En effet, une nuit trop longue annoncerait un risque de développer une démence dans les dix ans, alerte une nouvelle étude publiée dans la revue Neurology. Elle conclut qu'une bonne nuit de sommeil est ce qu'il y a de plus bénéfique pour la santé, à condition de ne pas la prolonger au-delà de 9 heures.
La dysanie est souvent associée à des troubles du sommeil, ou des troubles affectifs. D'ailleurs ce trouble est souvent en lien avec une dépression. La dysanie se traduit par un mal-être chez la personne et affecte tous les domaines de sa vie.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
L'obsession de rester couché dans son lit, ce que les spécialistes appellent la clinophilie ou la clinomanie, pourrait constituer un symptôme annonciateur de troubles mentaux plus graves, comme la dépression ou la schizophrénie.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
L'aboulie, signifiant littéralement l'absence de volonté, ou paralysie psychique, est un symptôme psychiatrique peu connu du grand public, et pourtant très invalidant. "Il se manifeste par l'incapacité, chez la personne qui en souffre, à initier des tâches, réaliser des actions, ou même ressentir des besoins.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
État de fatigue, d'abattement accompagné généralement de tristesse, d'angoisse et parfois de troubles physiques tels que fatigue, insomnie, douleurs plus ou moins localisées et diffuses. Synon. vx langueur. Crise de neurasthénie; faire de la neurasthénie; être atteint de neurasthénie.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
"Le syndrome de Cotard est une forme de dépression spécifique. Il s'agit d'un épisode dépressif majeur d'intensité sévère associé à des symptômes psychotiques, à savoir des idées délirantes dont la thématique est généralement la négation d'organes", explique le Dr Clara Brichant-Petitjean, psychiatre libérale à Paris.
Pour redynamiser votre corps et l'aider lui aussi à sortir de la nuit, faites quelques mouvements à la sortie du lit, étirez vous, ou par exemple faites immédiatement votre lit. Ces quelques mouvements vous permettront de bien commencer la journée.
Selon nos confrères, éclairés par les lumières du cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann, les méfaits de la sédentarité se manifestent dans un premier temps par une perte de forme physique. Ne pas se dépenser ni bouger pendant plusieurs heures, peut entraîner une prise de poids.
« La dépression masquée » est caractérisée par une dysthymie (trouble de l'humeur recouverte par une symptomatologie somatique. Le patient exprime son affect dépressif par des symptômes physiques, au premier rang desquels l'insomnie et la fatigue.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Parlez-vous ou vous déplacez-vous plus lentement que l'habitude, ou, au contraire, vous sentez-vous agité et avez-vous du mal à rester en place ? Vous sentez-vous presque tout le temps fatigué, sans énergie ? Manquez-vous de confiance en vous-même, ou vous sentez-vous sans valeur, voire inférieur aux autres ?
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
L'apathie, définie comme une perte de motivation et d'intérêt pour la nouveauté, est un symptôme fréquemment rencontré dans de nombreux troubles psychiatriques et somatiques pris en charge à l'hôpital ou à la consultation générale.
émoussement affectif l.m.
Restriction de l'affectivité. Dans les dépressions, cet émoussement émotionnel s'allie notamment à des troubles conatifs, à un sentiment généralisé de lassitude, de désintérêt et, dans les formes majeures, à l'anhédonie, voire à une anesthésie affective douloureuse.