Certaines personnes sont persuadées de ne pas avoir droit au bonheur. Ce type de croyance peut découler de situations diverses: un manque d'amour et d'affection durant l'enfance, l'impression de ne pas être issu du bon milieu social, une lourde culpabilité liée à un événement spécifique…
Car le bonheur expose notre coeur plus facilement aux souffrances. Lorsque nous nous sentons heureux, nous avons tendance à baisser nos gardes sur ce qui nous fait peur. Et lorsque qu'une blessure du passé se rouvre douloureusement, nous ne sachons que faire. En bref, fuir le bonheur est une solution.
Certaines personnes recherchent de façon obsessionnelle à atteindre les objectifs qu'elles se fixent et pensent que leur bonheur dépend de leur réussite : elles sont souvent anxieuses et sous pression tant qu'elles n'ont pas atteint leurs objectifs, et pensent qu'elles ne seront heureuses que dans le futur.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
En réalité, il y a automatiquement une cause propre à votre état, mais qui n'est pas toujours évidente à repérer… Il est tout à fait naturel de se sentir triste quand quelque chose de « mauvais » se passe dans votre vie. C'est complètement humain d'avoir une baisse de moral quand la vie devient dure.
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
Passé un moment seul avec soi-même, permet de se trouver, de définir ses attentes, de faire de soi une priorité, de s'aimer,… Bref, toutes ces choses qui vous font exister indépendamment d'une relation avec quelqu'un.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
Pour accepter, nous devons être centrés, car l'acceptation vient du cœur. Une des grandes difficultés à connaître le bonheur, c'est le manque d'amour de soi et par conséquent des autres. Nous ne pouvons aimer les autres que de la même façon que nous nous aimons.
Il n'y a rien de mal à rester célibataire (et à mourir seul), selon une nouvelle étude. Le sociologue Elyakim Kislev soutient que l'on devrait embrasser le célibat.
Connaître une phase de célibat, c'est bénéfique pour tout le monde. Mais d'après les résultats d'une récente étude, il ne faut pas qu'elle soit longue. En effet, le célibat peut s'avérer dangereux pour la santé. Mais surtout pour celle des hommes.
Une psychothérapie est à envisager car elle permet au sujet anuptaphobe de travailler sur l'origine même de sa phobie, c'est-à-dire le sentiment d'abandon constant et la peur de finir sa vie seul(e).
Si vous êtes prêt(e) à investir de l'argent, essayez de prendre des cours de danse, d'apprendre un nouvel instrument ou trouvez une façon de booster votre adrénaline. Vous pouvez aussi faire de la plongée sous-marine, de la natation, du yoga, de la cuisine, du tir à l'arc, du vélo... et la liste est encore longue.
La solitude comme clé de la liberté individuelle
Cette confiance en soi mêlée au travail de pleine conscience et au développement personnel, permet de libérer l'esprit, de gagner en indépendance, de se libérer de ses angoisses, de devenir autonome affectivement et même d'être plus responsable.
Vivre constamment dans le passé, c'est sentir en soi le temps qui file, passe et trépasse, de façon particulièrement douloureuse. Si douloureuse que certains refusent de croire que ce qui a eu lieu (une histoire d'amour, une enfance identifiée comme « heureuse », une période épanouissante au travail, etc.)
Le yoga ou la méditation sont l'une des meilleures pratiques pour cela. Elles permettent de revenir à une stabilité, à prendre du recul et à vivre l'instant présent. Et tout cela contribue fortement à votre mental et à lâcher prise.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
En effet, la femme reste souvent célibataire, car elle ne veut plus perdre son temps en compagnie de mauvais compagnons, certain pourraient lui gâcher la vie. En revanche, cela ne veut pas dire qu'elle ne s'y connaît pas en amour et aux relations.