Dans la plupart des cas, il ne s'agit que d'une inflammation bénigne, le ganglion retrouvera sa taille normale au bout de quelques jours et tout rentrera dans l'ordre. Les ganglions sous l'aisselle peuvent provenir d'une angine. Ils peuvent également se révéler lors de la mononucléose infectieuse.
1- La chaleur et les frottements
La chaleur est la cause la plus courante des irritations aux aisselles, c'est pour cette raison que vos aisselles sont plus sensibles l'été. En effet, qui dit chaleur dit transpiration. Or, la sueur additionnée aux frottements de vos vêtements favorise l'apparition de rougeurs.
Appliquer une compresse chaude et humide
En cas de forte irritation, vous pourrez soulager la douleur en appliquant sur vos aisselles une compresse chaude et humide, qui facilitera la circulation et vous procurera une sensation immédiate apaisante. Prenez soin de changer de compresse à chaque fois.
L'apparition d'un ganglion sous l'aisselle peut être un signe d'alerte. Si on palpe une boule dure qui n'est pas douloureuse, il faut aller consulter son médecin traitant ou son gynécologue.
Une douleur au bras gauche peut être liée à une douleur musculaire, à un pincement nerveux, à une blessure osseuse ou encore à une douleur référée du cœur. En effet, le bras peut être source de nombreux types de symptômes avec des douleurs apparaissant la nuit, au repos ou au mouvement.
Douleur du côté gauche : quand la cause est ailleurs
un trouble du système digestif (reflux oesophagien) une maladie infectieuse virale (comme le zona intercostal) un trouble nerveux ou musculosquelettique (névralgie intercostale, fracture ou perte de mobilité au niveau du bassin)
C'est une inflammation aigue ou chronique des glandes sudoripares. Quand elle touche l'aisselle elle est connue comme « boule sous l'aisselle ». Ce n'est pas une infection et elle n'est pas con- tagieuse. Sa cause est inconnue, mais la prédisposition génétique et les facteurs externes favorisent son apparition.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Les ganglions lymphatiques sont normalement invisibles, et petits noeuds sont également non palpable. Cependant, plus gros nœuds (> 1 cm) dans le cou, aisselles et les régions inguinales sont souvent comme des masses en forme de haricot, douces, lisses, mobiliers, non-appel d'offres ancrées dans le tissu sous-cutané.
niveau I (région axillaire inférieure) – située dans la partie inférieure de l'aisselle; niveau II (région axillaire centrale) – située dans la partie centrale de l'aisselle; niveau III (région axillaire supérieure) – située dans la partie supérieure de l'aisselle, près du sternum.
Le nerf axillaire ou nerf circonflexe est un nerf mixte, sensitivo-moteur, destiné au moignon de l'épaule. Il naît dans le creux axillaire derrière le petit pectoral, par bifurcation du tronc secondaire postérieur du plexus brachial, formé des fibres provenant de C5 et C6.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
A quoi ressemble une douleur urgente d'origine cardiaque ou respiratoire ? Il faut savoir reconnaître certains signes d'alerte qui sont en faveur d'une cause cardiaque ou vasculaire : - La douleur est brutale, intense et serre la poitrine. - La douleur dure plus de cinq minutes et ne disparaît pas au repos.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Douleur erratique : douleur qui change souvent de place. Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité.
Elle peut irradier vers le bras gauche, l'avant-bras, avec parfois une sensation de serrement au poignet, dans le cou, la mâchoire inférieure, parfois dans le bras droit, la nuque, le dos ou la région de l'estomac.
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Les symptômes d'un lymphome qui doivent pousser à consulter sont les suivants : un épuisement général, des transpirations nocturnes, une perte d'appétit ou de poids inexpliquée, des démangeaisons, un gonflement et/ou des douleurs au niveau des ganglions lymphatiques.
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Localisation de la douleur
En haut et à gauche sous le rebord des côtes, c'est "l'hypochondre droit" : on y trouve le foie et les voies biliaires (dont la vésicule biliaire), mais aussi le duodénum, la tête du pancréas, l'angle droit du côlon, le rein droit et la base du poumon droit.
Située au niveau du foie, du coté droit, en dessous des côtes, la douleur hépatique n'est pas causée par une maladie du foie mais par les voies biliaires. Les douleurs hépatiques se décrivent sous le nom de colique hépatique.