Et conseil le plus important, il ne faut pas se moucher trop fort car cela peut favoriser la dispersion des microbes dans les oreilles et les sinus et provoquer ainsi des otites ou des risques de rhinopharyngite. L'air chargé de bactéries pourrait également provoquer des maux de tête et autres inflammations.
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.
Pourquoi ? Lorsque l'écoulement nasal s'intensifie, il est important de bien vous moucher afin de faciliter l'évacuation des sécrétions et de dégager les fosses nasales. Ainsi vous guérissez généralement rapidement.
En fait, les sécrétions nasales sont produites de façon constante. Elles servent à nettoyer le nez. Les adultes en produisent même 1 litre par jour, tous les jours!
Se moucher oui, mais se moucher correctement
Se moucher trop fort et trop souvent abime ainsi ces derniers. Pour être efficace, mieux vaut le faire peu et bien, en bouchant l'une des narines et en soufflant doucement avec l'autre.
Position couchée : Le mucus s'évacue moins facilement de vos voies respiratoires lorsque vous êtes couché. En effet, le mucus peut s'accumuler dans la gorge, ce qui déclenche la toux. Durant la journée, vous bougez et avalez souvent, ce qui réduit les sécrétions nasales.
La durée moyenne d'un rhume peut varier d'une personne à l'autre, de 3 ou 4 jours à plus d'une semaine. Communément appelée rhume, la rhinopharyngite est une infection virale qui se manifeste par des symptômes gênants mais sans gravité : toux, écoulement nasal, maux de gorge, état fiévreux…
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
A vos mouchoirs.
« Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau.
Des glaires en quantité importante dans le nez et la gorge et qui durent dans le temps peuvent aussi cacher une sinusite chronique. Dans la majorité des cas, elles ont une couleur jaunâtre-verdâtre mais parfois, elles restent transparentes. Seul un scanner des sinus peut alors confirmer la sinusite chronique.
Dans le cas d'une dacryocystite chronique, l'obstruction du canal lacrymo-nasal entraîne la sécrétion de mucus dans le sac lacrymal. Le mucus (substance visqueuse) peut donc sortir de l'œil de la même manière qu'une larme, ou lors d'une pression.
La première cause en est la surproduction de mucus, un liquide secrété par les muqueuses du nez pour piéger les poussières et bactéries. En temps normal, nous produisons ainsi environ un litre de mucus par jour, évacué vers la gorge par les cils des cavités nasales.
Pour évacuer efficacement les mucosités, mouchez une narine après l'autre, en gardant la tête droite, sans vous pencher vers l'avant ou vers l'arrière. Soufflez le plus fort possible pour évacuer les mucosités n'est pas conseillé. Inspirez avec la bouche et expirez successivement par chaque narine sans trop forcer.
Comment bien se moucher ? Après le lavage du nez, le mouchage est également une étape importante. Là aussi, il y a des règles à respecter : Ne pas attendre que le nez coule ou soit bouché pour se moucher, le faire régulièrement pour éviter que les mucosités ne s'installent.
Plus les ailes sont petites et battent rapidement, plus le son perçu est aigu. Autrement dit, plus la mouche est grosse, plus le son produit par son battement d'ailes lorsqu'elle est en vol est grave.
Si votre nez est sec et irrité, par un rhume notamment, un onguent nasal spécial à base de dexpanthénol s'avère efficace. Il favorise la guérison et apporte une hydratation durable à la muqueuse nasale. Les régions externes du nez peuvent elles aussi être fortement rougies et irritées.
Couleurs du mucus
Les leucocytes (ou globules blancs), en augmentation en cas d'infection, colorent le mucus en jaune. Elle indique que l'infection devient purulente. En effet, lorsque les globules blancs meurent, ils libèrent un pigment vert. Cette couleur est typique d'une infection au bacille pyocyanique.
Si l'écoulement est épais, jaune ou vert, cela signale qu'il contient beaucoup de globules blancs - mais pas forcément une infection aigûe, donc, pas forcément des antibiotiques à prendre. S'il est transparent, c'est seulement du mucus (similaire à de la salive...)
bleu : infection au bacille pyocyanique ; rougeâtre : évoque une hémorragie (présence de sang qui pourrait couler).
À l'état normal, elle contient près de 95% d'eau mais aussi du chlorure de sodium, d'où son goût salé, du potassium, des particules inhalées comme la poussière par exemple... Cela crée un mélange, pas forcément bon mais au goût prononcé d'où la curiosité qu'elle suscite.
"Les expectorations sont simplement le reflet du mucus qui contient plus ou moins des débris cellulaires. Et l'expectoration grise est une expectoration presque normale, elle est souvent blanche. C'est la couleur du mucus" rassure-t-il.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Jours 1 à 2 : gorge irritée et éternuements. Jours 3 à 4 : intensification du mal de gorge, nez qui commence à couler. Même si les symptômes sont encore limités, c'est durant ces quatre premiers jours qu'on est le plus contagieux. Jours 5 à 7 : le rhume est à son pic.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Les médicaments contre le rhume par voie orale
un antihistaminique (cétirizine, chlorphénamine, diphénydramine, phéniramine) qui a un effet asséchant sur la sécrétion du mucus ; du paracétamol ou de l'ibuprofène pour faire baisser la fièvre et soulager les maux de tête associés au rhume.