Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Si vous avez le sentiment d'avoir tout pour être heureux sans y parvenir, il est peut-être justement temps de vous focaliser sur ce “tout”, plutôt que sur ce qui vous manque. Profitez encore plus des bons moments en famille, entre amis, allez courir ou vous faire masser si vous aimez ça.
Regretter ses actions passées, ses choix, ne vous rendra pas plus heureux, bien au contraire. Avoir des regrets ne vous fera que prendre conscience de toutes les mauvaises décisions faites dans le passé. A l'inverse, prévoir votre vie future vous rendra nerveux, obsessionnel, et pour finir, malheureux.
Une éducation trop rigide, l'absence de communication et d'expression des sentiments, la banalisation des affects ou au contraire leur trop grande démonstration/dramatisation peuvent conduire à se représenter le monde d'une façon menaçante et pénible au quotidien.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
Si l'on veut être vivant et heureux, il faut accepter de prendre des risques, accepter de de se tromper, parier pour l'impossible, apprendre à aimer… L'ouverture à la vie est le sel de la vie. Soyons ouverts même à ce qui nous fait peur, avec attention et bienveillance!
Bien souvent, on trouve un événement traumatisant à la base de cette phobie. Cet événement est souvent lié à une honte ou une humiliation en lien avec un moment où une joie a été contrariée, bafouée, moquée de façon suffisamment forte pour que le sujet refuse ensuite tout accès à la gaieté dans sa vie relationnelle.
- de notre nature : d'un côté, tout homme aspire au bonheur (Freud) et de l'autre, notre nature est un des trois obstacles au bonheur (corps voué à la déchéance, à la dissolution). 2. Le bonheur se réduit souvent à une situation : être riche, être en bonne santé.
Il semble que nous ne puissions pas ne pas tout faire pour être heureux. - on peut constater que tout homme aspire à être heureux, c'est-à-dire à fuir les douleurs et à être en quête de jouissances et plaisirs.
L'humain est enchaîné par ses préjugés, de sorte qu'il tient pour vrai ce qui ne l'est pas. Avant même d'accéder à la vérité, l'humain doit se ménager la possibilité d'un tel accès. Autrement dit, il doit se défaire de ses préjugés pour pouvoir ensuite rechercher la vérité.
Ils accordent de l'importance à leurs amis et passent du temps à entretenir leurs relations sociales. Ils sont généreux mais sont aussi égoïstes: ils savent qu'il faut être bien pour rendre les autres heureux. Ils aident les autres, sont de nature solidaire, disent du bien d'autrui. Ils ne se comparent pas aux autres.
La peur du bonheur basé sur la culpabilité
Pour d'autres, le bonheur s'est associé à la culpabilité. La joie s'accompagne du sentiment qu'il est impossible d'être heureux alors que d'autres sont malheureux. Comme la peur, la culpabilité peut être conditionnée par des événements de la vie.
Une des habitudes les plus sages que vous puissiez cultiver est de toujours être conscient de ce qui se passe autour de vous, de rester en permanence dans le présent et de savoir que ce moment fait partie d'un processus beaucoup plus vaste. Alors ne courez pas ; marchez !
Ce qui peut aussi causer une perte de joie de vivre c'est que vous passez beaucoup de temps à ruminer des évènements passés ou à vous inquiéter de ce qui pourrait arriver dans le futur. Pourtant, le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore.
C'est souvent le signe de la fin d'un cycle.
L'idée qu'une mue sert à changer d'état, de situation, et que c'est une étape naturelle de la vie. Pourquoi pas se demander alors « vers quoi ai-je envie d'aller ? », « à quoi ma vie pourrait ressembler si je faisais peau neuve ? »
Plus de liberté. Sadghru définit une vie simple de cette manière : « si vous voulez aller quelque part, vous pouvez y aller… si vous voulez faire quelque chose, vous pouvez le faire. » Être plutôt qu'avoir. Vivre simplement, c'est aussi prouver sa valeur de par ses actes, et non de par sa richesse matérielle.