En effet, la peau du saumon permet de protéger la chair lors de la cuisson. Puisqu'il s'agit d'un poisson à cuisson lente, il est préférable de conserver la peau pour que la chair ne cuise pas trop vite. Ce qui la rendrait sèche. Qui plus est, une fois dorée, la peau du saumon est délicieuse et croustillante.
Peut-on manger la peau du poisson ? Notre réponse : La peau de la plupart des poissons que l'on peut trouver dans nos poissonneries est évidemment comestible.
Généralement, les viscères, le gras et la peau sont les sites privilégiés des contaminants. Il est donc recommandé de ne pas les consommer. Même si la peau du poisson est bien cuite et croustillante, il vaut mieux s'abstenir de la manger.
Toutefois, ces poissons sont particulièrement exposés aux polluants comme les PCB, des composés utilisés dans l'industrie avant 1987, date de leur interdiction en France. Comme ces molécules sont peu biodégradables, elles s'accumulent dans l'environnement et en particulier dans les sédiments marins.
Il peut y avoir des traces de polluants dans le saumon sauvage et dans le saumon d'élevage. Les plus souvent cités sont les polluants organiques persistants (POP), dont les PCB, et les métaux lourds, comme le mercure.
D'après certaines études scientifiques, le saumon contribueraient aussi à la prévention des troubles de l'humeur comme la dépression. Les lipides du foie gras sont constitués essentiellement d'acides gras mono-insaturés excellents pour l'appareil cardiovasculaire car ils font baisser le HDL, le mauvais cholestérol.
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Les oméga 3 contenus dans le saumon n'ont pas uniquement pour effet de protéger notre cœur. Ils possèdent également des effets anti-inflammatoires, très utiles pour nous aider à traiter certaines maladies comme l'asthme, le psoriasis, l'arthrite rhumatoïde, et les maladies inflammatoires de l'intestin.
Il se trouve que la plupart du gras présent dans la peau du poulet est ce que l'on appelle de bon gras, celui qui permet de baisser notre taux de cholestérol et notre pression artérielle. La peau du poulet est donc moins décriée.
Mais en faisant cela, nous nous privons d'une grande partie de leurs minéraux, vitamines et fibres. C'est d'ailleurs le cas de manière générale pour tous les fruits dont on peut manger la peau. "Cependant, ce conseil ne vaut que dans le cas d'une alimentation bio !
Il peut même être accompagné d'une sauce à la moutarde ou à la tomate. Fait intéressant, on le cuit avec sa peau, celle-ci étant comestible, riche en sélénium et dépourvue d'écailles.
Déposer le filet sur une planche à découper en plaçant la queue (partie la plus étroite) devant vous. Glisser un couteau bien aiguisé entre la peau et la chair à l'extrémité de la queue. Cette incision permettra de détacher une languette de peau que vous pourrez saisir fermement au moment d'enlever entièrement la peau.
Le saumon se prête particulièrement à des préparations crues. Finement tranché en sashimis, à l'aide d'un couteau bien aiguisé, il peut être dégusté tel quel avec un simple jus de citron et un peu de fleur de sel. Version japonisante, servez-le avec des lamelles de gingembre vinaigré, du wasabi et de la sauce soja.
On cuit souvent le saumon au court-bouillon, mais il peut aussi être poêlé, braisé, rôti ou cuit à la broche. Avant de poêler le saumon, vous pouvez le faire mariner. Il est par ailleurs excellent en quiche ou en terrine. Le saumon se cuisine également en papillotes.
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Un échange d'eau, contaminée par les pesticides, est donc probable. L'arsenic, le cadmium, le mercure, le plomb… sont des composés chimiques présents naturellement dans l'environnement (air, sol et eau) et peuvent, de fait, se retrouver dans les denrées alimentaires.
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Le saumon de Norvège bourré de produits toxiques, le gouvernement reconnait qu'il peut être dangereux pour la santé Après les Anglais qui ont fait manger de la viande infectée pendant plusieurs années, voilà donc la Norvège qui pollue notre santé avec du saumon d'élevage bourré de produits toxiques.
Il est intéressant de manger du poisson deux fois par semaine et de varier poisson maigre et poisson gras (saumon, maquereau, sardine, anchois, truite fumée, hareng…). "Une portion de saumon par semaine est intéressante parce que c'est une excellente source d'omégas 3 et de protéines.