Après une nuit blanche, notre tension artérielle augmente elle aussi. Lorsque cela se répète, cela peut même poser des problèmes cardiaques importants dus à une hypertension artérielle, et amplifier le risque d'AVC. Les conséquences d'une nuit blanche sur notre organisme sont donc nombreuses.
Dormir une ou deux heures sera toujours mieux que de ne pas dormir du tout. Car ne pas dormir va entraîner une mauvaise concentration, des troubles de la mémoire à court terme, des troubles du jugement et de temps de réaction, de l'irritabilité, une douleur accrue, une augmentation des hormones de stress…
A plus long terme, des conséquences physiques apparaissent: troubles cardio-vasculaires ou déclenchement d'un diabète de type II. La dépression est aussi une conséquence d'une diète hypnique trop prolongée.
En revanche, ne pas dormir assez de façon récurrente peut amener à des troubles beaucoup plus importants. Ainsi, dormir moins de 6h par nuit augmente de 48% le risque de maladies cardio-vasculaires et multiplie par 4 le risque de faire un AVC. Un manque de sommeil pourrait aussi favoriser le développement de tumeurs.
L'idéal, précise Marc Rey, est de se mettre au lit «aux alentours de 21h30 au plus tard».
Dormir peu mais dormir bien.
La réaction de l'organisme face à un temps de sommeil limité est propre à chaque personne. En moyenne, un être humain a besoin de 8 heures de sommeil pour être en forme. Dormir 1 heure ou 3 heures par nuit n'est pas idéal et cela doit rester ponctuel.
Ainsi, notre système immunitaire est impacté et nous sommes plus sujets à tomber malade. Après une nuit blanche, notre tension artérielle augmente elle aussi. Lorsque cela se répète, cela peut même poser des problèmes cardiaques importants dus à une hypertension artérielle, et amplifier le risque d'AVC.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Un Américain de 7 ans a passé un temps record sans se réveiller. Les médecins ignorent pourquoi. C'est une histoire à dormir debout qui passionne actuellement l'Amérique ! Wyatt Shaw, un garçonnet du Kentucky âgé de 7 ans, a fermé l'oeil durant onze jours sans jamais se réveiller.
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.
Les petits dormeurs sont ceux qui ont besoin de moins de 6 heures de sommeil par nuit pour être en forme pendant toute la journée et se sentir reposée.
La majorité des Français commencent leur travail entre 8 et 10 heures du matin. Donc pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures selon les individus), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30.
La dette de sommeil correspond à un temps de sommeil inférieur à ses besoins. La plupart du temps, ce manque de sommeil provient d'une privation volontaire, involontaire ou imposée de sommeil.La privation de sommeil volontaire : Pour certains, dormir c'est perdre son temps.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
Exercer un travail de nuit et dormir la journée entraine une désynchronisation de l'organisme synonyme d'un risque accru de survenue de maladies cardiovasculaires, de diabète ou de dépressions.
Le record actuel est détenu par Kevin Strahle : 1 minute et 27,84 secondes.
Parmi les généralités existantes sur le sujet, il en est effectivement une qui affirme que les heures avant minuit sont les plus importantes. Les heures seraient les plus régénératrices pour le corps et s'endormir pendant ce créneau serait l'ultime moyen d'assurer l'énergie du lendemain.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
Une méta-analyse réalisée en 2017 a d'ailleurs révélé qu'une personne en manque de sommeil consomme 400 calories de plus qu'une personne ayant dormi suffisamment [4]. À ce rythme, ce surplus calorique se traduirait par une prise de poids estimée à près de 18 kilos (40 livres) par année.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
FAUX. En mourir non, mais le corps est réglé pour se reposer quand il en a besoin, donc à moins de se forcer à lutter contre le sommeil, pas de risque vital. Toutefois la privation de sommeil a des conséquences très importantes sur la santé mentale et l'état psychologique.
Dormir 3 heures est préférable à faire une nuit blanche.
C'est la limite à laquelle tu te sentiras fatigué autant qu'une nuit blanche avec l'avantage que tu n'auras pas de dette de sommeil durant les prochains jours.
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.