Expression qui s'emploie pour exprimer le fait qu'en l'absence de réalisation d'une première proposition, la seconde s'appliquera. Elle entre dans le registre du langage soutenu et se substitue à d'autres expressions telles que sinon ou sans quoi qui ont la même signification.
- en raison de / des /d', par suite de, compte tenu de / des /d' : suivi d'un déterminant + nom. Exprime une cause officielle et insiste sur la temporalité du fait. Ex. : En raison d'un arrêt de travail, l'établissement est fermé.
La "faute" est l'action volontaire ou non, ou encore l'omission qui porte atteinte au droit d'autrui en lui causant un dommage. En droit civil la doctrine fait une différence entre la faute dite quasi-délictuelle et la faute contractuelle.
Elle est figée, le temps du verbe ne change pas (on ne rencontre pas « qu'ils en soient »). Donc « quoi qu'il en soit » revient à dire « quelle que soit la chose ». « Quoique » est une conjonction de subordination au sens bien différent. Elle signifie « bien que ».
Définition "en-tout-cas"
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Quoique en un seul mot est une conjonction de subordination qui est l'équivalent de bien que, encore que. Quoi que en deux mots est un pronom relatif composé appelé encore pronom relatif indéfini qui a le sens de quelle que soit la chose que ou de quelque chose que.
La formule de politesse la plus connue, employée en réponse à “merci”, est “de rien”. C'est la locution la plus basique.
C'est le droit de s'affirmer !
En fait, dire les choses ne consiste en rien d'autre qu'à s'affirmer, c'est-à-dire à se comporter en nous respectant tel que nous sommes, si possible en toute situation. C'est vrai, exprimer son avis, son désaccord ou encore son accord n'est pas toujours chose facile, et pour cause !
« Je vous en prie » est une façon polie de dire merci à votre tour lorsque quelqu'un vous remercie, vous pouvez répondre « de rien » et ajouter cette formule de politesse.
On distingue entre la faute subjective et la faute objective. La faute subjective est la commission d'un acte illicite engageant la responsabilité. La faute objective est celle où une personne échoue le test de la personne raisonnable placée dans la même situation.
De nos jours, la faute est objective c'est à dire que la condition d'imputabilité est écartée, il n'est plus nécessaire que la faute puisse être imputée c'est à dire reprochée à son auteur. Il suffit donc qu'elle soit illicite.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
- Parce que permet de répondre à la question "Pourquoi ?" - Puisque permet de justifier ou d'expliquer ce qu'on va dire par une raison évidente (l'autre personne l' a dit elle-même ou on sait qu'elle connaît déjà le fait).
Invitez-les à parler d'eux. Développez l'écoute active, par des mouvements de la tête, en reformulant le discours de votre interlocuteur, en rebondissant sur ce qu'il est en train de vous dire plutôt que de penser à votre prochain monologue. Laissez de la place à l'autre, mais sans vous effacer.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
(Impersonnel) (Familier) Il n'y a pas un sujet ou un motif suffisant pour. (Familier) Formule de politesse donnée en réponse à un remerciement ou à des excuses.
On écrit « quoi que » en deux mots : « quoi que » est un pronom signifiant « quelle que soit la chose qui, quelle que soit la chose que ». On l'écrit toujours en deux mots et il a toujours une fonction dans la phrase.
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
Quoique en un seul mot est une conjonction de subordination. Ceci veut dire qu'il permet d'introduire une proposition subordonnée et n'a pas vraiment d'autre fonction dans la phrase. Une manière simple de l'identifier est de le remplacer par « bien que« .