Les flatulences sont causées par l'accumulation de gaz dans l'estomac ou l'intestin. Péter et roter sont, pour le corps, des façons d'expulser cette accumulation de gaz. C'est donc tout à fait naturel et normal d'avoir des gaz. Comme la bière contient beaucoup de gaz, elle peut effectivement faire péter.
La présence de bulles dans la bière s'explique par le processus de carbonatation. En effet, pendant sa fabrication, la bière est tenue sous pression et le gaz carbonique produit lors de la fermentation s'y dissout.
Tout réside en fait dans la façon de servir la bière. Verser lentement pour éviter la mousse, c'est empêcher la libération du dioxyde de carbone contenu dans le breuvage. Le CO2 reste alors emprisonné dans le liquide, et c'est finalement dans l'estomac que ce gaz indésirable va finir par s'emmagasiner.
Ce n'est pas un secret, la bière est très riche en fibres, grâce à tout l'orge qu'elle contient ! On peut même aller jusqu'à un gramme de fibres pour un verre de 30 cl de bière. Lutte contre la constipation, réduction du mauvais cholestérol… Votre transit peut donc vous remercier.
La consommation de bière, et d'alcool en règle générale, diminue la libération d'ADH, l'hormone qui permet de conserver plus longtemps les liquides dans le corps afin que certaines de leurs substances bénéfiques pour l'organisme se libèrent, explique Gentside.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
Chaque fois que de l'air est avalée dans l'estomac, celle-ci doit s'évacuer et cela peut entrainer des flatulences. Par exemple, en mangeant ou buvant trop rapidement, en fumant, en mâchant des chewing-gums ou en consommant des boissons gazeuses. Mais la cause principale des flatulences est l'alimentation.
Dans l'ensemble, les chercheurs ont constaté que la bière avait augmenté la diversité du microbiote intestinal. Ce terme désigne l'ensemble des micro-organismes dans nos intestins. Il influe non seulement sur la digestion, mais aussi sur le système immunitaire.
Une consommation qui ne pose pas de problème
Les résultats obtenus ont permis aux experts des institutions et universités espagnoles de signer un consensus sur le sujet. L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
C'est dit, la bière est faible en calories. Donc à elle seule, consommée avec modération, elle ne fait pas grossir, à moins d'en boire des litres. En revanche, ce sont les habitudes alimentaires qui favorisent la prise de poids.
Il n'y a aucune raison de s'alarmer en cas de flatulences jugées excessives. Quand elles sont associées à des douleurs abdominales, une sensation de ballonnement ou des modifications du transit, on fait probablement face à une colopathie fonctionnelle ou syndrome de l'intestin irritable.
Consommation excessive de la bière : les effets sur le foie
Étant interrompue, la première conséquence est la formation d'un dépôt de graisse à l'intérieur des cellules hépatites, appelée stéatose. Si la consommation excessive persiste, il s'ensuit une destruction des cellules du foie.
L'odeur est un stimulus très fort, comme la douleur, qui est de nature sensorielle. Aussi, l'idée que l'on a d'une douleur ressemble fortement à celle d'une odeur. Enfin, la sensation d'odeur, bien que très différente, a une origine dans le cerveau qui s'active comme pour la douleur. C'est un phénomène réversible.
En dégazant égoïstement, il contribue peut-être à votre bonne santé. Des chercheurs de l'Université d'Exeter, qui ne reculent devant aucun sujet visiblement, révèlent que le gaz responsable de la puanteur des pets, est en réalité très bon pour l'organisme.
En réalité, le vin est même plus calorique que la bière. Ainsi, 25 cl de bière correspondent à 150 calories, contre 180 pour la même quantité de vin rouge.
N°1 – Brewmeister Snake Venom – 2025 calories.
Le pastis. Roi de la pétanque et du soleil, c'est aussi et surtout le roi du sucre. Avec 274 calories pour 100 ml, il se situe en haut du classement des alcools les plus caloriques.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.