Causes : pourquoi je fais une
Le trouble explosif intermittent, ou TEI, est un problème de santé mentale caractérisé par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité.
La colère peut aussi être un signe d'autre chose, comme la dépression ou l'anxiété, ou le fait d'être victime d'intimidation. Il est important de prendre ces signes au sérieux. Il peut être utile d'en parler à ses amis, à ses parents, à son médecin ou à d'autres personnes en qui on a confiance.
Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
Parmi les causes les plus fréquentes, on retrouve la fatigue mentale et physique, des changements hormonaux (cycle hormonal, syndrome prémenstruel, ménopause, andropause...). Parfois, cela peut être le symptôme d'un mal-être plus profond.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.
Si l'éthylisme chronique et les états d'agitation et d'agressivité qu'il entraine sont la principale raison de prescrire du Tiapridal®, il en existe d'autres. Ce neuroleptique peut en effet également traiter certains troubles du comportement chez l'enfant.
Le besoin de contrôle : l'émotion peut se ressentir lorsque nous perdons le contrôle d'une situation ou lorsque nous avons l'impression que quelque chose nous échappe. La colère peut nous donner une sensation de pouvoir et de contrôle sur une situation.
Les causes possibles de ne plus supporter les gens
Les causes pouvant mener à ne plus supporter les gens sont variées, incluant la dépression, l'anxiété sociale et d'autres problèmes de santé mentale.
Le critère principal du TEI consiste en l'occurrence d'épisodes où la personne ne peut résister à ses impulsions agressives et qui mènent à des actes de violence dirigés vers autrui ou vers des objets.
En pratique, une crise de rage de temps en temps n'est pas bien grave. C'est plutôt la successsion d'états colériques qui est dangereuse. S'énerver une fois par mois se traduirait par un risque supplémentaire d'une crise cardiaque en plus par an.
La colère émerge des interactions de plusieurs régions cérébrales : elle influe sur le niveau général d'excitation du système nerveux et les processus corporels automatiques, sur le contenu des sentiments, et chez l'homme, peut être amplifiée ou inhibée par le souvenir de situations analogues passées.
Le foie est en relation avec colère le Coeur est en relation avec la joie, La Rate est en relation avec l'excès de pensée, Le Poumon est en relation avec la tristesse, Le Rein est en relation avec la peur. En médecine occidentale on confirme le lien entre douleur et émotions notamment à travers la fasciathérapie.
Qu'on on se met en colère, les hormones s'activent
- Le cortisol est aussi l'une des hormones du stress et intervient quelques minutes après l'arrivée de l'adrénaline. Utile pour la transformation des graisses en sucre, elle oriente cette énergie vers les muscles des jambes dans l'éventualité d'une fuite en courant !
C'est peut-être un manque d'estime de soi, la peur d'accepter ses propres sentiments, la peur de perdre le contrôle des situations, d'être en colère contre soi-même, etc. Les options sont variées et autant qu'il y a d'êtres sur cette planète.
Parmi les raisons les plus courantes, la peur du conflit peut être due aux raisons suivantes : Vous sautez trop vite aux conclusions : Les personnes qui ont tendance à sauter aux conclusions devant les autres peuvent finir par prendre l'habitude d'éviter les conflits à cause de cela.
Le Haut Potentiel Intellectuel et la pensée en arborescence
Les personnes à Haut Potentiel Intellectuel se sentent la plupart du temps en décalage avec la plupart des autres personnes, notamment du fait de leur intelligence cognitive, qui est infiniment plus développée.
La colère quant à elle induit une sensation forte localisée au niveau des bras et la peur plutôt dans la poitrine. Les chercheurs espèrent que leurs résultats pourront aider les médecins à mieux diagnostiquer et traiter certains troubles du comportement qui touchent aux émotions.
La tension musculaire, l'augmentation du rythme cardiaque et de la respiration, la migraine, la fatigue, l'emploi d'un ton agressif, les gestes impulsifs sont des signes qui vous permettent de reconnaître la colère.
détournez votre attention par le corps : le corps est un bon outil de gestion de la colère. Quand celle-ci commence à vous submerger, utilisez votre respiration profonde. Inhalez une huile essentielle de lavande. Sortez marcher, tapez dans un oreiller.
Face à une personne victime d'une crise de nerfs, le plus important est de calmer la personne, lui parler et la rassurer pour faire partir l'angoisse. Il est également conseiller de garder sur soi des compresses d'eau froide pour se rafraîchir.
Les chips et les bonbons, certes, réconfortent l'âme, mais n'aident qu'à court terme. Cela est dû aux sucres simples, qui font monter et descendre rapidement le taux de sucre dans le sang. Des exercices de relaxation, du sport ou une micro-sieste peuvent également contribuer à calmer les nerfs.
Utiliser des techniques de communication assertive. La communication assertive permet d'exprimer ses pensées, ses émotions et ses besoins de manière claire, respectueuse et non agressive. Elle peut contribuer à désamorcer les conflits et à prévenir l'escalade de la colère.