Ne pas se réjouir du bonheur des autres serait un sentiment normal. Envier un proche ayant reçu une bonne nouvelle serait parfaitement normal. Ne pas se réjouir du bonheur des autres ne fait d'ailleurs pas de nous une mauvaise personne. Plusieurs raisons peuvent en effet expliquer ce genre de ressenti.
Des dommages importants au niveau de notre concept de soi nous poussent à amplifier celui que les autres ont -ou que nous pensons qu'ils ont-. Et, naturellement, le résultat de cette exagération de leurs attributs peut être un sentiment d'aversion et une attitude négative face aux circonstances et à leur bonheur.
Parfois, on est tellement dans la comparaison, qu'on en oublie de fêter ses propres victoires. "Plus nous minimisons nos propres réussites, plus on risque d'être jaloux de celles de nos amis" , poursuit Miriam Kirmayer. Or, "se souvenir de ce que l'on a laisse moins de temps pour penser à ce qu'on n'a pas".
Bien souvent, on trouve un événement traumatisant à la base de cette phobie. Cet événement est souvent lié à une honte ou une humiliation en lien avec un moment où une joie a été contrariée, bafouée, moquée de façon suffisamment forte pour que le sujet refuse ensuite tout accès à la gaieté dans sa vie relationnelle.
La clé pour cesser de se comparer négativement, c'est de se redonner de la valeur. On a toutes des forces et des qualités qui nous plaisent et nous rendent fières: il faut miser sur celles-ci plutôt que sur celles qu'on n'a pas et que les autres possèdent. En somme, on gagne à se développer plutôt qu'à se comparer.
La jalousie est la manifestation de la possessivité.
Cela s'accompagne de la peur de perdre et d'un sentiment d'envie. J'envie celui ou celle qui veut me prendre l'être aimé. Ce potentiel "prédateur" me paraît être "bien mieux que moi". Peur, envie, manque ce confiance en soi, créent le sentiment d'être en danger.
La jalousie maladive repérée dès les premiers signes peut se soigner en développant la confiance en soi et la confiance en l'autre. On peut par exemple développer une activité personnelle d'expression ou de création, comme le théâtre ou la photographie.
L'aversion au bonheur, aussi appelée « chérophobie » ou « peur du bonheur », est une attitude à l'égard du bonheur dans laquelle les individus peuvent délibérément éviter des expériences qui font appel à des émotions positives, ou au bonheur.
Car le bonheur expose notre coeur plus facilement aux souffrances. Lorsque nous nous sentons heureux, nous avons tendance à baisser nos gardes sur ce qui nous fait peur. Et lorsque qu'une blessure du passé se rouvre douloureusement, nous ne sachons que faire. En bref, fuir le bonheur est une solution.
En réalité, il y a automatiquement une cause propre à votre état, mais qui n'est pas toujours évidente à repérer… Il est tout à fait naturel de se sentir triste quand quelque chose de « mauvais » se passe dans votre vie. C'est complètement humain d'avoir une baisse de moral quand la vie devient dure.
Parmi elles, l'envie, la jalousie mais aussi le sentiment de rivalité. « La réussite des autres nous confronte à ce qu'ils arrivent à accomplir, donc à notre propre manque. On est impressionné.es par l'image, souvent idéalisée, que nous avions projetée sur l'autre », explique la spécialiste.
S'entourer de gens de confiance
Mais il est tout aussi important d'être là pour les autres. Par exemple en se montrant bienveillant(e) vis-à-vis de nos amis, ou de notre moitié, quand ils souhaitent passer du temps avec d'autres amis.
Souvenez-vous des excellentes relations que vous avez, cela peut vous aider lorsque vous ressentez de la jalousie. Vous entourer de vrais amis et d'une famille peut aider à vous souvenir de vos interactions sociales valorisantes lorsque vous sentez que votre jalousie devient hors de contrôle, assure Valdesolo.
La personne envieuse : Elle essaie de ne pas reconnaître l'importance ou même de diminuer ce que vous leur dites, rabaissant ainsi votre personnalité. Elle vous critique, vous sous-estime ou se moque toujours de vous, même en public et généralement en votre absence.
1. Qui manifeste une envie, malveillante ou non, à l'égard de quelqu'un, qui éprouve du dépit à cause de quelque chose ; jaloux : Être envieux de la réussite de ses collègues. 2.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
S'autoriser à être heureux, passe aussi par l'accueil d'une souffrance, le lâcher prise et la reconnaissance d'une difficulté, reconnaissance méritant de la compassion de vous même pour vous-même.
Pour accepter, nous devons être centrés, car l'acceptation vient du cœur. Une des grandes difficultés à connaître le bonheur, c'est le manque d'amour de soi et par conséquent des autres. Nous ne pouvons aimer les autres que de la même façon que nous nous aimons.
La personne qui souffre du syndrome de l'imposteur dépense trop d'énergie par rapport à la tâche qu'on lui demande de réaliser, elle montre un surinvestissement, ce qui lui permet d'attribuer son succès "éventuel" à une grande quantité de travail et non à ses compétences réelles.
La peur de l'abandon n'est pas une pathologie en soit, mais "un ensemble de manifestations anxieuses relatives aux relations et à l'attachement", indique la psychologue. Lorsque l'on souffre du syndrome d'abandon, on vit dans la crainte permanente d'être rejeté(e) et délaissé(é) par l'autre.
Une femme jalouse posera un tas de question à son amie sur ses fréquentations, ses nouveaux collègues, son emploi du temps, jusqu'à l'indiscrétion. Vous sentez que vous avez ce mauvais penchant ? Essayez de prendre sur vous et laissez la personne que vous aimez venir à vous.
La jalousie est une émotion secondaire qui représente des pensées et sentiments d'insécurité, de peur et d'anxiété concernant la perte anticipée ou pas d'un statut, d'un objet ou d'un lien affectif ayant une importante valeur personnelle.
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.