Un petit oubli, un imprévu, un vol retardé, la perte de vos bagages, un enfant malade, un accident, une arnaque, voilà autant de raisons qui peuvent déclencher l'angoisse et venir perturber votre sérénité. Pourtant, avec des mesures simples, il est possible de gérer son stress en voyage !
Pour éviter de trop stresser, nous vous recommandons de bien préparer votre itinéraire pour être sûr de bien arriver, détendu, à destination. Vous pouvez faire une liste de tous les documents importants dont vous avez besoin et contrôler qu'ils sont tous réunis avant de les mettre dans votre sac.
Cette peur tient principalement à deux raisons : La peur de l'inconnu, car peu de gens comprennent comment un avion est capable de voler ; Les retombées psychologiques des catastrophes aériennes.
L'exposition à la situation sociale redoutée provoque de façon quasi systématique une anxiété qui peut prendre la forme d'une Attaque de panique liée à la situation ou bien facilitée par la situation. La personne atteinte redoute ces situations et développe de nombreuses stratégies pour éviter de s'exposer aux autres.
La peur des voyages porte un nom, l'hodophobie, et va bien au-delà de la peur de l'avion, davantage répandue. Vacances Bleues vous livre explications et remèdes.
Il y a des personnes habituées à faire tout le temps quelque chose, pour qui se retrouver pendant une à deux semaines à griller sur la plage n'est pas adapté. Comme ce n'est pas le type de vacances dont elles ont besoin, cela peut être déclencheur d'anxiété.
On appelle «syndrome du voyageur» un trouble psychique, parfois psychosomatique, et éventuellement franchement psychiatrique, dont souffrent certaines personnes «normales» au départ confrontées à certaines réalités du pays visité.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
"Ce stress qui persiste et rend votre vie impossible"
Quand l'angoisse persiste et va en grandissant, quand elle ne laisse plus de répit, quand un phénomène d'anxiété s'installe sans raison apparente, qu'il commence à vous gâcher la vie, cela devient un "Trouble Anxieux Généralisé", un TAG.
Une personne souffre de troubles anxieux lorsqu'elle ressent une anxiété forte et durable sans lien avec un danger ou une menace réelle, qui perturbe son fonctionnement normal et ses activités quotidiennes.
Trouble panique avec agoraphobie
La personne qui présente de l'agoraphobie craint les lieux publics, souvent parce qu'elle a peur de ne pas pouvoir en sortir facilement ou d'y faire une crise. Une personne qui fait de l'agoraphobie peut par exemple être incapable d'aller faire son épicerie ou d'aller voir un concert.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Main sur le ventre, fermer les yeux. Compter ensuite les temps d'inspiration et d'expiration. Inspirer 3 secondes, expirer 6 secondes. Répéter l'exercice jusqu'à ce que la crise de panique s'arrête.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Le syndrome de Wanderlust est défini comme un désir irrésistible de voyager. Son nom vient de l'allemand : de wander (flâner, vagabonder) et lust (désir, envie).
"Le syndrome de Cotard est une forme de dépression spécifique. Il s'agit d'un épisode dépressif majeur d'intensité sévère associé à des symptômes psychotiques, à savoir des idées délirantes dont la thématique est généralement la négation d'organes", explique le Dr Clara Brichant-Petitjean, psychiatre libérale à Paris.
Le syndrome de Lima est l'inverse du syndrome de Stockholm. Dans ce cas, les preneurs d'otages ou les agresseurs font preuve d'empathie envers leurs victimes et deviennent réceptifs à leurs revendications et à leurs besoins.