La Catrina est un personnage populaire de la culture mexicaine ; il s'agit d'un squelette féminin vêtu de riches habits et portant généralement un chapeau, elle est inspirée de la Calavera garbancera dont on ne voit, sur l'illustration originale, que le buste.
Au départ, la Catrina n'était pas une représentation de la mort. Le caricaturiste mexicain José Guadalupe Posada, l'a créé pour se moquer de la bonne société et de ses manières. Le personnage est représenté comme un élégant squelette de femme portant un large chapeau.
La Catrina est un squelette féminin vêtu de riches habits avec un grand chapeau. Elle est un personnage populaire de la culture mexicaine ; au Mexique elle s'appelle La Calavera Garbancera 1. Elle a été créée vers 1912 par le dessinateur mexicain Jose Guadalupe Posada.
La Catrina mexicaine est née comme une moquerie de la classe sociale supérieure qui essayait de laisser ses racines derrière elle et s'habillait et se comportait dans un style européen. José Guadalupe Posada, en 1912, a créé ce qu'il appelait à l'époque “La Calavera Garbancera”.
Les Rituels
Au Mexique, La Catrina, figure emblématique en papier mâché coloré est devenue au cours du XXème siècle l'icône populaire de la fête des Morts et par extension de la culture mexicaine.
Il est de coutume de couvrir les miroirs dans la maison de deuil pendant la période de Shiv'ah car la personne affligée ignore « son apparence physique et toutes les futilités afin de se concentrer sur l'essentiel qui est son âme... En voilant les miroirs, on symbolise son éloignement des regards de la société ».
Les calaveras (« têtes de mort », en espagnol) sont emblématiques du Jour des morts et de la culture mexicaine, depuis la promotion dans les années 1920 de certains symboles culturels d'origine plus ou moins indigène par les gouvernements nationalistes dans le but d'unifier le pays après la révolution de 1910, par l' ...
On attribue en général son origine au personnage créé vers 1912 par le caricaturiste mexicain José Guadalupe Posada. Toutefois, Posada a été influencé par les travaux de Manuel Manilla, avec lequel il a travaillé dans l'atelier de Antonio Vanegas Arroyo (es).
La Catrina est une « Catrin, » une Marie-Chantal, le nom d'origine est »Calavera Garbancera ». Les calavera sont les crânes décorés du jour de la fête des morts. Le mot vient de « pois-chiche » en espagnol (garbanzos). Il s'agit d'une caricature qui date des années 1910, de José Guadalupe Posada.
La fête des Morts, une célébration joyeuse
Ils se maquillent et se déguisent avec des costumes folkloriques, comme celui de la Catrina, représentant le squelette d'une femme bourgeoise orné d'un chapeau fleuri. Ils se dirigent ensuite jusqu'au cimetière, où famille et amis se recueillent autour de la tombe d'un défunt.
La Santa Muerte, également connue sous le nom de Santisima Muerte, est la déesse bien-aimée de la mort dont les origines remontent à la période pré-hispanique du Mexique.
Au féminin : une Mexicaine, des Mexicaines.
Le mot « sombrero » utilisé en français est un emprunt lexical à l'espagnol, où le terme est utilisé pour désigner tous les chapeaux avec un bord. Au Mexique, on doit préciser sombrero charro, puisque le mot sombrero est le terme générique pour dire « chapeau », ou en Espagne par exemple sombrero cordobés.
Coco (2017)
Coco est la grand-mère de Miguel Rivera et la fille d'Imelda Rivera.
Ernesto de la Cruz est l'antagoniste principal dans le dix-neuvième long-métrage de Pixar Animation Studios, le film de 2017 Coco.
Les morts ont autant de présence que les vivants et les vivants aussi peu de personnalité que les morts... Cette attitude devant la mort exprime l'abandon au Destin et l'indifférence aux formes trop particulières et diverses de l'individualité ». La mort pour le Mexicain est le miroir de la vie.
La fête des Morts, au Mexique, est une tradition ancestrale. Son origine remonte à la civilisation des Aztèques qui célébraient leurs morts deux fois par an : une fois pour les enfants et une fois pour les adultes. Des offrandes leur étaient apportées pour leur seconde vie.
Chignahuapan – Puebla
Dans l'État de Puebla, la fête bat son plein à Chignahuapan. Les soirs, sur le lac, un spectacle de lumière illumine la ville. Des représentations aztèques et indigènes sont à l'honneur, avec des danses et de la musique perpétuant une tradition pré-hispanique.
Le blason rappelle la légende de la fondation de Mexico, construite par les Aztèques là où un aigle, perché sur un cactus, dévora un serpent.
Le peuple aztèque était autrefois nomade, il invoqua alors un dieu pour savoir à quel endroit s'établir. En guise de réponse, ce dernier lui envoya un aigle mexicain dévorant un serpent et perché sur un figuier de barbarie.
El día de los muertos
Le jour des morts est la fête traditionnelle mexicaine la plus connue au monde. Tous les ans, elle se déroule les 1er et 2 novembre. Pendant deux jours, les cimetières sont joliment décorés avec des accessoires et des couleurs très festives.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.