espaces.
Pour garder cette comparaison, une même quantité de soleil chauffe rapidement un petit espace en Afrique et a plus de mal à chauffer un grand espace aux pôles. Voilà pourquoi il faut chaud en Afrique !