Il s'agit d'un système réflexe ancestrale, activé par le cerveau reptilien sous l'impulsion de certains stimuli perçus comme des signaux de danger pour sa survie ou pour son intégrité physique. Le cerveau reptilien est totalement défini par l'évolution des espèces et n'apprend rien.
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
Se battre avec la bonne technique. Prenez une position de défense solide et équilibrée. Votre pied non dominant doit être devant vous. Relevez vos mains au niveau de votre cou et penchez votre corps en arrière pour mettre plus de distance entre vous et votre agresseur.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Lors d'une bagarre, faites tout pour adopter un langage corporel de confiance afin de montrer à votre adversaire que vous ne vous laisserez pas intimider. Pendant que vous vous battez, utilisez uniquement des mouvements défensifs. Cela montrera à votre adversaire qu'il ne pourra pas avoir le dessus sur vous.
La plupart du temps, la première frappe se concentrera sur les sites de silos à missile, les bombardiers stratégiques, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), les postes de commandement et les entrepôts où se trouvent les armes dites « stratégiques ».
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête. Visez la zone des yeux, du nez et de la bouche X Source de recherche .
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
La peur devient parfois inconsciemment de plus en plus grande et, plus vous vous battez contre elle, plus elle devient menaçante. Votre organisme se tend et l'angoisse devient difficilement contrôlable. Les conséquences sont les suivantes : maux de tête, douleurs abdominales, baisse du niveau d'énergie.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Rationalisez la position de votre bras et de votre poing.
Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les. Donnez votre coup de poing en ligne droite, sans détour.
Placez une main au-dessus de son coude, sur son avant-bras et l'autre juste en dessous, de façon à ce que vos mains soient placées de chaque côté du coude. Puis, en un mouvement fort et déterminé, faites tourner votre corps entier, comme si le bras de votre agresseur était une charnière.
L'entraînement permet de se préparer à l'imprévisibilité de ce genre de situation. En effet, mieux on est entraînées, plus facilement on aura les bons réflexes en cas d'attaque. Un élément important en cas d'agression physique consiste à ne pas systématiquement se concentrer sur ses pensées intérieures.
« Lorsque le cœur s'accélère et que le corps commence à trembler, c'est génial ! » lance Franck Ropers. Le corps envoie alors du sang dans vos muscles afin de préparer votre corps au combat.
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
Elle inhibe nos premières réactions physiologiques. Le système nerveux sympathique prend alors le relais et accélère notre rythme cardiaque et notre souffle, afin que nous puissions faire face à la situation.
Ne pas oser faire ou dire quelque chose parce qu'influencé par une peur. Parler souvent d'une même peur à quelqu'un d'autre. Y penser souvent. Regarder un film ou lire un livre où une peur est vécue par les personnages, dans laquelle vous embarquez complètement.
La peur de la critique.
C'est l'une des peurs les plus répandues à l'origine d'une déficience de la confiance en soi. La principale cause de cette peur est que vous êtes trop concentré et préoccupé par le regard des autres et leur opinions . Du coup, vous ressentez un sentiment d'insécurité.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur. Des circuits neuronaux spécifiques dans ces noyaux interviennent soit dans l'apprentissage de la peur, soit dans son expression.
Il y a des moteurs profondément irrationnels, inconscients. Pour cette raison, les réassurances de l'entourage, pleines de bon sens, sont inefficaces, ou soulagent de façon très transitoire le sujet. Le plus souvent, la phobie débute après une exposition traumatique à une situation.
Mettez-y fin le plus rapidement possible. Donner un coup de poing violent sous la mâchoire d'une personne ou frapper violemment quelqu'un au ventre dans l'intestin vous permettra de mettre fin rapidement aux hostilités. Les gens pour la plupart n'aiment pas se bagarrer.
Mettez votre second bras derrière la tête de la personne. Serrez en fermant votre biceps et votre avant-bras et poussez la tête de la personne vers l'avant en vous servant de votre autre bras. Maintenez l'étranglement pendant 10 à 20 secondes puis relâchez la personne lentement sur le sol.
Remporter un combat consiste à vous en sortir sans blessures, peu importe ce qui arrive à votre adversaire. La manière la plus facile pour ne pas avoir de blessures est d'éviter complètement une bagarre.