On sait aussi que la faim déclenche des baillements, tout comme les repas repas trop copieux ou alcoolisés. Plus la ration calorique est élevée au cours d'un repas, et plus on a envie de bailler ensuite. Le baillement est lié à la régulation des rythmes de veille, de sommeil et d'alimentation.
En fait, le bâillement serait déclenché par une augmentation de la température du cerveau[1], qui se produit souvent lorsqu'on est fatigué, qu'on s'ennuie, qu'il fait chaud ou qu'on est malade. Bâiller a un effet thermorégulateur qui nous permet de retrouver de la vigilance.
Parfois, nous la justifions par une suite de variations de la pression atmosphérique, un sommeil insuffisant et, dans la plupart des cas, par trop de travail et de stress. Lorsque nous faisons face à de tels états de temps en temps, c'est normal de ne pas s'inquiéter.
Le fameux “coup de barre” correspond en réalité à une somnolence post-prandiale induite par la digestion : les cellules du pancréas sécrètent de l'insuline lors de la digestion. Celle-ci provoque une hausse de sérotonine, un neurotransmetteur qui favorise l'endormissement.
N'allez pas dormir après manger
Et c'est vrai que la sieste, c'est un acte salvateur pour notre corps : une sieste de 10 à 15 minutes pendant la pause-déjeuner nous permet souvent d'entamer l'après-midi du bon pied. Certes, mais en réalité, faire un petit somme juste après le repas ce n'est pas vraiment l'idéal.
Une insuffisance cardiaque, une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou une maladie rénale chronique sont responsables de fatigue lorsqu'elles s'aggravent.
Quand faire la sieste ? Durant la journée, aux premiers signes de somnolence ou de « coup de barre », mieux vaut ne pas lutter. En règle générale, la sieste se fait juste après le repas de midi. Son nom vient d'ailleurs du latin sexta, pour désigner la sixième heure du jour.
Ainsi, s'allonger après manger ne ferait pas exactement grossir, mais ne favoriserait pas une bonne digestion. Il vaut donc mieux différer votre petite sieste digestive et privilégier la position verticale.
La position allongée favorise les reflux gastriques et les sensations de brûlure. Se coucher directement après avoir mangé est nocif pour notre sommeil. Les experts conseillent de laisser entre 2 et 3 heures de délais entre le repas et le coucher.
"Quand le bâillement devient excessif et se répète à l'envi, il peut signaler une dette de sommeil, voire un syndrome d'apnée du sommeil", indique le spécialiste. "Le bâillement peut aussi accompagner une migraine, un AVC, une hypertension intracrânienne, parfois une tumeur au cerveau.
Souvent associé à la fatigue ou à l'ennui, le bâillement aiderait surtout à retrouver son calme et sa vigilance avant et après un effort ou un stress. S'il se déclenche spontanément, il peut aussi être provoqué volontairement pour se détendre.
Nombre de spécialistes l'assurent : bailler est bon pour la santé. Contraction des muscles du visage et du diaphragme, le bâillement permet notamment de décontracter tout le corps. Une vertu apaisante qui apparaît comme un révélateur de notre capacité à réactiver notre énergie.
On a longtemps cru qu'on bâillait pour alimenter notre cerveau en oxygène. Logiquement, si une personne manque d'oxygène dans une pièce, les autres personnes présentes dans la même pièce vont elles aussi manquer d'oxygène. Résultat : tout le monde bâille pour compenser !
« Lorsque l'on bâille, on a tendance à pleurer un peu. Cela est dû à la contraction des sacs lacrymaux, à la base de l'œil, provoquée par la contraction de la mâchoire lors du bâillement. »
Depuis 1986, des chercheurs ont découvert le bâillement érotique, particulièrement chez la femme. Des sexologues rapportent que certaines personnes baillaient pendant l'amour ou les préliminaires. Réaction troublante et dérangeante, car le bâillement est pour beaucoup synonyme d'ennui et surement pas de désir brûlant !
Boire pendant les repas serait même bénéfique, car cela permet une liquéfaction des aliments secs, ce qui facilite l'action des sucs digestifs. Enfin, boire de l'eau au cours tout en mangeant nous aide à ingérer la nourriture moins vite et à mieux mastiquer.
Un apport important de liquide ne devrait pas avoir lieu trop rapidement après les repas afin que les digestions puissent s'effectuer correctement. Ces dernières prennent en moyenne 2 heures ; il serait par conséquence préférable de ne boire abondamment qu'après ce laps de temps.
Jusque là, rien de bien neuf sous le soleil, nous sommes d'accord. Mais savez-vous que pour une bonne perte de poids, le sommeil est essentiel ? Bon, ne vous emballez pas trop : dormir ne fait pas maigrir, ce serait trop simple. Mais il est vrai que le sommeil participe à la perte de poids.
Outre l'humeur, la qualité et la quantité de sommeil diminuent : les siestes plus courtes, des réveils en majorité en pleurs, un sommeil plus agité, une transition entre les cycles plus difficile… C'est aussi ça une dette de sommeil!
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Le principe de sa méthode est donc d'inspirer doucement par le nez, la bouche fermée, tout en comptant jusqu'à 4 dans sa tête, de retenir sa respiration pendant 7 secondes et d'expirer par la bouche en comptant jusqu'à 8. Le tout à répéter 3 fois pour faciliter l'endormissement.
Ce sentiment de non-repos peut être dû au stress, au surmenage au travail, à des activités de loisirs trop intenses ou même, à une alimentation déséquilibrée ou insuffisante. Pour savoir d'où vient cette fatigue, il est nécessaire d'analyser les changements qui ont pu se produire récemment dans votre vie.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
des signes propres à l'anémie : pâleur, fatigue, essoufflement à l'effort, maux de tête, sensation de "tête qui tourne", vertiges, étourdissements, faiblesse en se levant d'une chaise ; des signes caractéristiques du manque de fer : peau et cheveux secs, ongles cassants.