Un déficit en dopamine peut survenir en raison d'un stress psychologique, d'influence environnementale ou d'une prédisposition génétique. Une alimentation déséquilibrée, notamment un apport insuffisant en vitamine B6, B12 et C et en acide gras oméga-3 peuvent également faire baisser le taux.
Ainsi, l'excès de stimulants peut en être la cause, dans la mesure où le cerveau, habitué à une libération artificielle de cette hormone, devient incapable d'en produire. Par exemple, la consommation d'une grande quantité de café, d'alcool ou la prise de drogue comme la cocaïne provoque la libération de dopamine.
Ils peuvent être d'intensité variable et ne pas tous être présents en même temps : Une lenteur dans la mise en œuvre et la coordination des mouvements (akinésie) ; Une raideur des muscles (hypertonie) ; Un tremblement dans les extrémités, notamment de la main, au repos.
Deux types de médicaments existent pour compenser le déficit en dopamine : la Lévodopa (ou L-DOPA, transformée en dopamine dans le cerveau) et les agonistes dopaminergiques (imitant les effets de la dopamine et permettant de rétablir la transmission défaillante).
Vous en trouverez dans : le lait (et les produits laitiers), la betterave, les noix, le persil, l'oeuf, le tofu, la viande, la volaille, le poisson, le chocolat noir, les céréales, etc.
Inhibiteur de la recapture de la noradrénaline-dopamine
Le bupropion est actuellement le seul médicament de cette classe à être utilisé.
La dopamine est une substance chimique produite dans notre cerveau. Elle joue un rôle dans la régulation de la cognition, de la mémoire, de la motivation, de l'humeur, de l'attention et de l'apprentissage. Ce neurotransmetteur facilite également la prise de décision et la régulation du sommeil.
Pour relever le défi et faire votre détox de dopamine, les règles sont simples. Pendant 24 heures, supprimez toutes les activités stimulantes qui participent à maintenir vos hauts niveaux de dopamine : utiliser votre téléphone, passer du temps sur les réseaux sociaux, regarder YouTube ou Netflix, jouer à la console…
Manger des glucides et du chocolat
Manger des glucides (fruits, légumes, pain et pâtes aux céréales complètes, quinoa, etc) est une technique parfaite pour augmenter le taux de sérotonine. Le tryptophane a besoin d'énergie (et donc de glucides) pour atteindre le cerveau et fabriquer de la sérotonine.
Faire attention à son alimentation
Un premier conseil sera de privilégier les aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui stimule la production de dopamine. On en trouve dans les bananes, le chocolat, les avocats, les graines de sésame et de citrouilles, les amandes, ou encore les œufs et les fromages.
Manger une alimentation saine, riche en fibres prébiotiques et en probiotiques permet d'équilibrer nos neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine (29). L'excès de sucre ou de produits riches en glucides rapides ont un effet sur le système mésolimbique modifiant la sécrétion de dopamine.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs...
La dopamine, sécrétée le matin, est le neuromédiateur de l'éveil, de l'entrain. "C'est en quelque sorte le démarreur", explique le nutritionniste. La noradrénaline, également sécrétée le matin, sert elle aussi de "démarreur". La sérotonine, sécrétée en fin d'après-midi, a des vertus sédatives.
Les neurones dopaminergiques sécrètent la dopamine, une molécule de communication qui n'est pas seulement associée au plaisir. Car elle agit dans différentes régions cérébrales, notamment impliquées dans l'apprentissage.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Lorsqu'il perçoit une menace, l'organisme active instantanément l'hypothalamus, une structure du cerveau limbique qui assure l'homéostasie, c'est-à-dire le maintien à l'équilibre des constantes biologiques (pression artérielle, fréquence cardiaque et respiratoire).
Le stress est lié à l'action d'hormones comme l'ACTH (ou hormone corticotrope), le cortisol, l'adrénaline, l'ocytocine et la vasopressine.
Parmi ces médicaments, soulignons la fluoxétine (Prozac), le citalopram (Celexa), la sertraline (Zoloft) et l'escitalopram (Cipralex). Les ISRS agissent sur certains produits chimiques naturels (les neurotransmetteurs) du cerveau qui sont utilisés pour communiquer entre les cellules cérébrales, et ils gèrent l'humeur.
Médicament phare des années 90, le Prozac® a été surnommé "pilule du bonheur". Il est vrai que cette thérapeutique à visée antidépressive est aujourd'hui l'une des plus prescrites dans le monde.
Les vitamines du groupe B (particulièrement la vitamine B6) sont importantes pour la production de dopamine, de mélatonine et de sérotonine. Les aliments riches en tyrosine. La tyrosine est un acide aminé non essentiel que le corps produit à partir d'un autre acide aminé appelé phénylalanine.
En effet, la dopamine est libérée par notre cerveau lors d'expériences que celui-ci associe au plaisir, et en particulier lors de la consommation de drogues. C'est pourquoi on la surnomme "hormone du bonheur".
Le manque en tyrosine neuronale se traduit par une baisse du tonus psychique, un manque de concentration, une augmentation de la vulnérabilité au stress, une lenteur à la décision et à l'adaptation, une baisse de la libido et de l'humeur, un sommeil agité, des réveils précoces.