Voici les 3 raisons qui sont à l'origine de ce comportement : La peur de soi : de se laisser submerger par l'émotion, de perdre le contrôle qui serait alors considéré comme un manque de professionnalisme ou de compétence. La peur du conflit : la crainte de blesser son interlocuteur indispose beaucoup de personnes.
Ayez comme objectif la résolution de la situation, et non l'autodéfense. Concentrez-vous sur la situation plutôt que sur vos propres sentiments et reconnaissez que l'autre personne a un problème non pas avec vous, mais avec la situation elle-même.
Une des raisons qui vous empêchent d'aller lui parler est la peur que votre assurance en prenne un coup. Ne vous en faites pas. Vous ne devez pas penser que votre assurance ne repose que sur l'opinion d'une seule personne. Une grande partie de celle-ci devrait venir de ce que vous ressentez à propos de vous-même.
Nous sommes également susceptibles de perdre nos moyens par manque de confiance en soi. De nombreuses études ont démontré le rôle de l'estime de soi dans la qualité des performances, que ce soit en examen, en entretien, en sport.
Il est donc normal que vous soyez épuisé de parler aux autres si votre humeur et votre niveau de motivation personnelle sont faibles. La raison en est que ces états vous amènent à sentir que les autres ne vous apportent rien, ne vous motivent pas et vous quitte par ailleurs une partie de votre temps.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Maîtrisez vos émotions
Souvent, une conversation nous paraît difficile parce qu'on est engagé émotivement avec ce qu'on a à dire ou avec la personne en face de nous. Alors, la première chose à faire est de vous distancier de vos émotions. C'est la condition sine qua non pour vous donner le courage de parler.
Exercez-vous à parler devant un miroir.
Prenez le temps de rassembler vos pensées. Écrivez ce que vous voulez dire. Exercez-vous avec un ami en qui vous avez confiance. Simulez une situation réelle avec un professionnel, comme un psychologue, capable de vous donner une opinion honnête et objective.
Incapacité à ressentir certaines émotions ou grande difficulté à mettre un mot sur un ressenti, l'alexithymie, sorte d'anorexie des sentiments, handicape les personnes qui en sont atteintes. "Je ne sais pas ce que je ressens." Voilà ce que pourrait dire un alexithymique.
Bien souvent, la paresse nait du sentiment d'être dépassé par les évènements. Vous abandonnez alors avant même d'avoir commencé, car le désordre mental face auquel vous vous trouvez vous semble trop important. Le secret est alors de faire confiance au pouvoir des petites choses.
La flemme n'est pas une pathologie, mais peut devenir problématique quand elle s'immisce dans tous les domaines de la vie, quand les conduites d'évitement relèvent de la phobie. Sous la fainéantise se cache parfois la déprime, voire la dépression. Il convient alors de se faire aider et de trouver son origine. »
Les personnes qui nous épuisent nous utilisent comme un réceptacle émotionnel, elles déversent sur nous leurs émotions, leurs soucis, ce qui nous envahit petit à petit, brise nos défenses et nous fait du mal.
Le deuxième problème qui coupe l'émergence des sujets de conversation, c'est le fait de juger son idée avant même de l'avoir dite à l'autre. Vous êtes le pire juge qu'il soit. Surtout quand on est timide et que l'on manque de confiance en soi, on se juge très négativement bien souvent.
Tout est possible quand on ne sait pas de quoi on parle. Cette phrase de Loi de Murphy contient 12 mots.
Il est préférable de poser des questions ciblées à une personne taciturne pour qu'elle vous réponde. Laissez-lui aussi de la place pour s'exprimer en vous taisant. En effet, plus vous parlez et plus la personne taciturne risque de se taire. Lui laisser des plages de silence peut l'aider à prendre la parole.
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...