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La crise de 2008 a été déclenchée par la crise des prêts hypothécaires à risque élevé. Des banques accordaient des prêts immobiliers à des acheteurs insolvables, et au même moment elles se lançaient dans la titrisation de ces prêts.
Le déclencheur de la crise se situe donc dans un sous-compartiment du marché immobilier américain. Les établissements spécialisés dans le crédit « subprime» ont été directement et logiquement touchés.
Les crises financières s'expliquent par la conjonction de nombreux phénomènes, en particulier par l'accumulation de déséquilibres macroéconomiques, la formation récurrente de bulles spéculatives sur les marchés financiers en raison des comportements mimétiques, et par les mutations microéconomiques liés au rôle central ...
Nouriel Roubini, l'économiste qui a correctement prédit la crise financière de 2008, prévoit que les États-Unis et le reste du monde entreront en récession d'ici la fin de l'année. Il n'exclut pas que cette contraction économique, qui pourrait durer toute l'année 2023, entraîne une forte baisse du S&P500.
Déclenchée aux États-Unis en 2007-2008, la crise des subprimes trouve son origine dans un excès d'endettement des particuliers. Du fait de l'interdépendance économique et financière entre les pays, elle s'est rapidement propagée au monde entier.
La crise financière de 2008-2009 a entraîné une perte d'activité importante, une nette dégradation du marché du travail et des finances publiques. La croissance économique est certes revenue à partir du printemps 2009, l'emploi a recommencé à croître et le déficit public à se réduire en 2010.
Dans les pays anglo-saxons (États-Unis, particulier), prêt hypothécaire à haut risque, consenti pour une acquisition immobilière (souvent, le logement de l'emprunteur) à des personnes dont les ressources financières sont très faibles : Crise des subprimes.
Emploi : 800 000 chômeurs de plus
800.000 chômeurs de plus. Le nombre de chômeurs au sens du Bureau International du Travail (BIT) est ainsi passe de moins de 2 millions à près de 2,8 millions, une hausse de 40% entre mi 2008 et mi 2014. Le taux de chômage est ainsi passé de 7,3% à 10,2% de la population active.
Les prêts hypothécaires américains ont été, à l'été 2007, l'élément déclencheur de la crise financière qui a entraîné la crise économique de 2008-2010. En effet, les banques ont fait des prêts à des taux raisonnables à des acheteurs n'ayant pas nécessairement le salaire adéquat pour payer les taux d'intérêt.
La crise bancaire et financière de la fin de l'été 2008, aussi connue comme la crise estivale de 2008, est la seconde phase de la crise financière mondiale de 2007-2008, après la crise des subprimes de l'été 2007 et le temps fort de la crise économique mondiale des années 2007-2012.
La crise débute par un effondrement du marché de l'immobilier des États-Unis à partir de l'été de 2007. De 1996 à 2006, le prix de l'immobilier résidentiel a triplé. Cette bulle immobilière a explosé à partir de 2007 avec l'augmentation des taux de défaut de remboursement des prêts par les ménages.
La Grande Dépression (en anglais : Great Depression), ou « crise économique des années 1930 », est une longue phase de crise économique et de récession qui frappe l'économie mondiale à partir du krach boursier américain de 1929 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
D'autres, comme la Banque de France, prédisent une probable crise financière majeure pour 2022, laquelle viendra s'ajouter à une crise économique liée à la fin probable des aides gouvernementales mises en place depuis deux ans pour soutenir l'économie.
L'augmentation des dettes publiques
Les grandes puissances ont engagé des plans de relance importants après la crise de 2008. Les dettes de ces pays ont augmenté mécaniquement pour atteindre plus de 20 000 milliards d'euros aux États-Unis (105,4 % du PIB) et plus de 2 200 milliards d'euros en France (97,6 % du PIB).
À l'automne 2008, le système financier international est frappé de plein fouet par une brutale aggravation de la crise. Une crise systémique mondiale menace d'éclater. Les Etats et les banques centrales sont alors intervenus massivement pour sauver le système bancaire.
Les premiers constats liés à la crise sanitaire avaient été analysés sous différents aspects : l'excédent des décès et son lien avec la densité de la population sur le territoire ; les décès selon le pays de naissance ; la baisse des naissances neuf mois après le premier confinement.
Elle a souvent pour effet des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales et politiques, et peut même avoir des répercussions sanitaires.
C'est M. Ranieri qui a eu l'idée de faire de prêts hypothécaires immobiliers des actifs financiers qui s'achètent et se vendent comme les autres.
Un crédit subprime est accordé à des emprunteurs moins fiables dont on exige en compensation un taux plus élevé ; pour le préteur le risque est plus fort mais le rendement plus intéressant ; enfin, encore plus risqué mais de rendement encore meilleur, on trouve la catégorie junk (littéralement : « pourrie »).
Cependant, la crise des Subprimes a montré les limites de ces mesures à faire face aux risques liés aux opérations de titrisation, de même qu'elle a montré le degré d'impact de ces risques sur l'économie financière et l'économie réelle, ainsi que la rapidité de leurs propagations.
Elle se déclenche début 2007, par l'explosion d'une bulle immobilière aux Etats-Unis. Le mécanisme est le suivant. Des sociétés de crédit proposent à des ménages peu fortunés d'acquérir une maison par des prêts hypothécaires, les « subprimes ».
L'une des principales idées de Keynes est qu'en période de crise ou de récession, la meilleure façon d'en sortir est d'augmenter les dépenses du gouvernement. Les dépenses publiques vont soutenir la demande globale, remettre tout le monde au travail et relancer l'économie.
Elle se traduit généralement – en fonction de sa temporalité – par une baisse du PIB et/ou des valeurs boursières, un accroissement du nombre de faillites d'entreprises et une augmentation du chômage, et souvent, par voie de conséquence, par des tensions sociales.
Une bulle est alimentée par des comportements spéculatifs : lorsque des agents économiques anticipent, de manière exagérément optimiste, que les prix de certains actifs vont continuer d'augmenter, ils investissent dans ces actifs dans l'espoir de les revendre plus cher et de réaliser un profit.