une organisation de travail inadéquate ; une mauvaise alimentation ; un manque de sommeil ; un manque de compréhension.
Notre cerveau ne peut rester concentré sur un même sujet trop longtemps. Environ toutes les 20 minutes, nous subissons une "baisse de régime" et mieux vaut alors faire une courte pause (se lever, s'étirer, boire un verre d'eau) ou changer d'activité plutôt que de perdre du temps à relire son cours sans rien "imprimer".
Pour mieux retenir ce qu'on lit, la solution est donc toute simple : toutes les quelques pages, faites une sorte de mini pause de quelques minutes où vous faites autre chose que lire. Votre cerveau utilisera ce temps pour reclasser, créer des liens et retenir.
Régulièrement, penchez-vous sur ses leçons avec lui. Petit à petit, il les assimilera plus facilement. Incitez-le à vous réciter sa leçon avec ses propres mots, le fond est plus important que la forme. Pour bien mémoriser une leçon il est essentiel de l'avoir comprise.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Mieux vaut consacrer plusieurs séances d'une demi-heure à l'apprentissage par cœur par semaine, qu'une séance de 4 heures d'une journée. Ce sera une méthode de mémorisation d'autant plus efficace que l'on pourra revoir progressivement ce que l'on aura déjà appris, retenu.
Lire et apprendre en 5 à 10 minutes
L'astuce principale pour mémoriser est de répéter une à deux fois le texte à voix haute pour bien s'en imprégner, et tenter de réciter sans regarder dans le cahier. Là, il faut aussi jeter un coup d'œil sur le texte original si jamais des mots vous échappent.
Le matin. En général, après une bonne nuit de sommeil, le cerveau est frais et disposé à assimiler les informations qu'on lui donne le matin. Surtout lorsqu'il s'agit d'éléments dits « théoriques ». Réviser le matin semble donc être le meilleur moment pour étudier.
Les causes des oublis fréquents
Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire. On en fait trop alors le cerveau, qui ne peut tout enregistrer, fait le tri !
L'aphasie est une affection neurologique se traduisant par une perturbation de l'expression orale ou de la compréhension du langage, écrit et/ou parlé. Elle intervient lorsque la zone du cerveau utile aux fonctions langagières est touchée.
Adoptez la lecture par blocs
Lire mot à mot ralentit considérablement la vitesse de lecture et nuit à la concentration. Vos yeux sont capables d'attraper plusieurs mots en même temps. C'est la lecture par « blocs » . Si vous lisez par blocs de mots, vous doublez instantanément votre vitesse de lecture !
Le méthylphénidate (Ritalin®, Rilatine®, Biphentin®, Concerta®, PMS-Méthylphénidate®) est le médicament de loin le plus employé en cas de TDAH.
Les périodes d'étude trop longues sont démotivantes, car vous avez alors tendance à travailler plus lentement et vous restez ainsi avec l'impression de ne pas avancer. Planifiez des périodes courtes, mais fréquentes pour vous inciter à vous mettre à la tâche. La motivation vient avec le sentiment d'être productif.
Pour mémoriser à long terme, il faut approximativement revoir les notions le jour même, puis deux jours plus tard puis deux fois la semaine suivante puis deux fois dans le mois qui suit.
Par contre pour réussir à apprendre 20 à 50 pages par cœur en un jour il faut être en forme et concentré à 100% de bon matin, le gros du travail doit être fait la matinée. C'est assez paradoxal, tu as une montagne de cours à rattraper, et la meilleure chose à faire est de dormir.
Bien comprendre : il faut comprendre le sens de ce que vous apprenez. Trouver sa place : il faut évoluer dans un environnement de confiance et avoir une motivation. Croire en ses capacités : il faut que vous croyiez un minimum en vous, raisonner en étapes peut vous y aider.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
le stress, l'anxiété et un syndrome dépressif ; une mauvaise hygiène de vie : la consommation d'alcool, de tabac ou de certaines drogues, des carences en vitamines… ; la prise de certains médicaments : somnifères, antidépresseurs, anxiolytiques…
Alzheimer, maladie mortelle du cerveau, engendre un déclin progressif de la mémoire, de la pensée et des aptitudes au raisonnement.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.