Les palpitations cardiaques se traduisent par une sensation de battements irréguliers du cœur. Plusieurs facteurs peuvent en être à l'origine : effort intense, grossesse, troubles émotionnels, tabac, alcool, certains médicaments, etc. Souvent inoffensives, elles peuvent toutefois être le signe de troubles cardiaques.
Les maladies fébriles, la fatigue ou les trouble du sommeil peuvent donner des palpitations sans que le cœur soit vraiment concerné. Une anémie (un manque d'hémoglobine) donne très souvent des palpitations.
Généralement, le coeur n'est pas en cause. Il s'adapte simplement à son environnement, notamment face à une forte émotion ou un stress. Plus rarement, les battements peuvent d'un coup passer d'un rythme normal à très rapide. Parfois, le coeur cogne de façon irrégulière et prolongée, il bat la chamade au sens propre.
Les palpitations du coeur que l'on ressent dans la poitrine correspondent à ce que les médecins appellent une tachycardie. Selon sa cause, elle peut être régulière ou non, permanente ou non. Sachez reconnaître le type de tachycardie dont vous souffrez pour savoir s'il faut consulter rapidement ou non.
La plupart des causes de palpitations n'ont rien à voir avec votre niveau d'activité. Il est courant de ressentir des palpitations cardiaques au moment de vous endormir. C'est un moment de calme où votre esprit n'est pas distrait par autre chose.
Bien que le stress se passe d'abord dans la tête, il a des effets considérables sur le corps. Il peut nuire à la santé de votre cœur. Par exemple, un stress soudain et intense peut augmenter le risque à court terme de crise cardiaque.
Complications de la tachycardie
Lorsque la tachycardie est due à une maladie du cœur, l'évolution dépend de cette maladie du cœur. La complication la plus grave est le risque de décès en cas de tachycardie ventriculaire brutale et grave. Le malaise ou la perte de connaissance est un signe de gravité.
Les palpitations qui s'accompagnent d'autres symptômes, comme un essoufflement, une douleur thoracique, une faiblesse, une fatigue ou des évanouissements, sont plus susceptibles d'être liées à un rythme cardiaque anormal ou à un trouble grave.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
L'aubépine pour soulager des palpitations
Les extraits d'aubépine contiennent des flavonoïdes et des proanthocyanidines qui seraient à l'origine des effets positifs de l'aubépine sur le cœur. Chez l'animal, elles renforcent les contractions du muscle cardiaque et régularisent son rythme.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
La personne se plaint d'éructations, d'inconfort ou de somnolence après les repas, parfois d'accélération des battements cardiaques (tachycardie). Ces troubles sont sans gravité quand ils sont liés à un mauvais fonctionnement de l'estomac ou à un trouble de sa sensibilité.
Comment diagnostique-t-on un trouble du rythme ? Les symptômes d'une arythmie sont divers : fatigue, étourdissements, syncopes, vertiges, palpitations, perte de connaissance (syncopes) peuvent faire partie des signes d'appels.
"Il est utile aussi de consulter un cardiologue avant certaines interventions chirurgicales (bilan préopératoire), lors de la reprise du sport après 45 ans chez un homme ou une femme plutôt sédentaire et en cas de pratique sportive intensive (par exemple semi-marathon, marathon)", indique le Pr. Mounier-Vehier.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Aujourd'hui les recommandations françaises, européennes et américaines placent majoritairement l'ablation par radiofréquence ou par cryothérapie en première intention de traitement, car elle seule garantit une guérison définitive de l'arythmie cardiaque et notamment de la fibrillation atriale.