Pensez à plonger votre doigt ou un pic en bois pour déterminer si votre plante a assez d'eau dans son pot. De plus, si le terreau se détache des bords du pot, ou que le pot est léger : il est temps d'arroser votre plante ! L'état de votre sujet se verra aussi au niveau de son feuillage.
Si la plante a trop d'eau
Un substrat trop détrempé induit le pourrissement des racines: la plante ne peut plus se nourrir correctement, ses feuilles ramollissent et jaunissent, puis se nécrosent et meurent. Un excès d'eau peut aussi faciliter les attaques parasitaires.
Vérifier l'humidité du substrat Le test le plus connu est de toucher la terre avec le doigt. Si la terre est sèche, la plante a besoin d'eau. Par contre, si la terre est encore mouillée, attendre avant de l'arroser de nouveau.
Pour garder vos plantes en bonne santé pendant l'été, il vaut mieux arroser généreusement 2 à 3 fois par semaine qu'un petit peu, chaque jour. Les arrosages ainsi espacés permettent à la plante de se créer une réserve. Arroser abondamment tous les 2 à 3 jours. N'arrosez que le pied de la plante.
Vérifiez si la plante ne pousse pas ou a des taches brunes.
Lorsque les racines sont noyées, elles ne peuvent pas fournir d'eau aux parties supérieures de la plante. De plus, la plante ne peut pas obtenir de nutriments provenant de la terre. Ça signifie qu'elle va commencer à se flétrir et mourir.
En règle générale, la quantité d'eau à utiliser pour arroser vos plantes est entre 1/4 et 1/3 du volume du pot. Et en cas de doute, il existe un test infaillible : c'est de toucher la terre avec le doigt ! Si la terre est sèche, la plante a besoin d'eau.
Il faut compter un arrosage par semaine lorsque les températures se situent entre 15 et 18°C. Entre 19 à 22°C, deux fois par semaine. Et lorsque les températures grimpent à plus de 23°C, il faudra arroser au minimum trois fois par semaine, lorsque la terre devient sèche.
Arrosez de préférence le soir à la fraîche pour limiter l'évaporation de l'eau. Quand les températures diminuent en fin d'été, réduisez la fréquence des arrosages surtout si vos pots profitent des précipitations. En hiver, un à deux arrosages par mois pour des pots préservés des pluies suffisent.
Pour sauver votre plante, il est important de faire sécher rapidement le substrat. Utilisez une griffe ou une petite pelle pour ameublir la terre et créer des poches d'air pour accélérer le séchage. Vous pouvez également pencher le pot, et le tapoter légèrement.
Les principales causes sont l'arrosage trop peu fréquent, ou au contraire, un arrosage excessif. Il existe des moyens de savoir si votre plante aux bouts marron est morte ou encore récupérable.
Une soudaine chute de feuilles encore vertes peut aussi être le signe d'un arrosage trop important. Une plante en manque d'eau perd de la rigidité, elle s'affaisse et ses feuilles dans certains cas peuvent s'enrouler sur elles-mêmes.
Les causes du jaunissement
Le problème le plus fréquent est l'excès d'arrosage. Si vous oubliez d'arroser vos végétaux, ils sèchent, brunissent, fanent, cassent... Forcément, vous observez un dessèchement de la plante.
Elle consiste simplement à arroser les plantes par le dessus sans mouiller le feuillage. Notez de ne pas laisser l'eau stagner dans la soucoupe après son écoulement. L'arrosage en surface est idéal pour le plus grand nombre de plantes d'intérieur. Il est à adapter selon la température et les besoins de vos végétaux.
Un jaunissement des feuilles chez les plantes d'intérieur ou les arbres et arbustes au jardin peut être causé par plusieurs facteurs : excès d'arrosage, carence, ensoleillement inadapté, écarts de température, courants d'air... Des gestes simples permettent de corriger ce défaut d'aspect très fréquent.
L'idéal est de donner cinq litres d'eau à une plante dans un grand pot de 40 cm de diamètre. Versez la quantité en plusieurs fois pour laisser le temps à la terre d'absorber l'eau. Lorsqu'il fait plus frais au printemps et en été, donnez deux à trois litres d'eau tous les deux à quatre jours.
La vraie cause du problème est que le terreau de vos plantes devient, avec le temps, de plus en plus contaminé par les sels minéraux. Ces sels sont présents dans l'eau d'arrosage ainsi que dans les engrais. Plus il y a longtemps que la plante est dans le même terreau, plus il y en aura.
Des arrosages réguliers pour des récoltes en beauté
L'objectif est d'arroser suffisamment pour humidifier le volume de terre explorée par les racines, mais sans excès pour éviter leur asphixie et leur pourriture.
Mieux vaut arroser longuement une fois par semaine qu'un petit peu tous les jours. En effet, si seuls quelques centimètres de terre sont humides, les racines se développent en surface et ne plongent pas en profondeur.
C'est ce que l'on appelle l'arrosage par le bas. Cela permet de bien doser l'apport en eau, d'éviter que le terreau attire les insectes. L'arrosage par la soucoupe permet aussi d'éviter de drainer au fond du pot tous les nutriments du terreau. Sans oublier que vous ferez des économies d'eau !
Il est souvent conseillé de les arroser une à deux fois par semaine et nous avons tendance à l'appliquer à la lettre. Ce conseil dépend cependant de la plante mais aussi la période de l'année. Car il est évident qu'elle aura besoin plus souvent d'eau l'été que l'hiver.
Pour éviter de prendre un nouveau risque de noyer votre plante d'intérieur, voici quelques astuces : renseignez-vous sur la quantité d'eau nécessaire à votre plante. choisissez un pot doté de trous de drainage. placez des billes d'argiles qui vont absorber l'eau pour la redistribuer en cas de besoin.
Le traitement au sur-arrosage est très simple : allez-y doucement avec les liquides ! La première chose à faire est de laisser plus de temps entre chaque séance d'arrosage. Sondez la partie supérieure de la terre avec l'index et attendez que les 3 premiers cm soient suffisamment secs avant d'arroser de nouveau.
Dans l'idéal, l'arrosage doit plutôt se faire le matin. Si on le conseille souvent le soir, c'est pour éviter les pertes d'eau par évaporation mais cela crée un environnement humide autour de la plante pendant toute la nuit qui favorise le développement de maladies fongiques.