Sur les crucifix catholiques, Jésus est représenté crucifié par 3 clous (1 à chaque main, et 1 pour les pieds qui sont croisés l'un sur l'autre) ; au contraire, la croix orthodoxe fait apparaître 4 clous, car selon la tradition orthodoxe, les pieds de Jésus était cloué séparément sur l'appui-pieds.
Les croix orthodoxes, aussi appelée croix à huit branches, est une variante de la croix chrétienne, et se caractérise par ses trois barres horizontales. Comme pour la croix catholique, on retrouve la forme centrale, qui figure la croix sur laquelle fut crucifiée Jésus Christ.
La croix orthodoxe (☦) est une variante de la croix chrétienne, le symbole religieux du christianisme.
Alors que les Catholiques ont des statues et des tableaux pour représenter les saints, l'Eglise orthodoxe a une riche tradition iconographique. Et l'art grec, contrairement à l'art occidental, ne se focalise pas sur l'image de Jésus, saignant sur la croix. Chez les Orthodoxes, le baptême se fait par immersion.
Du côté des catholiques et des orthodoxes, ils reconnaissent, outre la Bible, la tradition orale qui s'est construite au cours des siècles à travers différents dogmes et doctrines. Les catholiques et les orthodoxes prient les Saints. Ils croient au Purgatoire et vénèrent la Vierge Marie comme figure sainte.
L'Église orthodoxe professe que Dieu se révèle par le témoignage donné par la personne de Jésus-Christ : « Je suis le chemin, la Vérité et la Vie » (Évangile de Jean, 14:6) et par l'inspiration du Saint-Esprit : « Quand deux ou trois se réunissent en mon nom, je suis au milieu d'eux » (Évangile de Matthieu 18:20).
L'évêque de Rome
Les orthodoxes reconnaissent au pape une primauté d'honneur et aussi d'enseignement, mais pas la juridiction directe et universelle sur l'ensemble de l'Église et sur chacun des fidèles.
Bien que le signe de croix soit antérieur au concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns des Réformateurs comme étant une pratique catholique, et cela en dépit de la vision positive qu'en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune et le Code de droit canonique anglican de 1604.
ÉCLAIRAGE - Considérant la dévotion catholique à Marie comme étant excessive, les protestants rejettent la notion d'une montée au ciel de la Vierge. Une statue de Martin Luther, un des initiateurs du protestantisme, en Allemagne.
LA SAINTE BIBLE LOUIS SEGOND 1910 - DOREE.
L'aigle noir à deux têtes sur fond d'or – symbole utilisé par le Patriarche de Constantinople et, aujourd'hui, par l'Église orthodoxe de Grèce – fut l'emblème de la dynastie des Paléologues, les derniers empereurs byzantins (Svoronos, 1914: 1-67).
En général, si un nouveau converti vient à l'Orthodoxie à partir d'une autre confession chrétienne pratiquant le baptême par immersion selon la Formule Trinitaire ("au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit"), ce baptême est reconnu par l'Église orthodoxe.
Présent depuis l'Antiquité, depuis l'est de la Méditerranée jusqu'à l'Inde, cette combinaison est aujourd'hui plus largement reconnue comme l'un des symboles de l'Islam ou des pays et populations musulmans, bien que cette religion interdise l'usage de symboles pour la désigner.
Pendant la liturgie, les Catholiques prient debout ou à genoux, alors que les Orthodoxes restent debout ou assis. Les chants sont compris comme prière à part entière et sont omniprésent dans les célébrations de la divine liturgie orthodoxe.
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
En outre, les catholiques se signent avec la paume de la main ouverte, tandis que les orthodoxes le font avec le pouce, l'index et le majeur joints, pour représenter la sainte Trinité. Leurs deux autres doigts sont repliés contre la paume, pour symboliser la double nature, humaine et divine, du Christ.
Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
Marie (mère de Jésus)
Les Écritures donnent trois titres à Marie : femme, mère et vierge. C'est à partir de ces trois aspects de son être que l'on comprendra la place à part qu'occupe Marie parmi les créatures (« bien loin au-dessus de toutes les créatures dans le ciel et sur la terre », dit Lumen Gentium) et, ce faisant, pour l'Église.
Cela est même vu comme un geste altruiste ; une façon de vivre en pratique l'amour de son prochain. Par ailleurs, le corps du défunt ne fait l'objet d'aucune sacralisation, d'aucune prière. Les soins apportés au corps ont pour but de le rendre présentable aux yeux des vivants.
Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
L'ANTISECHE - Les orthodoxes fêtent Noël le 7 janvier car cela correspond au 25 décembre du calendrier julien.
Également appelée Église orientale, grecque ou byzantine, l'Église orthodoxe est une famille d'Églises chrétiennes établies de longue date en Europe de l'Est, au Proche-Orient, en Afrique et en Asie (voir CHRISTIANISME). D'après le recensement de 1991, cette Église possède environ 387 000 fidèles au Canada.
Les Églises chrétiennes sont regroupées en différentes branches, dont les principales sont le catholicisme, le christianisme orthodoxe et le protestantisme (avec sa branche évangélique), représentant respectivement 51 %, 11 % et 38 % du total des chrétiens en 2017.