Un niveau élevé d'empathie et une abondance de comportements prosociaux sont parfois associés à l'anxiété et à la dépression. Dès le plus jeune âge, une préoccupation excessive pour les autres peut être un signe de ces troubles d'internalisation.
«Les gens empathiques veulent naturellement absorber la douleur des autres dans leur propre chair afin de les soulager», dit la Dre Orloff. Vous vous sentez responsable du bien-être de ceux qui vous entourent. Vous essayez bien de ne pas prendre les choses tellement à cœur, de passer outre, mais vous n'y parvenez pas !
Parmi elles, certaines ont la particularité - que dis-je, le pouvoir - d'absorber et de ressentir les émotions des autres, rien qu'en les côtoyant ou en les observant. On les appelle les hyperempathiques (ou hypersensibles empathiques).
L'empathie se dissipe petit à petit lorsqu'on n'est plus au contact avec les autres. Prenez du temps pour vous, seul(e), détendez-vous et faites quelque chose qui vous plaît (regarder un film ou une série, par exemple).
L'empathie est certes un don, mais elle peut aussi devenir un fardeau. Ce genre de personne peut très facilement reconnaître les menteurs et les gens qui ne sont pas sincères. Mais, avec ce don, il peut être difficile d'entretenir des relations amicales ou amoureuses.
Coach, infirmier, médecin, psychothérapeute, enseignant, professeur de yoga, vétérinaire sont des métiers qui répondent à leur sens de l'empathie », selon l'auteur.
L'empathie réside dans ce lien immédiat qui permet de comprendre sur le moment le ressenti d'autrui". On est prodigieusement doués pour savoir ce qui se passe dans la tête des autres. Nous sommes capables de reconstituer les pensées, les émotions de ceux qui nous entourent.
Poser des limites fermes (sans pour autant devenir méchant) peut vous aider à faire passer vos propres émotions en priorité. Vous pouvez créer des espaces émotionnels, sociaux et physiques dans lesquels vous pourrez vous épanouir sans être négativement impacté par les émotions des autres.
On peut dire que l'empathie est synonyme de compréhension en termes de relations humaines, interpersonnelles. Si vous manquez d'empathie, vous ne parviendrez pas à comprendre les joies et souffrances, les actes, les dires, les pensées, les choix et décisions d'autrui.
L'empathie
L'hypersensible va percevoir une tristesse et un manque de confiance qui contredisent ce qu'on lui dit. En un rien de temps, il a absorbé la tristesse de son interlocuteur. Il se sent d'autant plus mal que l'autre fait tout pour la cacher et ne se rend même pas forcément compte qu'il est triste !
L'empathie est une qualité humaine, ce n'est pas une technique. Être empathique, c'est avant tout aimer les autres, avoir de la considération pour autrui. S'intéresser à l'autre, chercher à le comprendre : c'est pénétrer ses schémas de pensée et ses modes de fonctionnement.
Il ne comprend pas toujours très bien le monde qui l'entoure et les réactions des gens. Si l'hypersensible est mesuré et prudent, l'hyperempathique est fonceur de nature. Il est profondément touché par le malheur des autres, mais également le bonheur qu'il vivra de façon tout aussi intense que la personne concernée.
Quand Empathique rencontre Narcissique, la relation peut vite devenir toxique : Chaque fois que surgit un conflit, Narcissique impose son point de vue et n'hésite pas à accabler Empathique, qui n'ose pas répondre de peur d'aggraver la situation.
L'empathie est une attitude et un pas importants, une amorce utile, mais pas toujours suffisante. L'empathie trouve aussi ses limites par le fait que très souvent, plus ou moins consciemment, nous avons une empathie à géométrie variable. En effet, nous n'accordons pas la même attention à nos différents interlocuteurs.
La réponse est oui, l'empathie est importante, peut vous aider à réussir à la fois personnellement et professionnellement, et, comme toute compétence, elle peut s'apprendre avec un peu d'entraînement. Tout d'abord, l'empathie vous aide à établir des connexions sociales avec les autres.
Le cerveau humain traite l'empathie – cette faculté à comprendre la douleur d'une autre personne – de la même manière que l'expérience de la douleur physique. C'est la conclusion d'un article qui a particulièrement examiné le ressenti de personnes qui en voient d'autres souffrir.
Le cerveau des hypersensibles est en suractivité et ces personnes sont très observatrices. Elles font attention aux détails tout le temps, réfléchissent et cogitent en permanence. L'hypersensibilité n'est pas une maladie mais une nature qui concerne autant les hommes que les femmes.
« Cela fait partie de l'hypersensibilité d'avoir des hauts et des bas, et accepter l'émotion permet d'avoir une meilleure connaissance de soi, et c'est à ce moment-là qu'on la transforme et qu'elle devient une force ».
Parmi ces sports de combat, on trouve l'aïkido qui permet de se protéger et de comprendre la position de l'attaquant. Ce sport peu agressif, dont la philosophie est basée sur l'empathie, convient parfaitement aux enfants et aux adolescents hypersensibles.
Ce qui peut les laisser penser que s'ils sont hypersensibles, ils ont forcément une intelligence cognitive supérieure à la moyenne. Ce n'est pas le cas. Cependant, il n'y a aucune raison de s'en apitoyer. Car avoir un quotient intellectuel supérieur à la moyenne ne garantit aucunement le bonheur.
Un empathe est très sensible aux émotions des gens et à leur énergie. Cette sensibilité ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres éprouvent par leur sens très développés et leur intuition qu'ils utilisent.
Les empathes auront d'abord besoin de connaître (véritablement) leur partenaire, de saisir sa manière de pensée et de se penser au monde. Mais ils se sentent aussi obligés de vous aider, soit à guérir, soit à simplement évoluer. Ils seront prêts à s'asseoir à côté de vous et à écouter votre histoire.