Une personne qui dramatise tient l'autre responsable de son bonheur ou de son malheur. Elle se croit aussi responsable des autres. Sans s'en rendre compte, elle ne pense qu'à elle-même. Une personne responsable assume les conséquences de ses propres choix et actions et non celles des autres.
Prends le temps de te calmer quand tu en ressens le besoin.
Une autre chose que tu peux faire afin d'éviter de dramatiser est d'apprendre à reconnaitre tes signes avant-coureurs. Si quelqu'un dit quelque chose qui va te rendre furieux, apprends à savoir quand tu commences à t'énerver et éloigne-toi un petit moment.
Le mot drama queen désigne une personne, homme ou femme, qui exagère les choses négativement, qui les prend au tragique avec excès, qui dramatise tout. On dirait familièrement qu'elle en fait des tonnes, qu'elle en fait des caisses, et pour chaque situation dramatisée, qu'elle en fait tout un plat.
Prendre les choses à cœur, ce n'est pas quelque chose de négatif. En fait, c'est juste une question de curseur et de dosage. Si tu as la sensation que ce qui se passe autour de toi t'impacte trop au niveau émotionnel, que cela prend beaucoup de place dans ta tête, tu es au bon endroit.
On les appelle « idées noires », « obsessions » ou encore « ruminations ». Elles surviennent souvent après un choc émotionnel. Elles hantent l'esprit pendant des jours ou des mois. Comment s'expliquent l'irruption de ces idées fixes dans notre vie quotidienne ?
Arrêter ses pensées. Écrivez vos pensées. Si vos pensées vous distraient de vos activités quotidiennes et vous causent de la tristesse, des angoisses ou des soucis, la première chose à faire est de les écrire sur du papier. Écrivez toutes les pensées qui vous énervent de la plus stressante à la moins stressante.
Pour prendre du recul, il faut déjà arrêter le temps !
Celle de la prise de conscience. En effet, comme toujours lorsque l'on souhaite régler un problème, ici l'incapacité à prendre du recul sur une situation, voire sur son quotidien, il faut tout d'abord avoir conscience du problème.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Lorsque l'anxiété devient grave, donc pathologique, elle altère, voire, paralyse complètement le fonctionnement de la personne dans la plupart des domaines de son existence. Une personne souffrant d'anxiété sévère vit des difficultés considérables, tant au travail, que dans sa vie familiale, sexuelle ou sociale.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Souvent, c'est une stratégie pour éviter d'être face à des angoisses mais le mal-être ne disparaît pas pour autant. En effet, ces pensées sont habituellement accompagnées de sentiments et d'émotions désagréables comme la tristesse, la dévalorisation, la culpabilité ou la colère.
Les sombres pensées sont habituellement un signe d'anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d'imaginer cette chose. C'est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C'est un moyen de nous assurer que nous n'agissons pas d'une manière dangereuse.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Le clonazépam (Rivotril)*, l'alprazolam (Xanax) et le lorazépam (Ativan) sont les benzodiazépines les plus prescrites pour le traitement de l'anxiété, mais les médecins prescrivent également le bromazépam (Lectopam), l'oxazépam (Serax), le chlordiazépoxide (connu autrefois sous le nom de Librium), le clorazépate ( ...
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
On les appelle des “pensées automatiques”. Elles ne sont pas le fruit d'une réflexion, mais d'un automatisme acquis le plus souvent dans l'enfance. Ces pensées sont à la limite de la conscience, et il faut souvent faire un effort mental pour les identifier.
Vérifier, compter, se laver encore et encore, pendant des heures, sans jamais se sentir rassuré, peut être le signe d'un « Trouble Obsessionnel Compulsif » (ou TOC). C'est une forme de trouble anxieux qui se soigne, à bien différencier des petites manies ou inquiétudes que l'on peut ressentir épisodiquement.
Les facteurs psychologiques
Les mauvaises habitudes de vie (manque de sommeil, peu d'activité physique...) et les événements extérieurs (conditions économiques, stress, traumatismes, difficultés relationnelles…)