Les échecs nous donnent la possibilité de rebondir, d'apprendre de nos erreurs, et nous aident à apprécier le succès. L'échec peut faire peur, pourtant, comme le rappelait Winston Churchill, « la recette du succès, ne serait-ce pas finalement d'aller d'échec en échec sans jamais rien perdre de son enthousiasme ? ».
L'échec n'est donc pas une fin en soi mais une expérience positive nous aidant à trouver en nous les ressources nécessaires pour nous conduire vers la réussite. Car passer toute une vie sans rien oser, à ne prendre que des décisions raisonnables, sans aucun risque, c'est échouer à se connaître vraiment.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
L'échec peut prédire le succès. Comment ? Les recherches montrent que ceux qui font et acceptent leurs erreurs, au lieu d'essayer d'éviter de se tromper à tout prix, ont plus de chances de réussir.
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regret.
Mais pourquoi a-t-on autant peur d'échouer ? Selon Antoine Spath, psychologue, “l'échec renvoie à une blessure narcissique. Il fait mal, car il peut faire perdre confiance en soi, d'autant plus qu'il n'est pas valorisé socialement […]
Fixez-vous de nouveaux objectifs. Après un échec, il est important de se remettre en marche en fixant de nouveaux objectifs. Choisissez des objectifs réalisables et mesurables, et planifiez les étapes pour les atteindre. Cela vous aidera à retrouver un sentiment de maîtrise et à vous motiver à avancer.
Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
Il s'agit d'Abraham Lincoln.
Aux échecs une partie peut se terminer par l'abandon de l'un des deux joueurs. Si un joueur considère que sa position est désespérée (s'il n'a plus assez de pièces par exemple), il peut abandonner en couchant son roi sur l'échiquier : son adversaire remporte la partie.
L'objectif premier de l'analyse de votre partie d'échecs, c'est de comprendre le pourquoi que vous avez perdu ou gagné la partie. De trouver dans quelle phase du jeu (ouverture, milieu ou finale) l'endroit où il y a lieu le moment critique, l'endroit où le vent à tourner à votre avantage ou à votre désavantage.
Pour rebondir après un échec, il faut aussi en comprendre la raison. Une étape indispensable avant de penser à l'après est donc d'évaluer ce qui n'a pas fonctionné. Prendre du recul permet de voir les choses plus clairement, et d'identifier les différentes étapes ou mauvaises décisions qui ont conduit à votre échec.
La défense sicilienne aux échecs est une ouverture choisie par les noirs après que les blancs, au premier coup, aient avancé leur pion devant le Roi de deux cases. C'est la défense favorite de grands champions comme Bobby Fischer, Garry Kasparov et du plus fort joueur français de tous les temps Maxime Vachier-Lagrave.
Accepter tes erreurs et tes échecs te permettra d'avancer. Douter de toi et ressasser le passé ne fera que te distraire du moment présent. Fais la paix avec tes erreurs ou tes échecs et apprends de celles-ci. On appelle ça «lâcher prise».
« Quel est votre plus grand échec ? » : c'est la question qui nous fait peur lors d'un entretien d'embauche ! Pendant l'entretien d'embauche, le recruteur évalue notre compatibilité avec l'entreprise. Pour cela, il s'intéresse à nos qualités, nos défauts, nos réussites, notre motivation, mais aussi à nos échecs.
La victoire. La partie est gagnée par le joueur qui a maté le roi adverse. Ceci met immédiatement fin à la partie à condition que le coup produisant la position d'échec et mat soit légal. La partie est gagnée par le joueur dont l'adversaire déclare qu'il abandonne.
Kakorrhaphiophobie, peur de l'échec.
Valorisez vos accomplissements
En clair, apportez un autre regard sur votre expérience. Un regard plus positif. Y a-t-il une autre façon de voir les choses qui va davantage vous servir pour la suite. C'est en apportant ce regard bienveillant sur vous et votre parcours que vous allez reprendre confiance.
Alors la première raison qui peut pousser à l'échec un zèbre, c'est tout simplement lorsque il n'est pas au courant de son potentiel. En fait, on vu qu'on a un fonctionnement atypique et complètement différent, il est primordial d'être au courant de sa douance pour mieux la vivre.