Le trait commun à toute personne qui découvre sa mémoire traumatique à travers des souvenirs, qu'ils soient bien définis ou non, est bel et bien le caractère obsessionnel qu'une telle découverte engendre et le sentiment de culpabilité qui en découle. On parle alors bien plus que d'une perte d'équilibre.
L'amnésie dissociative est une amnésie (perte de mémoire) provoquée par un traumatisme ou un stress, résultant en une incapacité à se souvenir d'informations personnelles importantes. Les personnes ont des trous de mémoire, qui peuvent s'étendre de quelques minutes à plusieurs décennies.
Le syndrome des faux souvenirs se manifeste par des distorsions (transformation, imagination, oubli) d'un évènement lors du rappel ou de la reconnaissance de celui-ci. Le déclin cognitif lié aux troubles de la mémoire (AVC, Alzheimer) n'est pas la seule cause de ce phénomène.
La phobie d'impulsion est un type de trouble obsessionnel-compulsif qui implique le plus souvent la peur d'avoir fait du mal aux autres, souvent aux personnes qu'on aime le plus, sur le coup de l'impulsion. Les personnes qui souffrent de telles peurs vivent un haut niveau d'anxiété et se posent de nombreuses questions.
Si on vous reproche souvent d'avoir une mémoire de poisson rouge, sachez que vous n'êtes pas seul. Il a été démontré il y a déjà bien des années que la mémoire pouvait faire défaut. Interesting Engineering révèle que le cerveau est capable de créer de faux souvenirs quelques secondes après l'événement.
Pour faire " sortir " les souvenirs traumatiques enfouis, le médecin psychiatre ou le psychologue pourra notamment avoir recours à l'hypnose ou à l'eye movement desensitization and reprocessing (EMDR), une thérapie brève qui repose sur des mouvements oculaires répétés.
L'amnésie traumatique est donc un trouble de la mémoire qui peut apparaitre après l'exposition à un ou plusieurs événements traumatisants. Elle peut être complète, lorsque la totalité de l'événement est inexistant, ou bien partielle, lorsque quelques fragments de l'événement sont absents de la mémoire narrative.
Cela peut venir par exemple d'un climat d'anxiété. Vous pouvez aussi avoir développé cette fonction de la psyché au détriment d'autres fonctions telle la fonction intuitive. Il faudrait donc creuser pour comprendre comment cela s'est organisé historiquement en vous.
Vérifier, compter, se laver encore et encore, pendant des heures, sans jamais se sentir rassuré, peut être le signe d'un « Trouble Obsessionnel Compulsif » (ou TOC). C'est une forme de trouble anxieux qui se soigne, à bien différencier des petites manies ou inquiétudes que l'on peut ressentir épisodiquement.
Il s'agit de la dépersonnalisation, un des symptômes fréquents de l'anxiété. Elle se caractérise par l'expérience prolongée ou récurrente d'un sentiment de détachement et d'une impression d'être devenu un observateur extérieur de son propre fonctionnement mental ou de son propre corps.
Consulter vos souvenirs
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La majorité des adultes situent leurs premiers souvenirs d'enfance entre 3 ans et 4 ans. Avant cela, ils ont presque tout oublié. C'est ce qu'on appelle l'amnésie infantile. En fait, vers 8 mois, les bébés sont capables d'avoir quelques petits souvenirs.
"Les souvenirs refont surface lorsque le présent n'est pas à la hauteur du passé." Franck Nicolas | Citation, Citation pensée, Poeme et citation.
Nous connaissons tous ces trous de mémoire dont la fréquence augmente avec l'âge ou lors de certaines situations : surcharge de travail, stress, émotions... En général, les oublis occasionnels sont liés à l'inattention ou peuvent parfois masquer une fatigue importante, des symptômes dépressifs ou troubles anxieux.
«La mémoire n'est pas quelque chose de fixe, c'est un processus actif et dynamique. Lorsque le bébé naît, son cerveau n'est pas encore mature au niveau neuronal, explique-t-il, car de nouveaux neurones vont se créer. En se mettant en place, ils vont déstabiliser les souvenirs existants.
La thérapie EMDR « débloque » les souvenirs négatifs stockés dans le système nerveux, puis aide le cerveau à traiter l'expérience pour qu'elle soit « digérée ». Pour parvenir à ce résultat, l'EMDR utilise les stimulations bilatérales alternées. Elles peuvent être oculaires, sonores ou tactiles.
Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se traduisent par des obsessions (pensées dérangeantes, répétitives et incontrôlables), causant une forte anxiété. Celle-ci est atténuée par la mise en place de comportements répétitifs, irraisonnés et incontrôlables (les compulsions).
La rumination mentale nous bloque dans une situation passée ou à venir qui sera forcément négative ; elle nous empêche d'être dans le moment présent.
Anxiété : lorsqu'une personne souffre d'anxiété, cela peut entraîner des pensées intrusives. En fait, ces pensées sont souvent liées à des situations sociales inconfortables ou à la possibilité d'une mort ou d'un malheur.
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
Moment présent. Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Nous avons parfois ce besoin lorsque le quotidien devient trop difficile ou que nous manquons cruellement de temps pour nous. Partir dans ses pensées, c'est s'offrir une bulle de bien-être. Que ce départ soit volontaire ou non, il est souvent le signe d'un déséquilibre.
Des comportements excessifs de voyeurisme, ou d'exhibitionnisme ; L'agressivité envers les autres enfants : il arrive que certains miment avec un autre, dans leurs jeux, les gestes qu'ils ont subis ; La frayeur devant tout contact physique, de la part de qui que ce soit.
avoir le sentiment de ne plus vouloir ou de ne plus pouvoir vivre. épisodes répétés de violence physique ou sexuelle. sentiment de haine envers soi-même ou faible estime de soi.