Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
– Augmentation du taux de sucre dans le sang (glycémie), ce qui entraîne un risque potentiel de diabète. – Rétention en eau et en sel avec prise de poids, gonflement du visage, œdèmes des membres inférieurs et augmentation de la pression artérielle (risque d'hypertension).
Des troubles de l'érection, une diminution de la libido, des perturbations du cycle menstruel ont été décrits sous corticothérapie longue.
D´autres effets indésirables peuvent renvoyer à des troubles du cycle chez la femme, une perte de libido, des troubles de l´érection, mais aussi des troubles neuropsychiatriques tels que l´irritabilité, l´agressivité, la dépression ainsi que la fatigue et les troubles du sommeil.
Description : l'hypertension artérielle induite par la cortisone est souvent modérée et ne se manifeste habituellement par aucun symptôme. Le diagnostic est en général posé par le médecin lors de la mesure de la pression artérielle en consultation.
Il faut cependant être prudent quand on associe la cortisone: à des médicaments diminuant le taux sanguin de potassium (ex : diurétiques, certains laxatifs) à des médicaments pouvant avoir des effets indésirables en présence d'une baisse du taux sanguin de potassium (ex : digitaline)
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
Si cela peut te rassurer ca a dégonflé entièrement au bout de 1 mois après l'arrêt complet du traitement.
Cet effet indésirable du traitement est rapporté par 40% des patients et semble dépendre notamment de la dose reçue. Il disparait lorsque les doses de corticoïdes sont diminuées.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement.
Grâce à son action sur le système immunitaire, la cortisone empêche l'organisme de produire les substances responsables des symptômes de l'inflammation (ou de l'allergie) tels que rougeur, gonflement, douleur ou augmentation de la température corporelle…
Parmi les effets secondaires, les patients peuvent souffrir de différents maux : acné, altération des sensations gustatives, apparition de lignes rouges violacées, augmentation de l'appétit, brûlures d'estomac, croissance pileuse excessive, fatigue, hoquet, diarrhée, nausée, prise de poids, raréfaction des cheveux, ...
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Le bourgeon de cassis est un véritable "concentré naturel", efficace contre les manifestations allergiques (effet comparable à la cortisone), les migraines d'origine allergique, l'urticaire, le rhume des foins, les affections du foie.
Les poissons gras. Ils sont riches en oméga 3 qui contiennent des molécules anti-inflammatoires. Le maquereau, les sardines, le saumon ou encore le hareng sont très riches en oméga 3. Les huiles de colza, de lin, de chanvre et de noix.
Conclusion. - Cette étude confirme l'augmentation de la pression artérielle systolique associée à la baisse de la fréquence cardiaque en cas de traitement corticoïde. La relation inverse entre ces deux paramètres suggère un mécanisme adaptatif physiologique par baroréflexe (réponse de type hypertension/bradycardie).
Faire des activités sportives. La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Elle est indiquée aux patients atteints de maladies rhumatismales. Elle est en plus très efficace pour lutter contre les inflammations, pour diminuer les douleurs et les raideurs articulaires en cas de polyarthrite rhumatoïde, de PPR (pseudopolyarthrite rhizomélique) ou de maladie de Horton.
Il ne faut pas combiner les anticoagulants, les anti-vitamines K et les antibiotiques avec de l'alcool. En effet, il existe un risque que l'effet augmente ou diminue après avoir été métabolisé ensemble dans le foie. C'est le cas par exemple de la warfarine qui prévient la formation de caillots sanguins.
En rhumatologie, elle est utilisée de façon prolongée dans les maladies inflammatoires chroniques, telle que la polyarthrite rhumatoïde, les vascularites (la maladie de Horton, la maladie de Wegener...) ou les maladies générales (le lupus érythémateux disséminé, le syndrome de Goujerot Sjögren...).
Consommer du gingembre frais ou en poudre pour réduire l'inflammation. Sous forme de complément alimentaire de gingembre, plus concentré en gingérols. Le faire infuser dans du thé ou des tisanes. Mâcher directement la racine, bien qu'elle soit assez amère.
Les plus employés sont la prednisone (Cortancyl®), la prednisolone (Solupred®) et la méthylprednisolone (Médrol®) qui se donnent par voie orale. Dans les poussées les plus fortes, on utilise parfois aussi des formes injectables (intraveineuse), par exemple le Solumédrol®, l'Hydrocortisone® ou le Célestène®.