Les hallucinations peuvent être causées par une lésion ou une tumeur au cerveau, ou encore d'autres troubles neurologiques. Ne paniquez pas! Les lésions au cerveau sont rares et, même si vous êtes en proie à des hallucinations du sommeil, il y a peu de chances pour que cela en soit la cause.
Présente dans diverses pathologies, une hallucination visuelle peut également survenir en l'absence de maladies. En effet, cette altération de la vue qui fait voit des choses qui n'existent pas, est un symptôme associé à des pathologies psychiatriques, ophtalmologiques, neuro-dégénératives, etc.
Il est nécessaire de redire que la fin de vie (de même que la vie en général !) est un lieu où les visions sont parfaitement normales. Trop souvent, c'est notre regard, notre perception ordinaire qui ne sait pas les accueillir et les accepter pour ce qu'elles disent.
C'est notamment le cas des personnes très stressées, de celles qui sont dépressives et anxieuses, des bipolaires ou encore des personnes souffrant de schizophrénie. À un autre niveau, les hallucinations peuvent être consécutives à une lésion cérébrale ou à des troubles neurologiques.
Lorsqu'elles ne résultent pas d'une prise de drogues ou d'alcool, leur origine peut être sensorielle et liée à des problèmes de surdité, de cécité, d'amputations… Mais elles sont souvent le signe de maladies mentales ou neurologiques plus ou moins graves.
De grands états anxieux peuvent donner des phénomènes hallucinatoires. On peut donc avoir des hallucinations dans beaucoup d'états psychiatriques. "Les hallucinations visuelles sont rarement liées à une maladie psychiatrique.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil normal qui apparaît en général quand l'enfant est âgé entre 18 mois et 4 ans. Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas.
Toutefois, l'inconvénient principal de la paralysie du sommeil réside dans les hallucinations éventuelles et la terreur qu'éprouvent les personnes. La paralysie est généralement accompagnée d'hallucinations hypnagogiques. Il existe plusieurs degrés d'hallucinations possibles : visuelles, auditives et tactiles.
Ainsi, en cas de stress chronique (stress continu), notre organisme sécrète des niveaux élevés d'adrénaline et de cortisol, venant déséquilibrer le système nerveux autonome et ainsi faire perdre progressivement la vision et ce jusqu'à la cécité.
Dans le vocabulaire religieux, une vision est une appréhension immédiate, ressentie comme indubitable, claire et directe de la présence de Dieu, du divin, d'un esprit ou d'une deïté, ou d'un phénomène surnaturel.
Myopie. Le globe oculaire s'allonge ce qui a pour effet de bomber la cornée et le cristallin. Résultat, les rayons lumineux ne se rejoignent non pas directement sur la rétine, mais plus en avant. L'image restituée au cerveau est donc imparfaite et floue.
La personne peut être consciente ou non du fait qu'elle expérimente une hallucination. Certaines maladies chroniques (épilepsie, démence) infectieuses (encéphalite), ou métabolique, l'abus d'alcool et de drogues, les troubles du sommeil font également partie des maladies à risque d' hallucinations.
Elle peut être causée par une maladie psychiatrique, une maladie neurologique ou une consommation de substances (alcool, champignons, drogues) et de médicaments. Elle s'impose dans l'esprit de la personne sans que celle-ci ne puisse la contrôler.
Des voix ou des bruits que personne d'autre ne peut entendre
Si une personne entend des voix ou des bruits non perceptibles par les autres, il s'agit d'hallucinations auditives. Par exemple, il peut s'agir de voix dictant une conduite, de murmures, de commentaires sur ce qu'elle fait et/ou de dénigrement à son égard.
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
Après le cauchemar, on se réveille subitement et on a beaucoup de mal à se rendormir. Il faut d'abord un retour au calme qui favorise l'endormissement. Il est important de rationaliser le cauchemar et de revenir dans le monde réel. Vous pouvez allumer votre lampe et boire un peu d'eau.
Cette sensation de sursaut ou de chute, ressentie par la majorité des gens, est un phénomène appelé myoclonie d'endormissement. La sensation de sursaut survient lorsque les muscles relaxent et que le corps entre dans la phase d'endormissement, mais que le cerveau, lui, demeure bien alerte.
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
Les terreurs nocturnes se caractérisent par des symptômes physiques observables à peu près identiques à ceux de la peur, tels que l'accélération du rythme cardiaque et la transpiration. De ce point de vue, elles ressemblent plus à des crises de panique qu'à des cauchemars, cela est à ne pas confondre.
La psychose se définit comme une perte de contact avec la réalité. Lorsqu'une personne a de la difficulté à distinguer ce qui est réel de ce qui ne l'est pas, elle vit un épisode psychotique. Le premier épisode psychotique survient généralement vers la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.